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Une belle découverte que ce bijou, j'en suis encore tout retourné.
Malgré une fin (presque) prévisible, l'ensemble est selon moi tout simplement parfait.
On sent l'influence de Perec tout du long, ce qui n'est pas pour me déplaire: l'écriture a du style, et ajoute une dimension littéraire sensationnelle à ce qui aurait été un excellent bouquin sans cela.
Rien que la première page m'a laissé pantois...
Finalement, comment ne pas s'attacher sincèrement à un personnage aussi fin et délicat que Golgoth?
Afficher en entierLa Horde, c'est une bulle d'absurdité, qui, en explosant, fait apparaître une myriade d'étoiles de poésie, encore une fois, superbe!
Afficher en entierLa perfection moderne. Un bijou. Que j'espère rester dans les annales, pour devenir un classique (quand la littérature des mondes fantastiques sera enfin reconnue, car ses chefs d'oeuvre le méritent).
Damasio révolutionne l'écriture. A travers ses mots, il réinvente la vie. Je considère vraiment ce livre comme LE livre "ultime". C'est pour moi ce qu'il y a de plus poussé et d'original en tant que création littéraire aujourd'hui. Un futur de la littérature.
Je ne sais qu'ajouter, sachant que ce livre m'a laissé pantoise. Je n'ai rien pu lire après l'avoir refermé, pendant des jours. Je n'ai rien pu écrire non plus.
Ce livre a été un vrai choc !
Fabuleux !
Les mots me manquent !
Afficher en entierEprouvant … !
Cela dans le sens haletant plus qu'épuisant. En effet, j'ai plus ressenti cette lecture comme une course contre la montre.
Grimper, monter, contrer ce vent alors que rien ne veut que tu réussisses. Sitôt que tu passes un obstacle, tu t'en prends un autre.
Ce n'est pas s'en rappeler d'ailleurs une Vie. On prend des coups, des murs ou des vents et, soit on fléchi et on disparait en abandonnant, soit on apprend et on continue toujours plus loin, en quête de son idéal ou de son objectif.
C'est ce que j'ai aimé dans cette œuvre, c'est qu'on ne s'ennuie jamais. Bon, certes, le début est difficile.
Les personnages sont nombreux et on est vite perdu devant ses sigles sensés les représenter.
Toutefois, au bout d'une centaine de page environ, on les aura mémorisés et l'histoire filera sans plus aucun problème. C'est fluide et agréable et j'ai beaucoup apprécié ce style d'écriture, où on valse d'un point de vue à l'autre sans aucune logique apparente.
C'est ... comme un courant d'air qui va et qui vient, qui passe d'une personne à l'autre.
Du coup, dans un roman parlant de Vent ... c'est plutôt poétique en un sens.
J'aurai voulu revenir sur certain point qui m'auront vraiment marqué :
Spoiler(cliquez pour révéler)
- Les personnages en premier lieu :
Je ne rappellerai que ceux qui m'auront interpellé.
Voyez-vous, si on suit à peu près tous les personnages, certains, comme Sov le scribe revienne plus souvent que d'autre. C'est normal vous me direz mais ça mérite d'être mentionné car ses personnages sont développés d'une façon plutôt étonnante.
Il y a donc Oroshi "la scientifique". Une femme vouant sa vie à l'étude et la découverte, voulant aller plus loin que quiconque avant elle. Il suffit de voir la réaction de Sov lorsqu’elle annonce qu'elle va mettre au monde un hybride. Cela veut tout dire.
Il n'y a plus le Naturel, il y a le surnaturel ou le ContreNaturel. Cela dépend de la définition qu'on lui donne. Seulement voilà, le Transhumanisme, on est pour ou on est contre. Je suis contre personnellement et c'est pourquoi Oroshi m'a tant interpellé car ressemblant bien trop à certaines de mes connaissances voulant aller plus loin que ce que la Nature a créé.
Ma question pour elle c'est : Pourquoi ? Pourquoi changer l'ordre naturel des choses ? Pour la science ? La gloire ? Simplement la curiosité ?
Je n'ai pas la réponse mais je vais continuer de chercher ;)
Golgoth :
Simplement adoré celui-là. Il est clair, il est droit, il est brut et il trace. Il dit et pense ce que les autres ne feront jamais. Il sera horrible pour certain, il sera réaliste pour d'autre …
Mais pour moi, je pense qu'il est allé au fond du trou, et qu'il en est remonté. Je connais cela, l'ayant vécu donc c'est bien le personnage auquel je me suis le plus attaché. Je l'ai aimé par qu'il combat l'Hypocrisie des gens. Certes, il fait des erreurs, tout le monde en fait. Mais il ne cherche jamais à se justifier devant les autres car il s'en fiche.
Toutefois, arrive son fond. Son humanité, bien caché.
On le remarque surtout quand il perd sa horde, qui était toute sa vie, qui était sa famille, petit à petit. Il aimait engueuller Calli, il aimait que Pietro prenne la défense des autres et le remettre à sa place, il aimait Erg et Firost, ses deux piliers sur qui il a toujours pus compter. Inconsciemment ou non, il respectait plus que tout sa Horde car c'est en fin de compte sa création. C'est lui la clé de voute, mais il ne tient que grâce aux fondations.
Chaque hordier avait une place dans son cœur et la perte de chacun, un par un, j'ai presque ressenti ca personnellement.
Sov, Erg, Caracole … ne m'auront pas plus marqué que ça finalement. Intéressant, mais complexe. Il ne valait pas pour moi Oroshi et Golgoth.
- L'intrigue :
Je l'avoue, j'ai tellement pris dans l'allure soutenu du livre que j'en ai totalement oublié l'extrême amont. Je l'avais simplement oublié, tant les épreuves traversées m'auront happé.
J'ai choisi, délibérément ou non je me concentrais sur le passé plutôt que l'avenir de la Horde. J'étais avide d'en savoir plus sur ce monde et surtout, sur toutes les autres Hordes qui seront passé avant la 34e. C'est tout ce qui avait de sens pour moi.
Je ne voulais pas que la 34e réussisse et vous savez pourquoi ? Parce que je voulais que ça continue !
La phrase du livre pour moi fut : " L'idée de Savoir terrifie ma curiosité"
Eh bien pour moi, cette simple phrase a pris tout son sens. Je ne veux pas savoir, je veux que tout continue ainsi.
A un moment, Oroshi demande aux enfants Fréole d'imaginer les dernières formes du vent. Eh bien j'étais comme ses enfants. Je n'ai pas arrêté d'imaginer et de rêver, mais en aucun je ne voulais savoir la Vérité.
Voyez-vous, on est toujours déçu par la Vérité, toujours. Je trouve tellement plus agréable de suivre une piste comme la Horde en sachant qu'il y a quelque chose au bout. Tout le chemin, la trace prend alors son sens. L'important, ce n'est pas ce qu'il y a au bout, c'est ce qu'on fait, ce qu'on apprend, ce qu'on découvre, ce qu'on observe sur le chemin.
C'est la Vie.
Du coup, je ne voulais pas que la Horde arrive au but. Ce qu'un jour j'aimerais trouver comme Roman et histoire, c'est une histoire qui ne suive aucune logique.
La Horde du Contrevent, elle, suit une quête. Elle va à l'amont et on se doute bien qu'elle y arrivera. Le seul truc qu'on ne sait pas, c'est qui, parmi les personnages y arrivera.
Je dirais que tout le mystère du livre est là. On sait qu'ils y arriveront mais on ne sait pas qui l'auteur va faire partir, et surtout en quelle circonstance.
La Horde va décimer lors du Furvent ? Non évidement. Mais tout le monde en sortira indemne ? Ah ça … ?
La Horde sera t'elle décimé par le Poursuiveur ? Non. Mais comment Erg gagnera-t-il ? Gagnera-t-il seulement ? Perdront-ils quelqu’un ? Un Hordier va-t-il se sacrifier pour la Horde ?
La Horde réussira-t-elle à traverser le lac ? Oui. Mais qui y restera et qu'y verront ils ?
Ce sont ses variables-là qui m'ont fait frissonner d'impatience. C'est dans ses moments-là que je n'aime pas les lecteurs qui se Spoil avant la lecture ou pendant. Mais pourquoi ?! Ce frisson d'inconnu est tellement plus addictif que tout le reste !
Hélas, ce frisson ne pouvait pas durer éternellement, et, horreur pour moi, la fin du livre arrivait à grand pas. L’histoire allait s'achever, d'une façon ou d'une autre. Du coup, je me suis mis à réfléchir sur une possible fin encore plus vite qu'avant.
Qu'y a-t-il derrière ce foutu volcan ? Est-ce réellement la proue d'un navire filant à travers l'espace ? L'idée m'avait traversé l'esprit pendant un temps mais j'avais vite rejeté l'Hypothèse. On n’était pas dans du Fantastique. Certes de la SF, mais pas ce genre de SF.
Alors, quand la Horde au trois quarts décimés a passé l'obstacle, j'étais aussi éreinté qu'eux. Je n'en pouvais plus. Imaginer, réfléchir … lire.
J'ai assisté à leur douleur, au mort une par une. Aux solutions trouvées. Ce fut particulièrement dur parce que j'avais l'impression de faire partie de cette Horde.
Ainsi, après toute ses foutues épreuves, ses tempêtes, ses pirates, ses complots, ses Chrones, ses méduses, cette neige insupportable et cette faim … je n'en pouvais plus.
Et je n'étais qu'un simple lecteur ! C'est mon gros défaut, je me projette bien trop dans ses mondes que je traverse en lecture. Je prends tout trop tout à cœur.
Alors la Horde est passé.
Ce fut le moment que j'ai préféré de tout le livre. Ce frisson d'inconnu encore une fois. Était-ce fini ? Était-ce le jardin d'Eden ?
Je trouvais ça trop simple, trop facile. Et je n'aimais mais alors, vraiment pas !
Alors quand j'ai vu cette plaine de terre, de petite collines et vallées sans vent, sans plus de vent … J'ai vraiment cru que c'était fini. L'extrême amont n'existe pas ! Ou plutôt, il n'était pas.
Pour moi, cela ne voulait dire qu'une seule chose : que l'aventure pouvait continuer ! La Horde allait s'arrêter ou continuer, qu'importe, mais d'autres allaient suivre, passer le col et le volcan, les retrouver et continuer toujours plus loi dans l'inconnu.
C'était ce que je voulais, que cela ne s'arrête pas.
Et la Falaise est arrivé. The end of the world … dommage.
Ce fut à ce moment-là que mon imagination est partie encore plus en sucette. La Horde perdait encore plus de membres : L’autoursier, Coriolis, les jumeaux, Pietro … Mais cela, je le savais déjà.
Caracole nous avait prévenu que tout le monde allait mourir sauf Sov, qui serait le dernier. Mais encore une fois, on ne savait pas comment finirait les autres !
On était au bout, vraiment ou bout et la Horde était fini, c'était la fin. Plus rien. Plus d'Histoire. La Fin.
Et là, Alain Damasio a fait quelque chose pour lequel je ne le remercierai jamais assez : il m'a donné une dernière Variable inconnu.
-> Golgoth revient brisé avec un petit morceau de tissu portant l'inscription du 6e Golgoth.
Ce voulait-il dire qu'une autre Horde était arrivé ici avant eux ? Je n'y croyais tout simplement pas. J'ai totalement compris Golgoth quand il s'est effondré. Un mythe qui s'effondre, le sien. Il n'était pas le premier, celui qui était arrivé le plus loin. S'ensuivit une fin magistrale ou il a prouvé que si, il irait plus loin quand même !
-> Sov saute dans le vide et arrive … à l'extrême Aval.
J'ai bugué ici.
En effet, j'avais totalement zappé cette partie de l'intrigue. C'était évident mais j'avais choisi de l'ignorer pour me concentrer sur l'Histoire des Hordes.
La Terre, Ronde. D'où vient le vent ? De nulle part, il fait le tour de la terre et il revient … l'évidence même.
Alors oui j'ai bugué. Et j'étais triste. Triste pour Golgoth, Oroshi Erg, Sov … Tout ca, pour … l'évidence même.
Il n'y a pas d'extrême amont. Il n'y a que la Terre, Ronde.
Je vous parlais d'un dernier cadeau : la Variable inconnue non ?
Golgoth 6.
Est-il réellement arrivé à l'extrême amont ? Ou ce petit papier n'a-t-il pas fait le tour par l'autre côté, emporté par le vent pour finir collé aux Falaises de l 'Aval ? Cela voulait -il dire que la 34e était réellement la première ? Mais alors, qu'est devenu La Horde du 6e ? Est-ce sûr qu'elle n'a jamais atteint l'amont ? Mais alors, peut-être, comme Sov est -elle descendue à Aberlaas pour tout recommencer ?
Dans ce cas, la 6e a fait selon moi le plus beau cadeau qui soit : ne rien dévoiler au monde. Laisser à l'Humanité un But à atteindre, car elle en a besoin finalement.
Elle était donc là, cette variable inconnue. Celle qui permet à l'histoire de ne jamais s'arrêter. Celle qui me permet de continuer à rêver à la Horde du Contrevent ...
Afficher en entierAttention lecteur, tu t'apprêtes à tenter une aventure dangereuse !
Dès la première page tu seras happé, oui, dès même la dédicace.
Le prologue t'enchantera, et trois pages plus tard, tu feras partie de la Horde. Plus d'espoir de retour, te voilà embarqué pour sept cent pages de contre, sept cent pages de bonheur avec les personnages merveilleux - vivants d'Alain Damasio, avec son monde de Vent, ses pharéoles et ses mille autres inventions.
Franchement, je suis sûre que je n'arriverai pas à transcrire dans un commentaire toute la magie et la puissance de ce roman. Je crois que peu importe les goûts littéraires, si vous aimez les mots - et un peu l'aventure - il faut lire ce livre.
C'est un bijou, comme l'a dit codis, un diamant de style, de poésie, d'imagination.
Plutôt que de m'étaler, je vous ordonne de le découvrir ! 0=]
Afficher en entierEnfin !
Enfin un livre où je ne compte pas les pages avant la fin du chapitre, où je peux totalement m'immerger. Enfin un livre qui me donne l'impression de respirer après une longue apnée, enfin un livre qui fait rêver !
La Horde du Contrevent m'avait été chaudement recommandé par mon libraire et je n'ai pas été déçue du tout.
Bien qu'au départ un peu suprise par le format on-ne-peut-plus particulier (je n'ai au départ pas compris qu'on changeait de point de vue à chaque symbole mais j'ai vite compris l'utilité du marque-page !) j'ai très vite accroché à cette approche originale du livre dont les pages ne sont plus le simple support du récit mais le récit lui-même, une personnification précieuse de l'histoire, entre nos mains.
Bon, au départ, on se sent un peu perdu. Alain Damasio utilise un lexique propre à son univers, nous ensevelissant sous une profusion de termes spécifiques, ce qui m'a un peu embrouillé, surtout que les personnages et l'environnement ne sont pas si pointilleusement décrits. Mais j'en ai vite compris la raison : les personnages ne font pas de description pragmatique des situations, ils rendent compte des événéments, de leurs ressentis, de leurs émotions, de leurs réflexions sous leur point de vue. Ainsi, chaque paragraphe dédié à un des membres de la Horde est en fait un miroir, le reflet de leur identité et de leur rôle dans l'histoire. Si bien qu'on se demande parfois si les actions des personnages sont bien prémédités ou s'ils sont mués par une volonté propre dont l'auteur est seulement le transcripteur. J'ai adoré découvrir comment l'écriture, qui varie selon le narrateur, rend compte de la personnalité et de l'histoire de chacun. Même si cela entravait parfois la compréhension des scènes d'action.
Alain Damasio a une plume intense et très recherchée, déforme les mots à sa sauce, les manie à sa guise. Le texte qui semble parfois si impersonnel est en réalité touchant et vivace, et l'histoire en elle-même est pleine de philosophie et de poésie. Malgré sa longueur, on ne s'ennuie jamais.
Je ne peux que recommander ce livre et je me ferais un plaisir d'aller en essayer d'autres !
Afficher en entierLivre juste extraordinaire.
Alain Damasion a mis 7 ans pour l'écrire. Il faut 7 heures pour le lire. Mais ce sont 7 heures de pur bonheur, en compagnie d'Oroshi, de Golgoth, de Sov et de Caracole.
Passer à côté de ce livre c'est comme perdre son ticket de loto lorsqu'on a gagné, encore que là on sait ce qu'on rate...
Bref je ne peux que conseiller ce magnifique bouquin, qui mériterait à mon goût d'être beaucoup plus reconnu. Il a obtenu le grand pris de l'imaginaire 2006.
Alors allez-y, n'ayez pas peur de perdre 10 euros en achetant ce livre, ça en vaut la peine, il reste dans les mémoires...
Nous sommes faits de l'étoffe dont sont tissés les vents...
Afficher en entierJ'ai adoré. Inclassable, indémodable, plein d'idées originales (numérotation des pages, langue, etc.) A lire et relire toujours avec le même bonheur
Afficher en entierEtrange cette coulée de vent au point ou la civilisation doit s’adapter.
La nature serait-elle plus puissante que notre infime technologie ?
Au départ j’ai cru me souvenir de romans de James Ballard « Vent de nulle part » ou de Serge Brussolo « le Vent Noir ».
Mais mon souffle est coupé (probablement trop de vent) pour en exprimer d’avantage.
Pour moi un roman époustouflant (sans jeux de mots), pour d’autres un roman pas facile tant les néologismes et jeux orthographiques ont une prépondérance non négligeable sur l’ensemble de l’œuvre.
Et puis sans réflexion littéraire, on aime ou on n’aime pas.
Pour ma part, c’est A+.
Comme ce Rhésus sanguin qui n’est pas universel.
Afficher en entierJe vais faire court. La Horde, c'est :
- 700 pages (en version poche)
- 23 personnages prenant tour à tour la parole, pas de narrateur, juste du "je" qui raconte, un après l'autre.
- Une quête de sens
- Des sentiments poignants
- Une écriture rare
- Une histoire de vies, simplement.
Et en toute franchise, je ne vois pas quoi dire de plus sans tomber dans le superflu. Le livre se suffit à lui même, tout y est, et en parler est... difficile, tellement ce qui s'en dégage est dense.
Indispensable, mais pas toujours facile d'accès si vous cherchez la simplicité.
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