La Guerre des Sambre - Maxime & Constance, Chapitre 1 : Automne 1775 - La Fiancée de ses nuits blanches
Auteur
- Yslaire (Écrivain)
- Marc-Antoine Boidin (Écrivain)
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Classement en biblio - 76 lecteurs
extrait
"Tu rougis... mais de quoi ? D'avoir perdu ta vertu ? Ou de l'avoir si peu défendue ?"
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Très bon tome ! Je trouve que c'était très fluide et que les personnages sont bien travaillés.
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Ce tome est certainement le plus dérangeant de tous...
Mais la complexité des liens familiaux et la relation entre les personnages sont une nouvelle fois portés d’une main de maître par Yslaire (et Boidin).
La maîtrise de la narration est exemplaire. Et malgré l’extrême dureté des faits, cette mélancolie poétique mise en place dès le premier tome de la saga ne nous quitte jamais.
Les dessins et couleurs sont toujours magnifiques et servent à la perfection le propos.
De plus, l’ambiguïté du caractère du personnage de Maxime rend le tout extrêmement addictif.
Cette saga familiale n’a définitivement pas fini de nous surprendre.
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Plus sombre, plus malsain que les autres générations.
Maxime est un personnage ambigu. On voit apparaitre la noirceur et la manipulation dont il sait faire preuve dès l'enfance.
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Une atmosphère encore plus lourde que la trilogie précédente. Ici, on fait la connaissance de Maxime qui ne sera pas épargné par le destin. Ce faisant, sa personnalité même est ambigüe entre innocence et manipulation, une sorte de double personnalité. Une histoire passionnante mais insoutenable à lire dans certains passages.
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Cette BD ouvre cette trilogie en beauté. La lecture est plus fluide maintenant que j'arrive mieux à situer les personnages et leur relation. Maxime est un personnage très intéressant malgré son caractère que je trouve déconcertant et incohérent. Je suis très pressée de lire la suite. Cette série de BD m'intrigue toujours autant et je n'arrive pas à lâcher les pages !
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Avec un scénario plus fluide et plus agréable à lire que pour la génération « Hugo & Iris », l’histoire est focalisée sur le personnage de Maxime et sur ses origines pour mieux comprendre sa personnalité future, sans que la malédiction des yeux rouges n’intervienne encore.
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Un tome qui nous permet de mieux comprendre certaines choses suggérées dans la précédentes trilogies. Cette trilogie est encore plus sombre.
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j'ai adoré cette bd, la partie de Maxime et Constance malgré quelque détail était parfois insupportable mais hâte de lire les prochaines bd
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Je ne sais pas quoi penser de ce tome là!! je l'ai lu et j'ai bien aimé même si parfois c'était juste insupportable!! Maxime en voit des vertes et des pas mûrs!! Tout comme les autre Sambre, il fera les frais du Destin et de la malédiction familial!
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Un excellent tome, parfois difficile à supporter, où est décrite la lente destruction d'une innocence. Le jeune Maxime de Sambre ne sera pas épargné par la fatalité qui pèse sur sa famille, comme en témoigne son enfance gâchée par la cruauté de Von Dantz.
Le passage sur Constance est assez rapide ; espérons qu'elle sera davantage présente dans les prochains tomes.
Quant à la fin... elle est si terrible. "Car la guerre des Sambre est éternelle et sans merci" !
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Date de sortie
La Guerre des Sambre - Maxime & Constance, Chapitre 1 : Automne 1775 - La Fiancée de ses nuits blanches
- France : 2014-09-17 (Français)
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Résumé
Charlotte a accepté de prendre soin de Maxime comme de son fils. Pourtant, c’est son petit frère, dernier fruit des déboires familiaux. Celui-ci démontre, dans ses jeux avec la reine Marie-Antoinette, une réelle prédisposition pour charmer les femmes, mais aussi à se servir de son apparente candeur. Suite de couches difficiles, grippe, mais surtout suite à de grands tourments moraux, Charlotte décède trop jeune, laissant sa fille et Maxime seuls aux prises avec le Comte von Dantz. Celui-ci, manipulateur libidineux, finit ses nuits arrosées en rossant et violant le petit garçon. Maxime se renferme sur lui-même, se cache et fait payer à sa demi-sœur Josepha ses nuits de tourment en la maltraitant dans leurs jeux d’enfants. Un matin, harassé par son beau-père, il s’enfuit et prend refuge chez une famille voisine, les Collée des Vignes, gens simples et gentils qui le prennent sous leur aile. Maxime confesse alors tout à l’abbé Jean Doisy…
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