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Maintenant, ne respirez-vous pas ? Ne sentez-vous pas l’air et l’espace purifiés ? Ici, ni travaux ni peines. La tournoyante volute de l’or a gagné les sommités. Du fond des soupiraux où commencent ses rigoles, du fond des boutiques où l’arrêtent de chétifs batardeaux, du sein des comptoirs et des grandes officines où il se laisse mettre en barres, l’or, sous forme de dots ou de successions, amené par la main des jeunes filles ou par les mains ossues du vieillard, jaillit vers la gent aristocratique où il va reluire, s’étaler, ruisseler. Mais avant de quitter les quatre terrains sur lesquels s’appuie la haute propriété parisienne, ne faut-il pas, après les causes morales dites, déduire les causes physiques, et faire observer une peste, pour ainsi dire sous-jacente, qui constamment agit sur les visages du portier, du boutiquier, de l’ouvrier ; signaler une délétère influence dont la corruption égale celle des administrateurs parisiens qui la laissent complaisamment subsister !
Un livre d'époque dirons nous... Je peux admirer ce roman dans le contexte dans le quel il a été créé, je peux voir les raisons pour lesquelles il est plaisant à lire - la passion, la sensualité qui se dégage du récit - mais bordel qu'est ce que c'est chiant. On a un livre de 100 pages environ, qui commence par trente-cinq pages de descriptions des moult différentes espèces d'habitants de paris. C'est joli, c'est bien écrit, certes, mais on pourrait ne pas les lire que ça ne changerait rien à l'histoire. Enfin les personnages sont peu appréciables, tellement ils sont pétris de sexisme, racisme et orientalisme. J'imagine que ça retranscris très bien l'époque, mais actuellement j'ai envie de trucider tout les personnages.
Ensuite la fin est tellement alambiquée et sous-entendue qu'il a fallu que j'aille lire le résumé Wikipédia pour être sûre que j'avais bien compris. Ce qui était le cas, mais ce ne fut quand même pas une expérience de lecture très agréable.
Je doute que l'histoire me reste longtemps en tête.
L’incipit nous offre par maintes descriptions et tournures de styles une présentation de la vie parisienne avec ce qu’elle a de plus vil, clinquant et arriviste. D’après Balzac, que ce soit la haute ou la basse société, tout parisien vit pour deux choses : l’or et le plaisir.
Après cette longue introduction vient ensuite l’apparition du personnage principal. Jeune noble orphelin, Henri s’arrache à tour de bras le cœur des Parisiennes. Seulement, vient la rencontre qui change tout.
Comme toujours, l’écriture de Balzac est un vrai plaisir. Dynamique et romantique, son style nous emporte facilement dans les affres passionnés de ses deux personnages. Malheureusement, tout retombe très vite. La Fille aux yeux d’or est finalement plus complexe qu’il ne le devrait, le rendant alors très bancal. Difficile de comprendre réellement pourquoi l’amour entre Henri et Paquita est impossible et semé d’embûches. Balzac crée un nombre important de pistes pour finalement en laisser plusieurs sans réponses, et cette histoire d’amour est bien trop mélodramatique pour être prise au sérieux.
Le pire est de draper le héros d’une telle suffisance et d’une telle condescendance ; en voulant élever son héros au-dessus des autres de par son ascendance et sa beauté, l’auteur ne le rend que plus antipathique et sexiste. La fin est certes surprenante, Honoré de Balzac osant mettre en avant un sujet sulfureux à l’époque, l’amour lesbien. Mais, cette originalité ne suffit pas à rendre cette œuvre mémorable au sein de la littérature française.
Prolixe et inspiré, Balzac le fut, comme jamais, pour parvenir au terme de « La Fille aux yeux d’or », un roman où la limpidité du scénario n’est pas la principale qualité. Ce que je retiendrai ce sont les descriptions pleines de poésie, de douceur et de romantisme des relations charnelles entre Henri et Paquita. Point de propos graveleux ou d’images obscènes… « La Fille aux yeux d’or » est à la soie ce que « la philosophie dans le boudoir » du Marquis de Sade est à la toile de verre.
Un livre pas si mal. Par conte, il débute très lentement avec une description de Paris que j'aurais sauté. Aussi, il m'a fallu Wikipédia pour comprendre la fin. Cependant, pour l'époque, l'intrigue est vraiment bien pensée.
Lu pour mes études en lectures complémentaires. Clairement ce n'est pas le meilleur de Balzac. Je l'avais trouvé assez lourd à lire, presque indigeste. L'histoire n'est pas plus intéressante que ça.
Ce récit de Balzac ne m'a pas vraiment accroché. Déçue encore une fois, aucun des trois tomes de "l'Histoire des Treize" ne tient vraiment la promesse de leur préface : cette société secrète d'hommes de la haute société n'a pour but que de servir leurs plaisirs, mais n'apparaît à chaque fois qu'en arrière-plan des récits, pour fournir le deus ex machina.
Déçue aussi par le héros, Henri de Marsay, qui, malgré son intelligence supérieure, n'est ici présenté que comme un jeune fat. Il séduit les femmes au premier regard, et toutes lui cèdent, face à sa beauté et son esprit. Il ne cherche qu'une aventure galante pour satisfaire ses sens - à chaque page, il n'est question que de bons cigares, de bons repas, ou de bons jeux amoureux...
Enfin, déçue par ce roman présenté comme une histoire d'amour lesbienne. Non, ce n'est pas de l'amour mais de la passion tarifée - la marquise a acheté Paquita à sa propre mère pour en faire son esclave. Et cette relation n'est vue qu'à travers le regard d'un homme, elle n'est pas décrite - Zola va plus loin dans Nana.
J’ai eu énormément de mal à apprécier cette nouvelle, qui met du temps à débuter à cause de la description des mœurs parisiennes et de sa fin, à laquelle je n’ai rien compris. Si l’histoire entre Henri et Paquita est assez intéressante, elle reste infime (certes, c’est une nouvelle, donc il faut abréger) dans toute cette masse de descriptions et de réflexions. En ce qui concerne la fin, j’ai été obligée de lire un résumé pour comprendre la réaction sauvage de Henri et de la marquise à l’égard de Paquita, car je n’avais absolument rien compris ! Peut-être suis-je trop naïve, ou peut-être est-ce trop capillotracté ...
Plongée dans la société balzacienne du XIXème siècle où règnent l'or et la chair. Texte court mais long en descriptions et portraits (du Balzac). Un bon classique français.
Ce livre a été un cauchemar pour moi, trop, mais vraiment trop de description pour rien. L’histoire en fin de compte se déroule aux dernières pages du livre. Balzac pose son plan tout au début de l’ouvrage, il décrit les personnages, les lieux, la façon de vivre, de se comporter. Pour que à la fin, on comprenne par un pur miracle l’intrigue. Et pour y arriver, je l’ai relu deux fois. Heureusement que le livre n’est pas épais.
Résumé
La fille aux yeux d'or appartient à la trilogie Histoire des Treize de Balzac :
- T1 : Ferragus ou Ferragus, chef des Dévorants
- T2 : La Duchesse de Langeais
- T3 : La fille aux yeux d'or.
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