Ajouter un extrait
Liste des extraits
Spoiler(cliquez pour révéler)- Arrêtez de vous acharner sur moi, je ne peux pas…
Soudain, Etan m’empêche de finir ma phrase en scellant ses lèvres aux miennes. Aussitôt je me liquéfie, stupéfiée, mon être tout entier envahi d’une douce chaleur. Toute ma tension s’évanouit sous le baiser d’Etan Northcott. Et je découvre son odeur, un parfum bien à lui… il sent le grand air, la nature. Il me retient par les bras avec une douceur surprenante. Cela me parait presque miraculeux.
Afficher en entierTu as vu notre famille. Lorsqu'un plan échoue, nous passons au suivant. Lorsque nous arrivons dans une impasse, nous nous raccrochons à de nouveaux espoirs. Contraints à l'exil, nous sommes restés solidaires.
Nous choisissons la vie. Toujours. A chaque fois que la tragédie frappe.
Afficher en entierNous devons prendre les armes pour une juste cause. Pour la liberté, pour le droit de galoper aussi loin que nous emmène nos rêves. Pour l'espoir des lendemains, ou pour les couronnes de fleurs dans les cheveux.
Afficher en entierSpoiler(cliquez pour révéler)- Ne mens pas. Suis-je présentable ?
Instantanément, Etan se radoucit.
- Tu rayonnes. Comme la lune. Pleine d’assurance et de volonté, éclaboussant de ta lumière ceux qui t’enroulent, et d’une beauté qui aveugle ceux qui errent dans les ténèbres sans s’en rendre compte.
Je passe la main dans mes cheveux pleins de noeuds, dépeignés par le vent.
- Vraiment ?
- Vraiment.
Afficher en entier— Je confirme, vous êtes ravissante, souff l’a-t-il.
— Et il faudra bien que vous fassiez l’affaire, dis-je avec un soupir faussement attristé.
Il rit aux éclats et m’offre sa main. Je mêle mes doigts aux siens.
Page 181
Afficher en entierAlléger le fardeau de ses semblables, c'est encore la meilleure façon de panser ses propres plaies.
Afficher en entierUne personne ne se limite pas à ce qu'elle laisse voir. Elle ne se limite pas à sa lignée, à sa patrie. Elle a une identité propre. Et il faut creuse sous la surface pour aller à la rencontre de sa nature profonde.
Afficher en entier- Combien de proches as-tu perdus?
- Assez pour savoir que je dois les considérer comme des jalons, pas des ancres qui me retiennent au malheur.
Afficher en entierJameson reprend la parole, si maître de lui-même qu'il donne l'impression d'avoir préparé son discours très à l'avance :
- Vos accusations reposent sur du vide, Hollis. Vous ne prouvez rien. En revanche, c'est moi qui ai en ma possession des preuves accablantes. Et c'est vous qui avez enfreint la loi de notre beau royaume. Contrairement à vous, j'ai tout noir sur blanc.
Je peux démontrer que vous, ma lady, vous êtes rendue coupable d'un grave forfait en épousant Silas Eastoffe. Puisque nous étions déjà mariés.
Afficher en entierBalivernes, Hollis. L'amour, c'est un fait. Un fait indéniable.
Afficher en entier