La Famille Huxtable, Tome 4 : Le Temps du désir

Cassandra & surtout Sephen sont hautement sympathiques. La romance est belle même si elle ne m’a pas transportée. Toutefois, L’intrigue n’a pas de rebondissements et souvent redondantes ; il m’a manqué l’humour de Jasper, la spontanéité de Vanessa, la droiture de Margaret...même si j’ai été charmée par Stephen.

Globalement l’histoire est un peu longue. Du coup ce tome est celui auquel j’ai le moins accroché .C’est dommage car j’aime beaucoup Stephen.

Début mitigé à cause de la situation de l'héroïne et de la "solution" qu'elle envisage pour régler ses problèmes financier. On sent qu'elle est pas plus que ça à 100% convaincue par l'idée, juste cynique et désespéré, elle est plus agréable quand elle n'est pas dans son rôle de séductrice. Stephen réagit bien je trouve en comprenant la situation et se rendant qu'une liaison dans ces conditions ne peut pas marcher, il lui propose un autre accord à Cassandra plus platonique mais toujours rémunéré. Après à part le pique nique y a pas de scène qui démontre une vrai évolution de la relation. Au final je suis assez déçue par ce tome.

Espérons que le mystérieux Constantin sera meilleur, il est en tout cas prometteur.

Stephen est tel que nous l'avions vu mûrir et qu'il est devenu un homme dans toute sa maturité. On sent bien qu'il est même plus mature que ses amis/connaissances et je dirais même que plusieurs hommes d'aujourd'hui (attention, je n'ai pas dit tous). J'ai adoré son histoire avec Cassandra et, tout au long du roman, on sent bien qu'il ne contrôle pas tout et qu'il en est bien conscient. Et maintenant, serait-ce venu l'histoire de Constantin dans le prochain tome? J'ai hâte.

J'apprécie que le canevas de l'histoire ne soit pas standard i.e. qu'il ne mette pas en scène une période de sexe après la première moitié du livre comme souvent c'est le cas dans les AP. Non, les histoires de Balogh sont des histoires d'amour. Et j'avais vraiment hâte de finir pour lire l'histoire de Constantin, sur laquelle je me précipite.

Surprise par le personnage qui devient la femme de Stephen. Je pensais que ce serait une jeune débutante et pas une veuve plus âgée et qui a atrocement souffert. Stephen est trop parfait mais c'est exactement ce qu'il faut à Cassandra pour refaire sa vie. L'histoire est belle mais traine en longueur comme tous les autres tomes.

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Voilà une relecture qui a le goût d'une première lecture. Ce texte se laisse (re)découvrir, apprécier, savourer, comme une terre vierge, mouvant, vivant, ouvert et ravissant.

Seducing an Angel, c'est son titre en VO. Evidemment, Mary Balogh va jouer de son titre et de son thème, tout au long du roman.

"Ce devrait être la chose la plus facile du monde, et non la plus difficile, insista-t-elle.

- Quoi donc? (...)

- De séduire un ange."

Ce que Stephen est, en réalité, bien qu'il s'en dédise.

Il croit en l'amour.

Il veut, un jour, épouser une femme qu'il aimera et dont il sera aimé.

Enfant chéri de la famille Huxtable, cet idéal jeune homme affable, souriant, et honorable, irradie de bonheur, rayonnant comme un soleil, tout en blondeur lumineuse. Ce bel Apollon croit "aux causes. Et aux effets" et dispense autour de lui clarté et joie. Car il sait guérir les âmes meurtries.

Dans l'ombre du scandale, sa Cassandre le guette : elle en fait sa proie, elle tisse sa toile pour mieux l'attirer dans son antre que quelques chiches chandelles éclairent d'une faible lumière. Cassandre, c'est l'ombre qui le séduit, le pouvoir de la chair qui l'abuse. Celle qui veut prendre le contrôle, ou plutôt le reprendre, sur sa vie, sur ces hommes qui l'ont fait souffrir, et sur tout ce qui lui manque. Cassandre, celle qu'on ne croit pas, celle qui porte le masque.

Mais elle souffre d'avoir à noircir les ailes de cet ange.

Elle lui montrait les ténèbres, alors qu'il n'était que lumière.

L'ombre et la lumière. Un éternel combat.

"Je ne vous ferai pas de mal", lui dit Stephen.

Apollon l'emportera, bien sûr, comme dans la légende. Mais, loin de la condamner, il entraînera sa Cassandre vers un monde de lumière. Dans la clarté de la vérité, de la réhabilitation et de l'amour.

Mary Balogh renverse complètement la donne dans cette romance. Elle oppose, dans toute la première partie, un personnage féminin froid, cynique et brutale, que j'ai trouvé douloureusement antipathique, à un héros tendrement protecteur, mais bousculé. La femme prédatrice et l'homme proie.

Ensuite, imperceptiblement, la relation change entre eux, pour s'apaiser.

-> La suite sur mon blog si le cœur vous en dit...

J'ai beaucoup aimé cette histoire de Cassandra qui entreprend alors de séduire Stephen Huxtable, riche marquis aux airs angéliques un bon moment de lecture

Je suis ravie d'avoir tenue bon jusqu'à ce tome, parce que effectivement les précédents m'avaient laissé un petit goût d'inachevé avec trop des détails pas forcément utile et qui moi m'ennuyaient, mais celui-ci j'ai adoré, moins de détails inutiles et un suspense en ce qui concerne Cassandra et son mari défunt...

Et à la fin les quelques petites pages sur Constantin se recueillant sur la tombe de Jonathan donne envie de lire le dernier tome de cette série.

tome qui se lit indépendamment des autres. on retrouve la famille Huxtable dans une nouvelle histoire qui concerne Stephen cette fois.

Cassandra, jeune veuve, sans ressource, est aux portes de la pauvreté. Elle vit avec sa dame de compagnie, sa domestique et la fille de celle-ci qui sont presque des amies. Aux abois, elle décide de trouver un protecteur pour subvenir à leurs besoins. Mais ses plans ne se déroulent pas comme prévu. Celui sur lequel elle a jeté son dévolu ne désire pas seulement son corps, mais aussi le reste...

L'auteur, sans verser dans le larmoyant, nous livre une histoire touchante, avec des personnages profonds (Cassandra) et certains mystérieux (Constantin). L'écriture est sensible, agréable à lire. Un tome que j'ai préféré aux précédents.

Dans la continuité des tomes précédents... Toujours aussi bien écrit, une romance magnifique. Bref un pur moment de lecture et vivement l'opus suivant qui aura pour personnage central "l'énigmatique" Constantin !