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1943. Reclus dans son quartier général en Prusse orientale, terrorisé à l’idée que l’on attente à sa vie, Hitler a fait recruter des goûteuses. Parmi elles, Rosa.
Quand les S.S. lui ordonnent de porter une cuillerée à sa bouche, Rosa s’exécute, la peur au ventre : chaque bouchée est peut-être la dernière. Mais elle doit affronter une autre guerre entre les murs de ce réfectoire : considérée comme « l’étrangère », Rosa, qui vient de Berlin, est en butte à l’hostilité de ses compagnes, dont Elfriede, personnalité aussi charismatique qu’autoritaire.
Pourtant, la réalité est la même pour toutes : consentir à leur rôle, c’est à la fois vouloir survivre et accepter l’idée de mourir.
Couronné en Italie par le prestigieux prix Campiello, ce roman saisissant est inspiré de l’histoire vraie de Margot Wölk. Rosella Postorino signe un texte envoûtant qui, en explorant l’ambiguïté des relations, interroge ce que signifie être et rester humain.
"Donner la vie, l'ôter, tout ça n'a rien de divin, c'est une affaire humaine. Gregor, qui ne voulait pas se trouver à l'origine d'un destin, s'était enlisé dans un problème de sens, comme si donner la vie devait répondre à un sens, mais Dieu lui-même ne s'est pas posé ce problème"
J’ai trouvé la première partie assez longue. Il ne se passe pas grand chose, on s’ennuie un peu. J’ai vraiment commencer à apprécier ma lecture au milieu du livre.
Cependant, j’ai trouvé que la « romance », assez étrange, prenait trop de place, ce n’est pas le sujet du roman.
Globalement, j’ai apprécié la seconde partie du livre quand les évènements commencent à s’enchainer, que la fin de la guerre arrive, mais ce n’est pas un coup de coeur.
L'histoire dévoile un pan de L'Histoire sous un angle différent
Le travail des goûteuses d'Hitler
les personnages présentent tous des facettes disparates qui réagissent face à la peur, l'angoisse de manière différente
on s'accroche, on s'étonne, on s'horrifie de la nature humaine et parfois on se dit c'est bien vrai et pourtant...c'est parfois hideux et terrible
la 3eme partie à cassé le rythme de lecture selon moi, une ellipse assez longue se produit..je rencontre de nouveaux personnages avec lesquels il faut jongler en plus des anciens
Une énorme déception.... Etant friande des écrits historiques ou fictifs de la période dramatique de la seconde Guerre Mondiale, j'étais ravie de découvrir un nouveau pan de cette période avec le sujet des gouteuses d'Hitler. Je n'ai pas réussi à m'attacher à l'héroïne, ni aux perso secondaires. C'est plat et creux de sentiments et la narration décousue entache la lecture. La troisième partie du récit est bizarre et au final inutile.
D'un point de vue historique, on apprend rien , franchement, passez votre chemin...
J'aurai aimé que l'hsitoire soit plus centrée sur les gouteuses et leur histoire que sur les sentiments du personnage principal pour son mari parti à la guerre puis sur l homme qu'elle rencontre ensuite...
Roman inspiré de l'histoire vrai de Margot Woelk. Très interressant, très bon livre jusqu'à la dernière partie où nous nous retrouvons dans les années '90 auprès du (l'ex) mari retrouvé. Le dénouement mal ficelé je trouve.
Un roman intéressant. Si le thème de la Seconde Guerre mondiale, et la domination nazie est un sujet très ancré dans la littérature, c'est bien la première fois que je lis quelque chose sur les goûteuses du Führer.
On est sur un roman historique efficace qui met en lumière des personnages qui ont un rôle bien complexe : ici contre leur gré, elles devront risquer leur vie, pour protéger celle d'Hitler. C'est donc un sentiment de peur et d'oppression qu'on ressent tout le long du récit.
Mais on va au-delà de ça : le quotidien des allemands, les paradoxes, les craintes, tout est bien retranscrit, et vraiment passionnant.
Le personnage de Rosa est attachant, et plutôt réaliste. J'ai très vite été immergée par son histoire (et l'Histoire avec un grand H).
Résumé
1943. Reclus dans son quartier général en Prusse orientale, terrorisé à l’idée que l’on attente à sa vie, Hitler a fait recruter des goûteuses. Parmi elles, Rosa.
Quand les S.S. lui ordonnent de porter une cuillerée à sa bouche, Rosa s’exécute, la peur au ventre : chaque bouchée est peut-être la dernière. Mais elle doit affronter une autre guerre entre les murs de ce réfectoire : considérée comme « l’étrangère », Rosa, qui vient de Berlin, est en butte à l’hostilité de ses compagnes, dont Elfriede, personnalité aussi charismatique qu’autoritaire.
Pourtant, la réalité est la même pour toutes : consentir à leur rôle, c’est à la fois vouloir survivre et accepter l’idée de mourir.
Couronné en Italie par le prestigieux prix Campiello, ce roman saisissant est inspiré de l’histoire vraie de Margot Wölk. Rosella Postorino signe un texte envoûtant qui, en explorant l’ambiguïté des relations, interroge ce que signifie être et rester humain.
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