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La femme qui tua Stephen King



Description ajoutée par annick69 2016-11-07T13:09:44+01:00

Résumé

Un hommage au Grand Stephen King.

Ce livre raconte d'histoire d'Irma, qui veut prendre la place du calife... En manque d'inspiration, elle pense que Stephen King est la cause de tous ses malheurs. Oserez-vous la suivre jusqu'à Bangor ? Attention, n'allez pas mourir... de rire.

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Classement en biblio - 65 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par NicolaK 2022-12-14T19:20:28+01:00

Je devais respirer profondément, ouvrir les alvéoles de mes poumons au maximum, m'emplir d'air, pour que le malaise s'en aille. Ces crises s'accentuaient quelquefois, selon mon état psychique du moment, mon stress, mon état physique, la fatigue, le manque de sommeil, ou simplement le temps. Une grosse chaleur pouvait jouer le facteur déclenchant de la crise. J'allais être enfermée pendant quelques longues heures dans un machin suspendu dans le vide, avec la crainte non pas de tomber et de m'écraser au sol mais de mourir étouffée. C'était assez stupide pour me donner le courage d'y aller. Le vol fut pénible, j'eus deux ou trois crises dont personne ne s'aperçut heureusement – Par pitié, faites que ça s'arrête ! Mais PAR OÙ JE PEUX SORTIR D'ICI ? – . Je dormais la plupart du temps. Par chance, l'avion était presque vide, et je pus prendre mes aises sur la rangée de trois sièges. Je mangeai les repas de bonne grâce, et avec lenteur. Les repas sont la seule distraction dans les avions. On joue à la dînette, on lit tout le menu, toutes les étiquettes. On compte le nombre de cacahuètes dans le sachet minuscule. On admire la magnifique présentation des mets froids dans leurs plats de plastique, on savoure le café dégueulasse, on mâchouille le reste de pain spongieux.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par SaleGargouille 2024-01-02T16:43:55+01:00
Pas apprécié

Stephen King écrit en gros sur la couverture, je suppose que ça fait vendre.

Dommage qu’il ne s’agisse ici que d’une parodie douteuse, ne rendant même pas grâce avec honneur au maître de l’horreur.

La farce est grasse, mais on pourra au moins se satisfaire de son faible nombre de pages. Une petite taille qui me renforce dans l'idée que l'auteur souhaitait juste "buzzer" avec son titre, au détriment de proposer un récit plus travaillé.

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Commentaire ajouté par NicolaK 2022-12-14T21:35:48+01:00
Bronze

D'Azel Bury, je n'avais lu que le recueil La maison de poupées et autres nouvelles,.qui m'avait vraiment séduite. De courts récits de genres très différents, narrés d'une plume alerte et fluide, un style nickel.

Étant actuellement plongée dans Stephen King, je me suis souvenue que quelque part dans mon pense-nouille, La femme qui tua Stephen King m'attendait encore.

.

La narratrice et héroïne de l'histoire, 42 ans et 5 enfants, a bien du mal à joindre les deux bouts.

Les magazines people la font rêver à un avenir plus rose, où l'argent coulerait à flots... Fan de Stephen King dont elle lit et relit les romans, elle décide de se mettre à écrire.

Et les idées qui lui germent dans la tête sont rapidement couchées sur le papier. Rien de très compliqué, finalement.

.

Fière de ses exploits, elle montre ses manuscrits à ses enfants, mais écrit après écrit, ils leur trouvent des ressemblances flagrantes avec les romans de Stephen King, ce qui la rend furieuse.

Comment le célèbre écrivain a-t-il eu le culot d'écrire des histoires bien avant qu'elles ne lui viennent en tête à elle-même ?

Il ne va pas s'en tirer comme ça !

.

Le scénario était sympa, plaisant à lire, et j'ai bien accroché au début, mais me suis très vite ennuyée en seconde partie du récit, qui se met à partir un peu dans tous les sens.

.

Pour résumer, j'ai été déçue par cette nouvelle qui ne tient pas vraiment la route. Le style, s'il n'est pas mauvais, n'a rien de transcendant.

Je redonnerai une chance à l'auteure en souvenir des moments passés avec le premier recueil que j'ai lu, en espérant retrouver l'enthousiasme d'antan.

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Commentaire ajouté par Davunk 2021-03-23T08:25:26+01:00
Lu aussi

Auteure de nombreux romans, Azel Bury s’essaie à quelque chose de différent avec ce livre. Et si je suis le premier à aimer les oeuvres « autres », celle-ci m’a laissée assez froid…

Irma a 42 ans. Et elle devrait être riche ! Mais non, dés qu’elle a une idée de roman, elle découvre que Stephen King l’a eu avant elle. Mais comme peut-il se permettre de lui prendre ses idées avant qu’elle ne les ai ? Alors elle décide d’aller le trouver à Bangor pour régler le problème…

Et voilà comment débute ce court roman qui va multiplier les tentatives de se démarquer. Passer une intro rigolote, mais franchement longuette pour un livre aussi court, La femme qui tua Stephen King enchaine sur une mise en abîme qui va elle même se retrouver en abîme etc… L’occasion de s’amuser dans plusieurs styles qu’à pu employer King dans sa carriére, d’évoquer nombre des ses oeuvres, et donc au final de lui rendre un hommage appuyé. Paradoxalement, c’est dans la partie la moins réussit (mais aussi la plus créative) que l’hommage semble être le mieux employé. La premiére partie en faisant beaucoup trop dans le genre…

Le roman n’est pas fondamentalement mauvais. Il peine juste à trouver un équilibre et fonctionne essentiellement en tant qu’oeuvre référentielle. On sent ici plutôt une envie de se faire plaisir plutôt qu’un désir de proposer quelque chose de réellement convaincant, de réellement prenant pour le lecteur. Pour autant, l’écriture est fluide et naturelle. Le résultat, c’est un roman assez moyen et décevant, il faut bien le dire…

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Commentaire ajouté par bookmystere 2017-11-07T13:22:22+01:00
Lu aussi

je dois dire que j'ai lu ce roman pour me reposer entre deux lectures. J'ai été étonné par l'histoire un peu loufoque. On a droit à différentes fins selon le contexte. Ça m'a fait beaucoup rire. Très bon moment sans prise de tête.

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Commentaire ajouté par annick69 2016-11-07T15:26:31+01:00
Argent

Humour noir, déjanté. Les styles de narration se mélangent dans ce livre et j'ai trouvé ça génial, l'histoire se répète…. Mais non!!! Que nenni… Azel : bien joué dans ces voyages à Bangor - Maine - USA

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Lu aussi

Chronique: http://lalivrothequeblog.weebly.com/la-femme-qui-tua-stephen-king-par-azel-bury.html

J'ai littéralement dévoré ''La Femme qui tua Stephen King'' en très peu de temps et qu'est-ce que je suis contente d'avoir contacté l'auteur que je remercie pour sa confiance et pour cette lecture agréable et un peu fofolle.

Ce thriller rend un hommage au grand Maître qu'est King et je trouve qu'il est réussi !

Plusieurs histoires différentes se regroupent pour n'en former qu'une seule. Ce livre est un mélange de réalisme de la vie ordinaire, une femme de quarante-deux ans qui ne sait pas quoi faire de sa vie et qui désire écrire un livre, avec une pointe de sadisme, elle veut tuer Stephen King car il ''copie'' toutes ''ses'' idées.

Le personnage principal, Irma, est ingérable et libre. Elle est tellement imprévisible dans tout ce qu'elle fait, autant dire que les rebondissements sont au rendez-vous et surprennent la plupart du temps.

J'ai accroché de suite, dès le premier chapitre ! Les phrases sont intelligemment construites et transpirent l'humour (souvent noir) dans chaque page. Il y a des scènes dignes de Stephen King avec des descriptions à la limite du glauque mais le tout finit par nous plier en quatre c'est vraiment un exploit de mélanger plusieurs styles d’écriture qui vont nous faire ressentir autant de choses en lisant un roman plutôt court (une centaine de pages format livre).

Pour ce qui est de la façon de rédiger de l’auteur, le tout est fluide et très lisible. J’ai juste mis un micro temps d’adaptation entre chaque histoire (j’ai adoré celle du blog) mais c’est normal.

Pour résumer, je conseille vivement ce livre proposé par Azel Bury, qui m’a fait passer un trèèèès bon moment et m’a aussi donné envie de me replonger dans tous les livres de S.King.

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Commentaire ajouté par debodisco 2015-10-11T10:43:50+02:00
Argent

L'histoire est drôle. Puis gore. Puis drôle encore une fois. Ce mélange donne un rythme à l'histoire et le fait que l'histoire ne soit pas très longue est une bonne chose. La fin est finalement une chute des plus appréciable.

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Commentaire ajouté par aufildesmots 2015-07-10T14:27:18+02:00
Argent

Axel Bury grâce à une écriture énergique nous entraîne dans un tourbillon de bonne humeur, d humour noir corrosif et de folie. Certes ça part dans tous les sens comme dans la vie d Irma qui pour être honnête est totalement déjantée mais à l arrivée, la tête à l envers, on se dit zut c est déjà fini...

Bon moment de lecture délirante

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Commentaire ajouté par mistinguette60 2015-06-12T18:40:44+02:00
Lu aussi

J'ai trouvé que cette histoire partait dans tous les sens et je n'en ai pas trouvé l'intérêt. Le début partait pourtant bien avec cette femme qui décide de devenir écrivain et qui se met à plagier Stephen King à chaque fois qu'elle écrit.

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Commentaire ajouté par SophinetteALE 2015-05-16T16:38:43+02:00
Or

Il faut avoir la tête envahie de je-ne-sais-quoi pour écrire une histoire pareil. Tout démarre normalement, on est bien installé et on se laisse emporter par cette plume qui glisse toute seule et qui nous conte les malheurs d’Irma. Et puis tout dérape. Tout change. Tout. C’est cynique, gore, décapant, surprenant, cruel, déjanté. On sourit, on fronce des sourcils, on tire la langue, on sourit de nouveau, le tout en quelques heures de lecture. Jusqu’au bout, je me suis demandé comment cela aller finir. Un livre qui sort des rangs, et ça, ça fait du bien.

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Date de sortie

La femme qui tua Stephen King

  • France : 2014-10-20 - Poche (Français)

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2023-07-30T11:32:42+02:00

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