Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 883
Membres
1 008 677

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par SenseiSuricate 2019-11-25T20:49:15+01:00

Des miracles se produisent quand il le faut.

Afficher en entier
Extrait ajouté par SenseiSuricate 2019-11-25T20:48:35+01:00

Mon cher, si vous n'étiez pas le premier à rire, je ne m'apercevrais jamais que vous avez essayé de faire de l'esprit.

Afficher en entier
Extrait ajouté par marykel 2018-08-16T18:57:40+02:00

– Ce n’est pas un cauchemar, ricana d’Enneris. C’est une réalité. M. Martin et Mlle Martin font un tour dans leur domaine.

Béchoux, veux-tu avoir l’obligeance de disposer tes acolytes au-dessous de cette pièce ? Tu sais ? la salle aux vieux pots de fleurs. Surtout pas de bruit. À la moindre alerte, M. Martin et

Mlle Martin s’évanouiraient comme des ombres. L’hôtel est truqué, je t’en avertis, et il y a, sous le jardin, une issue dérobée qui file vers la rue déserte et qui débouche dans une écurie voisine. Il faut donc attendre qu’ils soient à dix pas des fenêtres. Vous sauterez alors sur eux et vous les tiendrez ficelés, dans la salle. »

Afficher en entier
Extrait ajouté par marykel 2018-08-16T18:56:26+02:00

« Je m’excuse si je dois remonter un peu haut dans les annales de votre famille. Mais l’origine du mal est plus lointaine que vous ne pensiez, et lorsque vous étiez obsédés par les deux dates sinistres où sont morts tragiquement vos deux aïeux innocents, vous ignoriez que ces deux dates étaient déterminées par une petite aventure plus ou moins sentimentale qui se place aux trois quarts du XVIIIe siècle, c’est-à-dire à une époque où votre hôtel était déjà construit, n’est-ce pas ? depuis vingt-cinq ans.

Afficher en entier
Extrait ajouté par marykel 2018-08-16T18:55:41+02:00

Une seconde seulement, il soupçonna la vérité, ce qui valut

à Béchoux une douleur intolérable entre les deux omoplates.

Jamais le brigadier n’aurait cru que des doigts pussent donner cette impression de tenailles. Par bonheur, cela ne se prolongea point.

Antoine Fagerault n’avait pas insisté. Ayant sonné le couple des vieux domestiques, il leur donna des instructions minutieuses sur le rôle qu’ils devaient jouer le lendemain et sur les réponses qu’ils devaient faire. Le soupçon de d’Enneris se dissipa.

Afficher en entier
Extrait ajouté par marykel 2018-08-16T18:55:13+02:00

« Un rude jouteur que cet Antoine Fagerault ! et qui me le paiera cher ! Tandis que nous dispersions nos efforts, il agissait, lui… et avec quelle énergie ! Que veut-il ? Qui est-il ? Un ami du comte, comme sa lettre interceptée le donnerait à croire ? ou bien un ennemi ? un complice ou un rival ? Et, en tout état de cause, quel est son but en entraînant hors de chez elles ces deux femmes ? Elles ont déjà été enlevées l’une après l’autre… Que cherche-t-il en les emmenant ensemble ? Et pourquoi Arlette s’est-elle cachée de moi ? »

Afficher en entier
Extrait ajouté par marykel 2018-08-16T18:54:39+02:00

Rien n’est plus fastidieux que le récit détaillé d’une instruction judiciaire, surtout lorsqu’il s’agit d’une affaire connue, dont tout le monde a parlé, et à propos de laquelle chacun s’est formé

une opinion plus ou moins exacte. L’intérêt de ces pages consiste donc uniquement dans la mise en lumière de ce que le public ignora et de ce que la justice ne parvint pas à éclaircir, et, cela, en définitive, revient à raconter les faits et gestes de Jean d’Enneris, c’est-à-dire d’Arsène Lupin.

Afficher en entier
Extrait ajouté par marykel 2018-08-16T18:54:03+02:00

L’idée, charmante, avait reçu le meilleur accueil dans ce

Paris généreux qui associe volontiers ses plaisirs à des manifestations charitables. Il s’agissait de présenter sur la scène de l’Opéra, entre deux ballets, vingt jolies femmes, artistes ou mondaines, habillées par les plus grands couturiers. Le vote des spectateurs désignerait les trois plus jolies robes, et la recette de cette soirée serait distribuée aux trois ateliers qui les auraient confectionnées. Résultat : un voyage de quinze jours sur la Riviera pour un certain nombre de midinettes.

Afficher en entier
Extrait ajouté par wizbiz06 2012-09-07T16:40:58+02:00

Il s’éloigna un peu, tout en restant derrière elle. Le vêtement de fourrure glissa le long de Régine et elle reconnut que ce vêtement était le sien. Elle s’assit, épuisée. Elle pouvait voir maintenant la pièce où elle se trouvait, et elle vit que la femme voilée, qui s’était mise à dégrafer le corselet de pierreries et la tunique d’argent, portait un vêtement prune avec des bandes de velours noir.

Afficher en entier
Extrait ajouté par wizbiz06 2012-09-07T16:40:52+02:00

Puis on traversa ‘un vestibule dallé, et ce furent ensuite les vingt-cinq marches d’un escalier, garni d’un tapis et bordé d’une vieille rampe, qui les conduisit dans une pièce du premier étage. L’homme, à son tour, lui dit, très bas également et à l’oreille : « Vous êtes arrivée. Je n’aime pas agir brutalement, et il ne vous sera fait aucun mal si vous me donnez votre tunique de diamants. Vous y consentez ?

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode