La Disparue de la cabine n° 10

Laura, journaliste dans un magazine de voyage, est conviée à l’inauguration d’un yacht de luxe pour une croisière luxueuse dans les Fjords du Grand Nord, suite au désistement de sa supérieure enceinte qui ne peut faire ce voyage. Lors de la première nuit, elle assiste au meurtre de la passagère de la cabine voisine. Sauf qu’il n’y a officiellement personne d’enregistré dans cette cabine numéro 10.

L’idée de base de ce roman semblait bonne., l’intrigue aurait pu être intéressante. Mais voilà, ce roman est d’un ennui, mortel je peux le dire. Il ne se passe rien.

Alors si 2 choses :

— Laura est cambriolée la veille des son départ et en fait, on ne saura jamais le pourquoi et qui a fait cela. Du coup, pourquoi faire plusieurs chapitres là-dessus et revenir constamment sur ce fait ?

— Laura passe son temps à boire, à cuver, à boire, à prendre des anxiolytiques, à cuver. On repassera pour le héros d’un roman.

Sinon rien de plus. Il y a une pseudo-enquête du capitaine de bord suite au pseudo meurtre dénoncé par Laura. Mais qui ne mène à rien vu qu’il n’y avait personne dans la cabine voisine.

Laura soupçonne tout le monde, en mode paranoïa et en faisant des raccourcis grotesques sur qui pourrait être le ou la coupable.

On a aussi de gros clichés sur les personnes assez riches pour s’offrir ce genre de croisière : PDG d’entreprise assez imbus d’eux-mêmes, Jet-Setters connus qui se croient sortis de la cuisse de Jupiter. Et j’en passe et des meilleurs.

Et que dire de Laura ? Rien non plus. On ne croit pas à ce personnage. Elle n’est pas du tout attachante. On est dans la caricature de l’alcoolique, dépressive depuis l’enfance et qui s’en sort à la fin.

Et l’intrigue me direz-vous ? Il n’y en a pas. Dés le départ, sans être Hercule Poirot, on sait ce qui s’est passé. C’est tellement évident.

Bref, une lecture à vite oublier.

Premier livre lu de cette auteure. J'ai beaucoup aimé l'intrigue malgré que la fin soit un peu prévisible et clichée. L'incipit m'a intrigé dès le début. À la fin, j'avais tout même hâte de pouvoir connaitre le dénouement. Les derniers doutes de Laura surprenait par sa longueur et la résolution de l'enquête semble un peu rapide et flou en explication (sauf si le genre est fait comme ça - c'est le premier livre que je lis de ce genre - ) J'ai encore 3 romans de cette auteure et je suis ravi de m'épancher dessus.

Un polar intéressant mais qui possède de nombreux moments longs qui apportent rien à l’histoire. Le scénario est surprenant, à découvrir.

J'ai ce livre dans ma pàl depuis des années mais à part pour des challenges je me suis pas mal détournée des policiers/thriller ces derniers temps.

Bien que ce soit à la base mon genre de prédilection.

Là encore c'est pour un challenge que je m'y suis attaquée et j'ai réellement beaucoup apprécié. C'est bien écrit, on est tenu en haleine, parfois déstabilisé et la conclusion, même si je l'ai devinée avant la fin, ne m'a pas sauté aux yeux.

Bref je lirai d'autres romans de l'auteur avec grand plaisir

C'était un peu long, mais le doute persiste jusqu'à la fin. C'était pas la meilleure intrigue mais j'ai quand même bien apprécié

Je n'ai pas réussi à rentrer dans l histoire, après 70 pages environ j'ai fini par laisser tomber, j'avais l'impression, à tort peut-être, que l'histoire n'avançait pas..... Et j'ai trop de livres dans ma PAL pour m'obstiner sur un livre avec lequel je n'accroche pas.

Une journaliste, passagère d'un yacht pour une croisière de luxe, est la seule témoin d'un meurtre à bord. Elle ne reconnaît ni le coupable, ni la victime. Malgré un début lent à démarrer, j'ai beaucoup aimé le dénouement et la psychologie de l'héroïne, qui ne sait pas à qui se fier et doute de ce qu'elle a vu.

Un roman dont les longueurs peut en rebuter certains, mais qui s'y on s'accroche un peu, promettent un très bon scénario.

J'ai bien aimé parcourir ce récit, même si j'ai eu un peu de mal à accrocher à la première partie. C'est pourtant elle qui sert de base au personnage et à une partie de l'intrigue.

Un très bon roman qui mérite qu'on s'y intéresse et qu'on s'y accroche.

C'est le second roman que je lis de cet auteur et encore une fois, j'ai adoré ma lecture ! "Les cinq règles du mensonge" m'avait énormément plu et c'est à nouveau le cas avec "La disparue de la cabine N. 10", un polar maritime rondement mené. J'aime énormément le style d'écriture de Ruth Ware et ses thrillers sont vraiment excellents, à comprendre : du suspense, des personnages crédibles, une plume addictive et surtout, aucun aspect glauque dans le récit. Certes, c'est un polar, mais "classique", limite à l'ancienne, sans hémoglobine, avec des personnages de tous les jours. L'ambiance confinée de ce yacht de luxe, lieu d'une croisière inaugurale dans les fjords norvégiens, est très bien décrite et on s'y croit !

Est-ce que je recommanderais ? Oui, bien sûr ! Ruth Ware est une excellente auteur de polars, sa plume est très additive, le suspense bien mené, l'ambiance maritime géniale. Bref, j'ai adoré et j'ai hâte de découvrir les autres romans de cet auteur !

Un roman qui se trouvait dans ma pal depuis mille ans… et dont je ressors déçue 😞 



Beaucoup de longueurs et des personnages peu convaincants, une héroïne agaçante qui ne fait que s’apitoyer sur son sort (et picoler).



S’il y avait un lien entre le cambriolage au début et l’histoire, j’ai dû le rater (et je ne suis apparemment pas la seule 😞)



Et surtout un dénouement totalement tiré par les cheveux. 

Un roman qui ne devient intéressant que pendant les dernières pages où enfin l’histoire accélère.