La guerre des légumes
Auteur
- Peter Sheridan (Écrivain)
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Classement en biblio - 7 lecteurs
extrait
Philo trouva un travail chez Pownall' s grâce à Josie Cullen. Il consistait à bourrer des édredons de duvet et de kapok. Quand les ouvrières en avaient marre des édredons, elles s'attaquaient aux oreillers. Les plumes se collaient partout, dans le dos, à l'intérieur du nez, dans la culotte ; même si c'était répugnant, ça avait le mérite de la sortir de chez elle. C'était l'essentiel.
Le kapok faisait éternuer tout le monde chez Pownall' s. Les employés se livraient à des concours d'éternuement : le record était de quatre-vingt-dix-huit en une journée. Philo n'excellait pas à ce petit jeu ; les gens minces semblaient y être plus sujets. Alors elle se défoulait en écrivant des petits mots sur des bouts de papier, qu'elle fourrait dans les édredons et les oreillers. Elle écrivait des stupidités du genre : la fabrication de cet édredon a coûté la vie à vingt-six canards ou cet oreiller ne doit pas servir à l'adultère.
Afficher en entierCommentaires récents
Ce livre ne m'a absolument pas captivée.
Je m'attendais à une histoire complètement différente, celle que laissais présager la 4e de couverture.
J'ai apprécié qu'il y ait justement cette " fin de guerre des légumes" et la façon dont ce sujet pas évident Spoiler(cliquez pour révéler)de la découverte de la sexualité pour un vieil hommea été abordée.
Néanmoins, le personnage de Philo, par son caractère, par sa façon de parler, par sa façon de se comporter avec les gens, par sa façon de voir la vie ou plutôt de gâcher 30 ans de sa vie et 15 de la vie de ses enfants et ensuite penser que tout peut se réparer en perdant du poids, ne m'a absolument pas convaincue et je ne me suis identifiée en aucun point à elle.
Afficher en entierDate de sortie
La guerre des légumes
- France : 2008-04-16 - Poche (Français)
Activité récente
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Résumé
Un dimanche soir, la paix et la sérénité qui règnent au couvent Le Bon Berger à Dublin sont troublées par l'irruption d'une femme. Philo, le corps couvert de tatouages et pesant près de cent vingt kilos, cherche désespérément un refuge après avoir fui le domicile conjugal. Son goût pour le tabac, les orgies et les jurons ne font pas d'elle la candidate idéale pour la vie religieuse. Mais Philo est désespérée : après quelques hésitations, les religieuses acceptent de la prendre sous leurs ailes. Philo trouve vite sa place au sein de la communauté et reprend également confiance en elle pour pouvoir affronter les failles de son existence : son mari volage, son fils délinquant et un sombre secret qui la hante depuis des années.
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