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C'est toujours le même débat les socialistes veulent moins de riches.Je souhaite moins de pauvres.ces deux logiques se révèlent absolument irréconciliables
Afficher en entierFrançois Hollande a été un bon candidat.le rôle lui allait à merveille.Il n'aime ni décider ni trancher.Son monde est celui de l’ambiguïté sympathique,ou chacun est sensé finalement trouver son compte
Afficher en entierLa diminution du nombre des parlementaire est un impératif incontournable,ils sont 1OOO en comptant les députés européen pour un pays de 66 millions d 'habitant, c'est trop
Afficher en entierLa victoire est collective, l'échec est orphelin
Afficher en entierOr la France ne peut en aucun cas se payer le luxe de la perte d’un temps qui lui échappe, d’autant plus que les autres pays avancent bien plus vite qu’elle. Au fond, la manœuvre de la gauche était aussi habile que perverse. Pendant des décennies, tous ceux qui ne pensaient pas « socialiste » pensaient donc faux, ou injuste, ou sans cœur. Eh bien, désormais, on peut ne pas penser à gauche, mais à la condition que cela soit avec la gauche. Ai-je besoin de préciser que je m’opposerai toujours à cette tentation de la facilité qui ne créera que davantage de confusion et de désillusions dans une démocratie française qui n’a besoin ni de l’une ni des autres ?
Ce fut un autre sujet de réflexion pour moi que de constater combien la gauche savait être unie chaque fois qu’une responsabilité ou un poste de pouvoir était en jeu, et combien la droite ne savait pas résister à la tentation de la discorde ou de la désunion dans le même cas de figure. Sans doute l’appétence des médias pour les voix dissonantes joue-t-elle un rôle. Peut-être aussi notre attachement à l’idée même de liberté nous fait-elle nous méfier instinctivement de tout risque d’embrigadement. Quoi qu’il en soit, il s’avérera toujours plus difficile d’unir la droite que la gauche, et ce alors même que nos différences de fond sont infiniment plus ténues.
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