Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 842
Membres
1 008 542

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

- Tu peux arrêter maintenant. Je crois qu'elle a dit pardon.

- Moi, je n'ai rien entendu...

- Au même âge, je t'ai connue aussi effrontée... C'est fou ce qu'elle te ressemble, non?

- Pas tant que ça. Chaque fois que votre main s'est portée sur moi, moi, je ne pleurais pas.

Afficher en entier

_Quel est ce jeune homme qui fixe ainsi votre fille?

_Qui donc?

_Mais si, voyez! Celui qui tente de lui échapper!

_Voyons, duchesse, c'est là leur jeu se découvrir, se cacher et s"enfuir... L'amour, c'est de leur âge... Et c'est tellement plus drôle masqué.

_Voilà bien une définition française de la galanterie! Je me suis même laissé dire qu'à Versailles, c'était leur jeu préféré...

_De fait! A la cour d’Autriche, on préfère les défilés militaires et la charge des hussards! L'Impératrice compte neuf enfants, si je ne me trompe...

_Les autrichiens sont peut-être rustres, mais en matière de babillage, ils n'ont rien à vous envier...

_En moins léger, tout de même, et en plus tragique. Regardez ce jeune viennois, c'est à croire qu'il vient pour un enterrement...

Visiblement, ce n'est pas un familier de la cour d'Autriche...Car l'Impératrice ne tolère pour l'anniversaire de sa fille que des couleurs gaies.

_Franz-Joseph?...

_Perdu!

_A ton tour!Wagner...!

_Non, vraiment, je ne sais qui l'a fait entrer ici, ce jeune puceau... Ce bon curé de Bönn peut-être? Ou votre mari? Il a toujours des idées fantasques, votre mari...

_Oubliez un instant mon mari, vicomtesse! N'est-ce point vous qui l'avez invité? Ne mentez pas, je connais votre goût des intrigues pour peu qu'elles satisfassent votre appétit de cupidon...

_Vous vous méprenez, Alexandra! A mon âge, qui a encore cet appétit? La lassitude m'en prive...

_Certes, l'ennuie est, hélas, notre plus fidèle mari...

_...Voilà pourquoi il ne faut jamais hésiter à le tromper...

_Comtesse! Où courez-vous?

Afficher en entier

Certes, l'ennui est, hélas, nôtre plus fidèle mari...

- Voilà pourquoi il ne faut jamais hésiter à le tromper...

Afficher en entier

- Croyez-moi, je suis votre plus vieil allié, madame, et je peux vous l'affirmer : si Werner s'est réincarné aujourd'hui, c'est pour se venger... Ses yeux ne mentent pas !

- Ah oui ? Je devrais donc trembler, rien qu'à le regarder ?

- Oui. C'est lui qui vous a violée... dans une autre vie...

- Assez plaisanté, l'abbé. Je vais vous étonner, mais... j'en doute. Et je ne vois qu'une manière de le vérifier... le coucher dans mon lit. Croyez-moi, si c'est lui mon violeur, je saurai le reconnaître !

- Vous plaisantez encore, j'espère ?

Afficher en entier

- Je me suis permis d'inviter l'un de mes jeunes protégés. Figurez-vous qu'il a le même âge que la dauphine... et que votre fille ! Quelle coïncidence, n'est-ce pas ?

- En effet, que c'est étrange ! Suggérer à ma fille qu'elle puisse être née sur le même pied d'égalité qu'un orphelin sans le sou... à Versailles, cela serait jugé comme un affront !

- Que de mauvaises pensées, madame ! Je ne cherchais qu'à initier ce garçon à la découverte de votre brillante culture... n'est-ce pas le voeu de votre roi que de mélanger le sang de nos deux grandes maisons ?

- Certes, de nos maisons... mais personne n'a parlé de nos écuries !

Afficher en entier

- Mon père, j'aimerais me confesser...

- Après l'étude, Werner, rien ne presse ! D'ailleurs, je te trouve bien impatient... Serait-ce le péché de la tentation dont tu découvres le parfum suave ?

- Non, c'est bien pire... Mon père, j'ai douté... Pour la première fois, j'ai douté de Sa miséricorde...

Afficher en entier

- Comme il est écrit, au commencement, il n'y avait qu'un oeil... Mais de quelle couleur était-il ?

- Je ne comprends pas la question, madame...

- Réfléchissez, mon garçon. Vous prétendez que Dieu vous a conçu. Or s'il avait la même couleur d'yeux que vous héritez de sa maladie de naissance... à la moindre blessure, vous saignez abondamment, n'est-ce pas ? Vous comprenez bien, mon jeune ami, que le coeur d'une mère s'interdit d'exposer la descendance de sa fille à une si vilaine contagion...

- Madame ! Comment me faire pardonner la tare que mes yeux portent ? Comment puis-je expier ce péché de naissance pour mériter le bonheur de parler à Charlotte ? Dites-le moi, madame !!

- Ai-je évoqué la possibilité d'une rédemption ?

Afficher en entier

"En vérité, en vérité, les yeux sont la fenêtre de l'âme et la couleur de l'iris en donne le sentiment... La vôtre, mademoiselle, n'est pas celle de l'amour... Mais du désenchantement..."

Afficher en entier

"Le bonheur ? En voilà une idée révolutionnaire, mon père !"

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode