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Extrait ajouté par Folize 2018-07-04T14:33:58+02:00

J'avais l'impression d'avoir fait une erreur, j'étais embarrassé par mon apparence et mon odeur et je compris à cet instant que je n'aurais pas dû l'appeler.

- Web ! cria-t-il.

Jusqu'à ce qu'il dise mon nom.

Plus rien n'importait après ça.

Je laissai tomber mon sac à dos, lui tendis les bras et attendis.

Il se précipita et se jeta sur moi, frappant durement mon torse, le visage enfoui dans mon cou alors qu'il me serrait étroitement dans ses bras.

- Pourquoi trembles-tu ? demandai-je dans ses cheveux en le serrant, appréciant la sensation de son corps dur plaqué contre le mien et de ses lèvres parcourant ma gorge.

- Parce que tu m'as manqué, crétin !

Il s'accrocha à moi et releva la tête pour croiser mon regard.

- Peux-tu monter dans la voiture que je puisse t'embrasser ?

- Oui, m’sieur, lui répondis-je.

Il recula, ôta l'un de ses gants en cuir, saisit ma main et entrelaça ses doigts aux miens. Je n'avais aucune idée combien mes mains étaient froides jusqu'à ce qu'il me touche.

À la voiture, il me lâcha et je jetai mon sac sur la banquette arrière quand il monta, puis je grimpai dans le siège passager. L'intérieur du véhicule sentait le cuir et était, bien sûr, immaculé.

- Jolie, le complimentai-je alors que je laissais la chaleur m'envelopper.

Il verrouilla les portières rendant ainsi toute évasion impossible, et je me tournai pour lui adresser un sourire devant cette réaction évidente.

Quand je vis son menton trembler, je tendis la main vers lui.

Mes doigts s'enroulèrent doucement autour de sa gorge. Mon pouce caressa sa mâchoire et je me penchai vers lui.

- Je vais prendre une longue douche chaude quand je serai chez toi, d'accord ? Et dès que je serai propre, je pourrai aller dans ton lit.

Il me jeta un bref coup d'œil et je pus constater qu'il était sur le point de pleurer.

- Depuis quand pleures-tu pour moi ? le taquinai-je, tentant de le sortir de cet état.

- Depuis que je pensais ne jamais te revoir.

- Ça n'arrivera jamais, lui assurai-je. Et quand je trouverai enfin un chez-moi, tu pourrais même envisager de venir me voir.

- Ou peut-être que tu pourrais simplement rester ici.

- Cy, ne...

- Stop ! aboya-t-il, les mains sur mon visage, me tirant vers lui tout en se penchant afin que nous nous rencontrions dans un baiser brutal, dur et violent, un geste montrant à quel point je lui avais manqué.

Je ressentais la même chose. Chaque fois que nous étions séparés, je me languissais de lui.

Ses lèvres s'entrouvrirent instantanément pour ma langue et je renouai avec sa bouche chaude, savourant sa présence, m'enivrant rapidement de lui.

Il enjamba la console entre nous et fut sur mes genoux, son mètre quatre-vingt se tortillant, se tournant et chevauchant mes hanches, poussant son érection contre mon ventre. J'écrasai la mienne douloureuse contre son sillon tandis que son souffle devenait irrégulier. Il y eut nos mains tâtonnant rapidement, nos langues s'entremêlant, mon profond gémissement et ses bras se resserrant en réponse. C'était tellement bon la façon dont il s'agrippait à moi, mordant ma lèvre inférieure et pressant son torse contre le mien.

- Tu m'as manqué, dit-il d'une voix étranglée. Toujours.

Je levai les mains à son visage, le tirant en arrière et relevai les yeux vers lui.

- Moi aussi. Emmène-moi à la maison avant que je te baise dans la voiture.

Ses yeux étaient à demi clos par le désir et quand je me soulevai, un ronronnement grave et sexy lui échappa.

- La voiture me semble très bien.

J'arquai un sourcil à son intention.

- C'est vrai, Docteur Benning ? le taquinai-je en articulant son titre. Penses-tu que nous ferions la une des pages mondaines ?

- Tu es bien le seul à penser à ma carrière dans un moment comme celui-ci.

Je ris et l'attrapai fermement, l'écrasant contre moi et poussant un profond soupir.

- Combien de temps peux-tu rester ?

- Deux ou trois jours, dis-je en fermant les yeux, la chaleur de son corps, la force avec laquelle il m'étreignait et son souffle dans mon cou me faisant souhaiter rester ici et ne jamais bouger. Seigneur, j'aime te tenir dans mes bras.

Il ne dit rien, il resserra simplement son étreinte.

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Extrait ajouté par mao0 2015-09-23T08:40:36+02:00

— Je ne te veux pas sur un ranch quelque part au Texas ! Je te veux ici !

Je me retournai en m'éloignant de lui et j'enfouis ma tête dans l’oreiller. Je ne voulais pas me battre. C’est ce qui était arrivé la dernière fois et je me souvenais de son ultimatum, comme il avait été en colère, tremblant de rage et furieux contre lui-même et ses larmes, fulminant que je puisse avoir tout ce pouvoir sur lui.

— C’était une erreur, murmurai-je en déplaçant l’oreiller tandis que je roulais la tête sur le côté. Je suis tellement désolé, Cy. Au moment où cette fichue chose était en train de guérir, je reviens, j’arrache le pansement et je la refais saigner encore une fois.

Il resta silencieux et je me maudis de ne rien dire.

— Weber…

Il grogna mon nom et le poids de son corps sur le mien me surprit, m’épinglant sous lui sur le lit.

— N’as-tu jamais pensé que la seule chose que tu étais censé faire était de m’aimer ?

Je me figeai et me tus parce que vouloir ma présence était une chose, l’amour en était une autre. Nous n’en avions jamais parlé ni abordé le sujet, et encore moins prononcé le mot.

Mon Dieu !

— Oh, il a peur maintenant.

Je me décalai sous lui.

— Lève-toi.

— Et si je dis non ? demanda-t-il, la main dans mes cheveux, inclinant ma tête sur le côté, ses lèvres embrassant la courbe reliant ma nuque à mon épaule, son autre main courant sur mon flanc.

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Extrait ajouté par Ufulu-mzimu 2023-12-21T04:34:38+01:00

« — Bonjour, cow-boy, dit-il en s’assurant que seules ses lèvres me touchent.

— Quoi ?

Il fit la moue.

— Tu es tout en sueur.

— Tu aimes quand je suis en sueur.

— Quand je le suis également.

Son visage me disait que j’étais dégoûtant alors qu’il m’éloignait de lui.

— Va là-bas. Ne me touche pas, d’accord ?

— Viens là.

— Non, dit-il en riant. Dégoûtant.

Je fis un geste pour l’attraper et il sauta en arrière.

— Weber !

— Ici, bébé.

— Non, dit-il en riant, mettant le comptoir entre nous. Mange ou va prendre ta douche.

J’agitai les sourcils et me jetai sur lui. Les sons que fit cet homme – rire, cri et hurlement – furent un réel plaisir à entendre »

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Extrait ajouté par Idole 2022-08-17T17:03:41+02:00

— Phillip est jeune. Il pourrait ne pas s’accrocher à la disparition de son père, mais les deux autres sont assez âgés pour se demander, à présent, qui d’autre partira.

Je me raclai la gorge.

— Ce sera moi. J'ai fixé mon départ dans quelques semaines, juste après le Nouvel An.

— Ça ne marchera pas.

— Pardon ?

— Micah est lié à vous, Weber Yates. Il pourrait même vous parler ou parler de vous assez rapide-ment. C’est dans ses yeux, l’excitation, l’attente. Il voulait tellement me parler de vous aujourd’hui. Il ne pouvait pas dessiner assez vite. Il voulait exprimer des choses et comme j’étais délibérément obtuse, il était très en colère contre moi. Je pense qu’il me croyait plus intelligente.

Son sourire était malicieux.

— Vous l’avez dupé.

Elle haussa les épaules.

— J’ai une petite fenêtre pour le forcer à revenir au moment avant qu’il ne se soit fermé totale-ment. Le choquer, le mettre dans une situation où quelqu’un d’autre pourrait être blessé, s’il ne parlait pas, toutes ces conneries, vous comprenez ?

J’éclatai de rire

— Je ne peux pas croire que vous ayez dit ‘conneries’.

— Eh bien, ce n’est pas un film de la chaîne Lifetime. Nous devons vraiment nous en occuper en temps réel et avec une vraie thérapie. Il a perdu sa voix à cause d’un choc. Un autre choc ne la refera pas revenir. Ça ne fonctionne pas comme ça. Elle reviendra quand il sera prêt. Mais s’il peut faire face au monde sans elle, que faire pour lui redonner envie de parler ?

— Ouais, je suppose.

— Mais vous, mon cher, vous, il veut vous parler et parler de vous. Vous êtes l’anomalie, la pièce nouvelle. Il était abandonné et vous êtes apparu. Tristan a le même regard sur vous, empli de désir et d’espoir. Quoi que vous fassiez, ne tuez pas ça, car je devrais vous tuer.

Elle était minuscule, mais vraiment effrayante en même temps.

— Ce sont des conneries, grognai-je. Vous ne devez pas jeter cette merde à ma porte. Je ne suis pas responsable de la psyché – vous ne pensiez pas que je connaissais ce mot, n’est-ce pas ? – de ces trois garçons.

Elle commença à glousser.

— Pourquoi riez-vous ?

— Oh mon Dieu !

Elle riait très fort et ce n’était pas du tout féminin.

— Qui êtes-vous ? D’où venez-vous ?

— Avant ça ?

J’étais confus.

Et voilà, elle était partie. Elle était pliée en deux, riant aux larmes, avec des grognements rauques, hurlant de rire.

— M’dame, vous avez perdu l’esprit.

Ce fut comme jeter de l’essence sur le feu.

Je n’avais aucune idée de ce qui l’avait déclenché, mais comme elle ne semblait pas revenir à la rai-son, j’appelai les garçons pour que nous puissions partir. Cette femme, médecin, psy, était folle. Pourquoi me prit-elle dans ses bras pour me dire au revoir et pourquoi la laissai-je faire, je ne savais pas.

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Extrait ajouté par Idole 2022-08-17T17:03:15+02:00

Il fut enroulé autour de moi dans la seconde et tandis que je calais sa tête sous mon menton et le tenais fermement, je le sentis trembler.

— Personne d'autre que toi ne m'a jamais tenu comme ça.

— Des putains d'idiots, lui assurai-je. Ils ratent quelque chose de génial.

— Tu es le seul qui sait que j'aime ça, parce que tu es le seul qui m'ait poussé à le faire.

Cet homme était un monsieur câlin né, qui aimait se blottir et se lover contre moi. J'avais été sur-pris la première fois quand il avait tenté de se dégager. Mais alors que je le tenais pressé contre mon cœur, je l'avais senti s'abandonner, me rendre mon étreinte, trembler dans mes bras et gémir douce-ment.

— Tu es le seul qui ait eu le courage d'essayer et de me soumettre.

— C'est vrai.

Je souris dans la pénombre en frottant ma joue contre ses vagues soyeuses.

— Tu ne voulais pas le faire la première fois, pas vrai ?

— Non, dit-il dans un souffle, parce que j'étais un putain d'idiot à l'époque.

Je pouffai de rire et resserrai mon étreinte.

— Merci d'avoir envie de me serrer dans tes bras, Weber.

— Merci de me laisser le faire, Cyrus.

Son soupir de plaisir me fit sourire tandis que mes yeux se fermaient.

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Extrait ajouté par Sleepwxlker 2018-01-16T03:37:37+01:00

Je compris enfin que cet homme m’aimait réellement et totalement. Et il ne m'aimait pas parce que j’étais un cow-boy, parce que j’étais un idéal romantique mais parce que j’étais moi. Il aimait le bon vieux Weber Yates, pauvre, sans emploi et paumé. Il adorait le sol sur lequel je marchais. Ça n’avais aucun sens. Nous étions aussi différents que possible. Je n’étais rien, il avait le monde à ses pieds, mais de toute évidence, dans ce scénario, il ne le voyait pas comme ça. Il n’avait rien sans moi. Cet homme me voyait, chérissait mon cœur, reconnaissait combien je l'aimais et savait qu’il ne me viendrait jamais à l’esprit d’arrêter, jamais.

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