La Fille sous la glace

Thriller très addictif qui m'a tenu en haleine au point de ne pouvoir le poser avant la fin. Avec un style simple mais efficace, l'auteur, que je ne connaissais pas, arrive à nous emmener avec lui à travers Londres et l'Angleterre pour une enquête pour laquelle on pense après chaque page tenir le dénouement. Mais énorme erreur de penser cela ! L'auteur déjoue tous nos suppositions au fil de la lecture. J'ai passé un excellent moment de lecture avec un personnage têtu et attachant que la vie et l'auteur n'épargnent pas.

Superbe thriller qui tient en haleine avec un rythme soutenu à la lecture aisé

le suspense est maintenu jusqu'à la fin et il faudra dénouer les nombreux pièges

Les personnage sont bien campés

Un agréable moment

Waouh ! Je me suis pris une claque 😱! Je ne pensais pas aimer, j’avais tenté de le lire quelques années auparavant mais ça ne l’avait pas fait. L’univers ne m’avait pas plus alors je l’avais relégué au fond de ma bibliothèque. Et grâce à une amie et son challenge « Réduisons nos PAL » je me suis décidée à le sortir de là et je ne regrette absolument pas !

L’auteur nous tient en haleine, tout semble réaliste, on a l’impression de faire parti de l’enquête, on cherche le coupable, on émet des hypothèses, on cherche les indices et la révélation est choc !

J’ai passé un très bon moment, même si j’avoue que j’ai trouvé les détails parfois un peu gore mais ça ne m’a pas empêché de dormir 🙈😂. J’ai aimé le personnage d’Erika qui se veut intègre contre une police corrompue. L’enquête est palpitante, haletante et très bien ficelée, jusque au bout on ne se doute de rien !

Et pour finir je viens d’apprendre l’existence d’une suite avec de nouvelles enquêtes que je vais lire sans plus aucun doute !

À force de lire des chroniques de Light and Smell sur des polars, j’ai fini par avoir envie dans lire un petit. Malgré le retour du soleil et de la chaleur mon choix s’est porté sur La fille sous la glace de Robert Bryndza qui dormait dans ma PAL depuis quelques années à la suite à son achat dans la bouquinerie de la Croix Rouge.

Le corps d’Andrea Douglas-Brown est retrouvé dans le lac du Horniman Museum. La DCI Erika Foster est chargée de l’affaire alors qu’elle vient d’être mutée à Londres et qu’elle reprend du service après un drame. La victime appartenant à une famille de politicien conservateur, l’enquête s’avère délicate. Surtout lorsqu’on découvre que celle-ci fréquentait les bas quartiers.

Je vais annoncer immédiatement la couleur : je n’ai pas apprécié ma lecture à cause de l’enquêtrice, d’un manque de cohérence dans les relations des personnages et de l’absence de réels rebondissements dans l’affaire.

Pourtant, les premières pages semblaient prometteuses. Erika Foster revient d’un congé sabbatique. La dernière opération d’envergure qu’elle a organisée s’est soldée par la perte de son collègue et mari. Nous retrouvons une détective peu encline à bosser sur un tel meurtre alors qu’elle débarque à peine dans ce commissariat londonien. Cependant, l’instinct reprend vite le dessus. Pour oublier le deuil, elle s’enfonce dans le travail pour dénicher le coupable. Dès le départ, elle fait preuve d’autorité, ce qui déplaît à Sparks qui est destitué de son poste de chef de mission.

Ce portrait aurait dû me séduire si elle n’avait pas eu des comportements terribles pour son statut. Si Erika prône le respect du traitement d’une victime, peu importe son rang dans la société, elle est loin de le faire avec les vivants. Elle y va à l’affront pour défendre la vérité. Elle n’hésite pas à exposer les innocents aux horreurs et à les utiliser pour atteindre ses buts. Elle ressemble à un chien avec un flair excellent, mais qui grogne une fois qu’elle suit une piste. Alors qu’elle n’a pas fait son deuil, elle ne respecte pas celui des autres. De plus, elle est impulsive. Un défaut qui lui a coûté son mari dont la perte ne semble pas l’avoir assagi.

C’est à se demander comment ses nouveaux collègues ont pu l’apprécier. Ah oui, parce qu’elle apporte des donuts ! Quand elle débarque au poste, j’ai eu cette impression que beaucoup d’agents ne l’aimaient pas. Or, les relations sont mises à plat en un clin d’œil. Sauf avec Sparks avec lequel elle se dispute comme des gamins.

L’enquête nous emmène dans une confrontation constante avec Sir Simon Douglas-Brown, le politicien qui veut contrôler l’ensemble des aspects de l’affaire. Un meurtre dans la famille ça fait déjà tache, mais quand les vilains petits secrets de sa fille et des autres risquent de mettre en péril sa carrière et l’image de sainteté qu’il dégage… Vous voyez le tableau.

Un tableau dont les éléments picturaux sont repérables dès le départ que ce soit la personnalité de la victime et celles des suspects.

La plume de l’auteur est simple et fluide. Comme beaucoup d’écriture anglophone dans le genre, on évite les fioritures et on adopte un style froid qui convient à l’enquête.

En bref, La fille sous la glace est un polar plutôt plat où l’enquêtrice détestable patine sur une glace sans teint et butte contre la détermination d’une famille puissante aux sombres secrets.

Un super livre, j'ai eu un peu de mal à le commencer mais très vite, je ne pouvais plus le lâcher. Je ne m'attendais pas du tout au dénouement final. Un très bon policier.

Ce roman débute sur le meurtre d’Andréa, jolie jeune fille issue de la haute société londonienne. Les médias sont sur le qui-vive. On décide alors de confier l’enquête à la DCI Erika Foster, avec comme consignes de ne pas faire de vague. C’est mal la connaître!

L’enquêtrice est un personnage assez attachant avec ses failles et son passé. Mais on pourrait la qualifier un peu de tête brûlée. Elle n’en fait qu’à sa tête, fonce malgré les ordres et ne se pose pas de questions. Tout le contraire de moi, en somme! 😀

Mais Erika a raison de faire confiance à son intuition.

On découvre au fil de la lecture qu’Andréa n’était pas telle que sa famille et ses parents la présentent, qu’elle leur cachait des choses.

On découvre également que ce meurtre pourrait révéler plus qu’une victime. C’est d’ailleurs assez intéressant de voir comment Robert Bryndza dénonce la façon dont les enquêtes sont menées en fonction du niveau social de la victime.

L’auteur nous tient en haleine jusqu’à la fin du roman. Je comprends souvent avant la fin mais là, j’ai vraiment été captivée jusqu’au bout!

Conclusion :

Veillez à avoir du temps devant vous avant d’entamer la lecture de ce roman, il va vous captiver! Une vraie belle découverte!

Un thriller avec une héroïne attachante

L'enquête est sympathique

La couverture est très belle, je possède l’édition France Loisirs. Le scénario est original, bien imaginé et bien développé. L’enquête se déroule de manière logique et cohérente. C’est très bien écrit, j’avais l’impression d’être avec la DCI Foster, et pourquoi pas être une assistante ou une journaliste qui la suivait partout.

L’enquêtrice principale, Erika, est une femme forte et courageuse. Elle s’accroche et suit, non sans difficultés, ses valeurs et ses convictions. Elle a de l’empathie, elle est intelligente. C’est une très bonne enquêtrice ainsi qu’une bonne personne.

J’ai été un peu agacée, parfois, par tous les bâtons qu’on lui met dans les roues. J’avais envie de distribuer des gifles.

Je ne m’attendais pas à une partie de la fin, à ce coupable et à la cause des meurtres, du coup. Ce fut une agréable surprise.

C’est très prenant, intéressant et captivant. Bref, j’ai adoré ! Je ne connaissais pas cet auteur, ce fut une découverte intéressante. Je lirais d’autres livres de sa bibliographie.

très bon suspens

Rien de mieux qu'un bon polar pour bien commencer l'année !

Après plusieurs déceptions au niveau lecture, j'ai été ravie de me plonge dans un roman aussi prenant et passionnant.

On y découvre Erika Foster, qui reprend du service après la mort accidentelle de son mari, qui était policier comme elle.

La DCI Foster est chargée d'enquêter sur le meurtre d'Andrea Douglas-Brown, une jeune fille de bonne famille qui cache pourtant bien des secrets...

''La fille sous la glace'' nous fait découvrir de nombreuses facettes de la vie des policiers, mais aussi de la société britannique dans son ensemble. À travers les yeux d'Erika, on découvre les pressions que subit la Met (et qui entravent l'enquête), les clivages entre familles favorisées et paumées, les rapports tendus entre la presse et la police...

Tout cela donne un roman assez long (plus de 400 pages), mais on ne s'ennuie pas une seule seconde, tant le roman est bien écrit, avec juste ce qu'il faut de suspense pour tenir en haleine jusqu'à la fin.

Un autre bon point réside dans les personnages. Ils sont tous très réalistes et, en nous donnant de nombreux détails sur leur vie privée, l'auteur parvient à les rendre encore plus ''humains''.

D'après la note de l'auteur à la fin du roman, j'ai cru comprendre que Robert Bryndza écrit une suite aux aventures d'Erika Foster, de Peterson et de Kate Moss (oui, oui, vous avez bien lu, mais rien à voir avec la top model). J'espère que ce roman ne se fera pas top attendre, car j'ai hâte de me replonge dans l'univers de ces personnages.