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On disait éteinte la race des griffons, ces créatures mythiques menées par les danseurs d'orage. Pourtant, Yukiko et son père reçoivent l'ordre d'en capturer un pour le cruel shogun des îles de Shima. Contre toute attente, ils y parviennent, mais Yukiko se retrouve perdue dans une forêt sauvage, avec pour seule compagnie un griffon mutilé qu'elle nomme Buruu. Unis dans l'adversité, la jeune fille et l'animal s'entraident. Yukiko serait-elle la véritable danseuse d'orage, ultime espoir du peuple ?« Comment ?
Cela fait bien longtemps que je n'avais pas lu un roman de fantasy aussi addictif. Stormdancer n'est pas une œuvre sombre comme sortent de nombreux romans ces derniers temps. A dire vrai, ce dernier pourrait être facilement vu comme un roman de young adulte sans pour autant démériter. L’héroïne forte qui va se soulever contre la tyrannie en place n'est pas sans rappeler un certain Hunger Games. Pour autant, l’œuvre se démarque de par son univers et le lien qu'entretien l’héroïne avec son griffon.
Les premières pages demanderont un petit léger temps d'adaptation avec un auteur qui utilise pas mal de termes issus de la culture japonaise. Les gros lecteurs de mangas ou plus généralement de cultures japonaises seront sans doute plus à l’aise et ne seront pas dépaysés avec des termes comme Kitsune, Shogun, Seppuku... Pour les autres, un lexique est disponible en fin de roman et puis les termes spécifiques tendent à disparaitre avec l'avancée de l'histoire.
A noter qu'il s'agit d'un univers imaginaire de pure fantasy dans un style steampunk à l'époque des samouraïs. Steampunk désignant des avancées technologiques qui n'ont pas lieu d'être à l'époque dites en question (nous avons des navires volants par exemple).
L'autre grand atout du livre après son univers, c'est la relation que nous avons entre l’héroïne Yukiko et le griffon. Ces derniers partant tout deux du mauvais pieds pour finir par s'apprivoiser l'un l'autre et leurs échangent est un vrai régale à lire. Certains ont fait un rapprochement avec Eragon. Honnêtement, je n'ai pas lu ce dernier donc je ne peux pas dire mais je doute qu'Eragon soit dépositaire de ce genre de lien (la trilogie des Flèches de Mercedes Lackey est bien plus anciens par exemple).
Autre détail, si le livre peut s'apparenter à du young adult, il s'agit d'un auteur masculin et je dois dire que j'ai pris un plaisir fous à lire la nique que fait l'auteur à toutes ses romances lambda. Je n'en dis pas trop mais sachez juste que j'ai adoré le traitement de cette romance par l'auteure.
Au final, dire que c'est un roman original serait mentir puisque nous avons un cheminement des plus lambda. Pour autant, le rythme endiablé, les personnages hauts en couleurs et son univers original font de ce premier tome une lecture que je recommande vivement et espère vite avoir la suite (à noter que la fin du tome est des plus satisfaisante).
J'ai un peu passé ces derniers jours à ne parler que de Stormdancer autour de moi et maintenant que je l'ai fini, j'ai bien peur pour mon entourage que ça devienne pire. Je pense que ça va me prendre un temps fou pour trouver un autre livre qui va me passionner autant.
Par où commencer ? A mon avis, les principaux défauts de Stormancer ne sont pas tout à fait des défauts. Je m'explique : Le premier défaut est que les premières pages sont assez laborieuses. On est tout de suite introduit dans cet univers fascinant, mais on a très peu d'explications. J'ai passé ces premiers chapitres le nez dans le glossaire. De plus, même si j'ai aimé le style d'écriture de l'auteur, le début de récit présente beaucoup trop de descriptions, de quoi se perdre. Mais je ne pense pas que ce soit réellement un défaut, parce que même si l'introduction à l'univers du livre n'est pas tout de suite aisée, l'univers en lui même est tellement bien construit qu'on ne peut qu'avoir envie de le comprendre dans ses moindres détails (du moins, ça a été mon cas). Non mais franchement, un univers steampunk au possible, avec une culture détaillée, complète et inspirée de la culture Japonaise, je signe tout de suite. Le fait que les explications tardent à venir rendent l'univers d'autant plus intrigant, même naturel, dans le sens où il s'inscrit parfaitement dans l'histoire par la suite. En tout cas c'est un univers qui m'a énormément plu, j'ai vraiment hâte d'en savoir plus à ce sujet.
Quant au nombreuses descriptions, je ne saurais reprocher à l'auteur de vouloir nous immerger dans son livre, d'autant plus qu'il écrit très bien.
Second défaut pas vraiment défaut, est que ce livre est bien meilleur à la fin qu'au début. On ne peut décidément pas apprécier et juger cette histoire par ses débuts, même ce premier tome me parait comme une introduction pour quelque choses de beaucoup plus bon. Pourquoi ? Tout simplement parce que l'auteur prend un malin plaisir un créer une intrigue et des personnages qui à première vue, n'ont rien de particulièrement original, c'est même tout le contraire. C'est un univers quand même assez manichéiste à ses débuts. Puis vers les derniers chapitres, l'auteur semble beaucoup s'amuser à détruire ce manichéisme. Bon pas entièrement, mais c'est quand même assez impressionnant. Comment aurais-je pu penser que Yukiko allait autant m'étonner alors qu'elle semblait une héroïne si commune, assez stéréotypée ? Que des personnages qui ne semblait pas avoir une quelconque importance se trouvent êtres des personnages clés pour l'histoire ? Spoiler(cliquez pour révéler)Et puis même le revirement de situation en ce qui concerne <<le garçon aux yeux verts super intrigant>> que je ne supportais plus du tout, était juste un vrai régal tellement c'était inattendu. Alors oui, Stormancer est un livre qui m'a beaucoup surprise.
Pour l'intrigue, encore une fois c'est difficile de juger en ce basant que sur ce premier tome. Elle est assez basique et la fin de ce premier tome est attendue, mais un bon point c'est qu'elle a une conclusion. Ça laisse donc présager tout autre chose pour la suite. Sinon, elle est assez bien menée. Et puis, j'ai eu beau penser avoir devinée les grandes lignes de cette histoire, j'ai été agréablement surprise de constater que ce n'était pas le cas. Le rythme n'est pas effrénée, les événements prennent leur temps pour se dérouler. Je l'ai même trouvée incisif par moment. Mais personnellement, ça ne m'a pas beaucoup dérangé. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde, j'y ai même passé quelques nuits blanches, c'est pour dire ! Les derniers chapitres sont juste dingues, remplis d'actions et de révélations, mes préférés.
Pour les personnages, je les ai trouvée très bons. Ce sont des personnages qui évoluent selon les situations. Ils ne restent pas stagnés devant une situation qui les surprend, ce qui est une très bonne chose à mon avis. J'en reviens encore à ce que j'ai déjà dit, ils ne sont pas toujours se qu'ils semblent être. Au début un trait de leur caractère semble les définir, mais plus l'histoire avance plus on se rend compte que c'est faux. Et qu'on se mette tout de suite d'accord : Yukiko n'est pas naïve. C'est une badass qui va prendre en main le monde je vous dit ! (bon j'exagère un peu) Buruu quand à lui est très étonnant et épique surtout. Je ne m'attendais pas à ce qu'il est une personnalité donc ça ajoute encore une très bon élément à l'histoire. Sa relation avec Yukiko sort vraiment du commun.
La plume de l'auteur est assez difficile au début, mais au final assez fluide, pas des plus compliqués à lire. Les dialogues entre les personnages sont juste un vrai régal.
En résumé Stormdancer est un livre qui m'a très agréablement surprise, j'ai passé un super moment de lecture, je ressors de ce premier tome avec l'intime conviction que la suite me surprendra encore d'avantage.
Stormdancer de Jay Kristoff a été une lecture qui a renforcé mon admiration pour cet auteur. Dès les premières pages, j'ai été transporté dans un univers fascinant, où l'on découvre un Japon féodal revisité de manière dystopique.
L'atmosphère sombre et parfois oppressante se mêle à une richesse culturelle inspirée des samouraïs, des coutumes traditionnelles et de la mythologie japonaise, le tout sublimé par une technologie steampunk unique.
Les personnages sont particulièrement bien écrits, avec une héroïne forte et attachante qui incarne à la fois le courage et la vulnérabilité, marque de fabrique de Jay Kristoff. J'ai adoré suivre son parcours dans un monde aussi impitoyable qu'envoûtant, où les intrigues politiques, les conflits moraux et les alliances improbables se croisent.
Jay Kristoff a un talent incomparable pour créer des ambiances immersives et pour jouer avec les émotions de ses lecteurs.
En bref, ce premier tome est une pépite, non seulement pour les amateurs de fantasy, mais aussi pour ceux qui aiment les récits qui sortent des sentiers battus. Il me tarde de découvrir la suite et d'e connaître le destin de Yukiko et Buruu! Une lecture incontournable qui confirme mon coup de cœur pour Jay Kristoff !
1. Violence et brutalité : Le livre contient des scènes de combat, de violence, de torture, et de brutalité, y compris envers des animaux.
2. Torture : Certaines scènes contiennent des actes de torture, employés par des figures d'autorité pour maintenir le pouvoir et intimider.
3. Oppression et abus de pouvoir : La société est dominée par un régime autoritaire qui exerce une forte oppression sur les citoyens, incluant des exécutions publiques, de la torture et des abus de pouvoir.
4. Destruction de l'environnement : L’environnement est gravement pollué par le "chi", avec des descriptions de paysages ravagés et des effets délétères sur les êtres vivants.
5. Mort d'enfants : Le livre aborde la mort d’enfants, et rarement dans des situations douces.
6. Mort d'animaux : Les animaux subissent parfois un sort brutal, y compris la mort, dans des contextes de chasse et d’exploitation.
7. Maladie et empoisonnement : La toxicité de l'air entraîne maladies et souffrances, qui sont décrites en détail.
8. Drogues et toxicomanie : Certains personnages consomment des drogues, et le livre fait référence à des substances addictives et leurs effets (toujours délétères) sur les gens, ainsi que l'impact sur l'entourage.
9. Perte et abandon : Yukiko traverse des pertes émotionnelles importantes, marquées par le deuil et la trahison.
10. Questionnements liés à l'expérimentation et à la manipulation : L'empire mène des expérimentations sur les êtres vivants, avec des manipulations et changements forcés (un peu comme du body horror)
11. Langage grossier et expressions vulgaires : Le roman contient parfois un langage vulgaire et des expressions crues.
--> je trouve important de signaler les thèmes abordés dans un livre, ne serait-ce que pour prévenir les futurs lecteurs et qu'ils puissent ainsi se mettre en "condition."
Et enfin la critique :) =
C’est un roman qui surprend, pour le meilleur comme pour le pire ! D’un côté, il propose un univers assez rare dans la fantasy occidentale : un monde inspiré du Japon féodal, mais détourné dans une ambiance steampunk post-apocalyptique où la pollution règne en maître. On est tout de suite plongé dans une atmosphère lourde, étouffante, où chaque page semble trempée d’un smog grisâtre. Kristoff décrit avec soin la dégradation de cet empire de Shima ravagé par le chi, ce carburant toxique, et il parvient à nous faire sentir les effets de cette pollution omniprésente. Ce monde est tout sauf invitant, bien loin de l'image idyllique que l'on imagine du Japon avec ses cerisier en fleur et ses manga kawaii.
Le personnage principal, Yukiko, est une héroïne comme on aime en voir dans la fantasy : une jeune femme qui se bat, qui évolue, et qui refuse de se laisser écraser par le système. Kristoff n’en fait pas une simple "femme forte" stéréotypée ; il la développe avec ses failles, ses colères, et surtout un lien poignant avec Buruu, l’arashitora (Le meilleur perso du livre, soyons honnêtes !)
Ce duo est l’âme du roman : la relation entre Yukiko et Buruu est sans doute l’un des points les plus réussis du livre : elle apporte une dimension émotionnelle qui contraste avec la brutalité du monde de Shima. Ce lien profond entre eux est authentique, plein de tensions et de moments de tendresse, et surtout d'humour : Buruu est taquin, pince sans rire, et est plein de verve. Leurs échanges est un vrai plaisir à lire, à chaque fois.
En revanche, le style de Kristoff peut être inégal. Parfois, il s’enlise dans des descriptions un peu trop longues et des métaphores qui alourdissent le rythme. Il n’est pas rare de relire certains passages plusieurs fois pour bien les saisir, ce qui peut casser l’immersion. Ceux qui aiment un style direct risquent de trouver certains moments un peu pompeux.
Côté intrigue, Stormdancer propose une vraie critique de la société industrielle et des dérives de l’exploitation des ressources, et il faut reconnaître que le propos écologique est traité avec intelligence, même s’il est un peu appuyé par moments. Les thèmes sont sombres : oppression, abus de pouvoir, destruction de l'environnement, et surtout, cette idée qu'un empire peut détruire ses propres habitants pour maintenir un pouvoir autoritaire. On ressent vite l'impact de la pollution et de la tyrannie, mais il faut dire que le récit a tendance à accumuler les aspects dramatiques, presque jusqu’à la saturation.
Pour ce qui est de l'action, il y a des combats intenses, bien orchestrés, même si le rythme du livre fluctue. Après des scènes intenses, l’intrigue ralentit parfois pour se concentrer sur l’ambiance ou le développement des personnages, ce qui est toujours appréciable et permet de s'attacher et s'identifier aux personnages.
Ce premier tôme est donc un roman dense et pas toujours facile d’accès. pose des bases solides, avec des personnages attachants et un décor qui sort de l’ordinaire. Pour ceux qui aiment les univers sombres et les héroïnes imparfaites mais résilientes, c’est une lecture à tenter !
Une carte et un glossaire sont disponibles dans le livre, ce qui pourra aider les lecteurs à s'y retrouver dans un univers parfois difficile à appréhender !
Un univers surprenant, mélange Japon et steampunk. Une héroïne au caractère bien trempé avec un côté fleur bleue qui m'a un peu exaspéré à certains moments.
Un roman avec une morale écologique entre la culture intensive du lotus, la guilde de fanatique, et la destruction de nombreuses espèces animales et végétales.
Une écriture fluide, l'histoire fait son job à mon sens. Certains retournement de situation étaient évident pour moi. Il m'a manqué une dose d'originalité et de folie pour que ce soit un coup de cœur !
Un univers tellement complet des personnages avec des personnalité bien travailler et une intrigue sur la politique ainsi que le devenir de notre héroïne nous tiennent en allène jusqu’à la fin.
"La Guerre du Lotus Tome 1" de Jay Kristoff, une lecture qui m'a agréablement surprise et captivée.
Un Début Intrigant
Au départ, je l'avoue, j'étais un brin désorientée par le flot d'informations, mais comme un puzzle, chaque pièce a fini par trouver sa place au fur et à mesure de ma lecture. Ce qui semblait confus s'est transformé en une image claire et fascinante. 🧩✨
Un Mélange Audacieux
En grande fan du folklore japonais et asiatique, je ne m'attendais pas à me retrouver plongée dans un univers où le steampunk se mêle si harmonieusement avec le Japon. Et quelle découverte ! C'est une combinaison osée et réussie qui apporte un souffle nouveau et excitant. 🌸🛠️
Des Personnages Envoûtants
Yukiko, notre héroïne, est un personnage qui se révèle peu à peu. Son évolution, son apprentissage à maîtriser des pouvoirs longtemps cachés par peur, tout cela ajoute une profondeur incroyable à son histoire. Elle nous donne envie de la suivre encore plus loin, de découvrir quelles grandes destinées l'attendent. 🌟💪
Un Univers Riche Malgré Quelques Longueurs
Certes, il y a des moments où le rythme semble ralentir, mais le monde riche et détaillé que Kristoff construit vaut chaque page. J'ai hâte de plonger dans la suite de cette saga épique.
En Résumé
Si vous cherchez une lecture qui combine aventure, mystère, et une touche de magie technologique, "La Guerre du Lotus" pourrait bien être votre prochain coup de coeur.
Un très bon premier tome. Mais rien de bien surprenant avec Jay Kristoff. J'ai aimé découvrir ce monde torturé et complètement pollué par le lotus. Les descriptions de l'auteur sont toujours très visuelles. Le duo Yukiko et Buruu est exceptionnel. L'histoire est palpitante et la fin palpitante.
Seul petit bémol, la construction trop prévisible du récit.
Une vraie petite merveille ! Pour dire qu'il s'agit d'un premier roman, c'est une pure merveille. J'aime tout de Jay Kristoff, il a une telle capacité à décrire les sentiments si complexes des personnages féminins... un univers qui prend vie à chaque mots... A lire absolument !
🌸 J'ai découvert le genre steampunk assez récemment ( il y a 3 ou 4 ans environ) et quand j'ai vu que cette histoire se déroulait dans un univers Steampunk japonais je n'ai pas pu résister. Oui je sais la chair est faible...
J'ai aussi encore en mémoire la claque livresque que je me suis prise récemment en découvrant la plume de Jay Kristoff. Une raison suffisante pour ôter toute appréhension. Et j'ai eu grandement raison! Une seconde claque avec la lecture de ce premier tome de la guerre du lotus.
⚡Bien souvent, le premier opus d'une trilogie ouvre la voie à une intrigue qui tend à se densifier au gré des tomes. On tâtonne au sein du premier tome, on découvre juste assez pour avoir l'eau à la bouche. Poser les fondations d'un monde riche, peuplé de personnages forts et captivants demande du temps. Ce premier opus contredit clairement ce que je viens de dire. Jay Kristoff nous met dans le bain dès les premiers instants de lecture. Grâce à un vocabulaire japonais foisonnant qui permet d'entrer dans ce monde qui allie mythologie et Steampunk j'ai été cueillie rapidement. Certes la lecture pourra vous sembler un peu difficile de prime abord mais pas de panique pour les novices: un glossaire permet de mettre les idées au clair. Plus on avance et plus les explications sont même données au sein du texte même ne laissant subsister aucun soucis de compréhension. La lecture devient très vite fluide et addictive.
♥️ Les décors sont fabuleux, les descriptions extrêmement vivantes. L'auteur nous prend véritablement par la main pour nous mener à travers son imaginaire. L'univers est abouti et donne envie de se retrouver au cœur de l'action à chaque instant.
Les personnages sont bien dépeints autant du point de vie physique que psychologie. Cela rend vraiment l'histoire d'autant plus prenante. J'ai été touchée par Yukiko. Un personnage féminin comme je les aime: forte et vulnérable à la fois. Elle ne cesse d'apprendre et de grandir. Ses interactions avec les différents protagonistes de ce premier tome m'ont plu. Je ne souhaite pas approfondir sur le sujet par soucis de spoil. Tout ce que je peux vous dire c'est que cette histoire fourmille d'émotions . Et que dire du final? Un final auquel on peut s'attendre certes mais un final juste et poignant. J'ai déjà hâte de lire la suite et croyez-moi je ne vais pas attendre une éternité avant de céder à l'appel. Amateurs de récits foisonnants, épiques et originaux joignez-vous à la bataille!
D'un côté, j'aime beaucoup cet univers entre légendes japonaises et univers steampunk.
Mais de l'autre, le début est si long que la lecture en est un peu difficile. Le début se compose majoritairement de descriptions (longues, trop longues, beaucoup trop longues).
L'héroïne est néanmoins intéressante et c'est ce qui me donne assez de motivation pour en lire la suite.
Résumé
On disait éteinte la race des griffons, ces créatures mythiques menées par les danseurs d'orage. Pourtant, Yukiko et son père reçoivent l'ordre d'en capturer un pour le cruel shogun des îles de Shima. Contre toute attente, ils y parviennent, mais Yukiko se retrouve perdue dans une forêt sauvage, avec pour seule compagnie un griffon mutilé qu'elle nomme Buruu. Unis dans l'adversité, la jeune fille et l'animal s'entraident. Yukiko serait-elle la véritable danseuse d'orage, ultime espoir du peuple ?« Comment ?
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