Extraits

- Ça ira... Ça ira, ma fille... J'ai confiance... Tous ces aristocrates, on les pendra à la lanterne ! Et toute la famille de Sambre en premier ! ... Et même Maxime ! ... Jure...

- ... Même Maxime ?

- ... Pour l'é... l'égalité... Constance !

Louise : ... Un cadeau de noces, c'est sacré ! N'est-ce pas, Maxou ?

Constance : Non !... Il s'appelle Maxime ! Moi seule l'appelle Maxou ! Maxou, il est qu'à moi !

C’était mal le connaître. A treize ans déjà, Maxime avait plus d’ambition que de gérer la maigre dot de son épouse, et trop d’orgueil pour se contenter d’une baronne provinciale.

Pour le reste, du moment qu'ils vivent dignement et font honneur à leur nom, je vous laisse le soin des détails de leur éducation...

Malgré l'homélie chaleureuse de l’abbé Doisy, l'impression laissé le jour du mariage fut à l'image de la saison, glaciale et silencieuse, sauvée par l'apparence de son plus épais manteau.

... égalité, fraternité, et puis quoi encore? La liberté aux esclaves peut être? Et le bonheur pour tous? Mais ce sera la faillite de notre économie! Qui travaillera encore? Je le dis souvent à mes administrés, le bonheur ne fait pas l'argent, alors que lui achète tout le reste!

"Regardez la femelle, le mâle ne l'approche plus... Elle a les yeux rouges... Elle est malade, je vous dis. Maxime, vous m'écoutez ?... Je crains qu'elle soit condamnée..."