Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Résumé
Les poèmes de Sidi Miloud Bel Asri font entendre un lyrisme tout méditerranéen « où croissent menthe et verveine, pâture sèche où se mêlent thym et lavande », dans lequel la luminosité des vers, la couleur des sonorités et l’expression du sentiment d’un être face au monde s’entremêlent. L’écriture poétique, en introspection, prend la forme des strates humaines qui sont la vie, la mort, l’amour, la solitude, la foi etc. et interroge le travail du poète de sa capacité de saisir le mot avant l’évanouissement de l’inspiration. « Y a-t-il encore une oreille assez délicate, pour entendre la plainte des mots, qui se meurent sans être entendus ? Le recueil, ici et là, crépite comme une flamme la part ensoleillé de l’auteur,
« Je t'imagine silhouette mauresque,
Couleur d'été, tambourinant de tes pieds la terre,
Dans une folle danse telle une gitane,
Où le centre du monde devient le creux de tes reins...
Afficher en entier