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La Légende des Klungs, Tome 1 : Le Dompteur de Pluie



Description ajoutée par annick69 2019-04-07T12:12:19+02:00

Résumé

Vous êtes-vous posé la question de savoir ce que serait votre vie si vous aviez toujours, oui toujours, respecté les règles ? Ce matin là, Kalyn n’y a pas songé une seule seconde, et sur un coup de tête, ou poussé par on ne sait quelle impulsion, il a bravé les interdits. Pouvait-on imaginer que cette action, si futile soit-elle, puisse transformer une vie et de nombreuses autres ? On pourrait appeler cela, l’effet papillon, ou le destin, ou la chance. Moi, je crois qu’il s’agit d’une phase de l'évolution. Pour quel devenir ? La ruine, le chaos, le renouveau ou la gloire. Tout peut si vite basculer dans un monde où survivre ne tient qu’à un fil. Une aventure qui plaira à tous les âges, pleines de rebondissements et de suspense. Vous allez vous attacher !

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Classement en biblio - 9 lecteurs

extrait

LA SAISON DES PLUIES

Il pleut depuis trois jours et trois nuits sur le village des Klungs. Pas une minute sans que les gouttes ne frappent les toits de feuilles dans un bruit sourd. Trois jours sans sortir, c’est long. Kalyn s’exaspère :

— Mam ! Je veux retourner à l’école !

— Kalyn ne fait pas l’enfant ! Tu sais que tu ne peux pas aller dehors. Tu veux fondre ?

— Mam, on a les coques de feuilles de corne, elles protègent très bien, tu le sais, sinon on n’en ferait pas les toits de nos maisons et les armures. Et puis, ce mensonge disant qu’on peut fondre sous l’eau, j’ai passé l’âge ! Sinon je peux emprunter le chemin abrité ?

— Tu sais très bien que tu n’es pas assez fort pour porter une armure de coques, dans quelques cadrans* peut-être. Mais pour cela, il faut que tu manges ton ragoût de racines, et tous les matins. Et pour ce qui est des allées couvertes, le détour sinue sur une si longue distance que tu manquerais la moitié des apprentissages. Les prêtres ont été clairs, pas de cours pour toi et ceux qui résident loin, ils seront rattrapés plus tard ; la pluie est trop forte ces jours-ci.

Kalyn se rebiffe, souffle en tapant du pied et se dirige vers sa chambre :

— Punaise, c’est toujours pareil ! Et quand il fera beau, on me dira d’aller au centre de formation ! Il ouvre la porte tressée de son domaine et se jette sur son lit de mousse.

Kalyn est le plus petit Klung de sa classe, il ne mesure que dix-huit millimètres quand la plupart font déjà deux bons centimètres. Mais cela ne le dérange pas, sa vivacité dépasse celle de tous ses camarades et il en fait sa force et sa différence. Il sait que l’averse ne cessera pas de sitôt ; son petit nez en trompette ne se trompe jamais. Les Klungs ont cette aptitude, ils peuvent sentir la pluie venir plusieurs heures à l’avance.

Et pour cause, depuis des milliers de lunes, elle constitue l’un de leurs pires dangers.

Ce n’est pas qu’ils ne peuvent pas toucher l’eau. Mais, le poids de la goutte tombant du ciel leur est souvent fatidique. Seuls deux ou trois grands guerriers dans l’histoire des Klungs ont réussi à y résister sans porter l’armure d’écorces. On dit qu’avant, la pluie était un bonheur et que tout le monde dansait dessous, mais c’est une histoire que l’on raconte au coin du feu.

Désormais, le peuple des Klungs se distingue plus pour son intelligence, sa vivacité et particulièrement son aptitude à vivre caché, ceci depuis des millénaires. D’ailleurs, ils sont classés au rayon des mythes et légendes, personne n’en ayant aperçu depuis des lustres.

Quand j’ai rencontré Kalyn pour la première fois, j’ai su que je devais le surveiller du coin de l’œil.

Oh ! Je suis désolée, je ne me suis pas présentée ! Je suis Amhala. La troisième et dernière fille du grand Oak ; esprit de la forêt. Je suis, ce que l’on nomme communément une brise, un souffle, un esprit.

Vous ne me voyez pas, ne me sentez pas, mais j’existe bien. L’un de mes talents que je suis la seule parmi mes sœurs à posséder est de pouvoir entrer dans les méninges des créatures vivantes de la forêt, de lire dans leurs pensées. Mes sœurs détiennent d’autres pouvoirs, mais je raffole du mien. De temps à autre, je parviens parfois à insuffler une idée aux êtres. J’adore ça, mais père dit que je ne dois pas en abuser. J’ai même essayé avec les sentiments, mais cela ne fonctionne pas, je n’y arrive pas. Une fois, j’ai tenté de rendre éperdue d’amour une biche cendrée avec une tortue à pics. J’y ai passé un temps fou et elles ne se sont même pas regardées.

L’aînée d’entre nous, Gallila, a la possibilité d’entrer en contact avec la nature, les plantes, les arbres, les fleurs. Sa douceur et sa bonté sont infinies. Je l’adore. Elle est d’une patience qui me rend folle, je l’admire.

Ma seconde sœur, Shandara est sans conteste la plus puissante, elle peut diriger les éléments, le vent, les nuages, les rivières. Je me fâche souvent avec elle, mais elle dit que tout ce qu’elle fait, même si cela paraît incohérent, voire sévère, c’est uniquement pour le bien de tous.

Nous vivons en harmonie sous l’égide du grand Oak.

J’aime toutes les créatures de mon monde, même les plus féroces, mais les Klungs ont ma préférence. Ils ont appris à cohabiter en paix, certes en se cachant, mais aussi en usant de ruses et de leur intelligence. Au fil des siècles, leur taille a diminué. Il y eut un temps reculé où ils vivaient librement, mais, plus faibles et vulnérables que les autres, ils décidèrent pour leur sauvegarde de se retrancher dans des grottes. Cela ne fonctionna qu’en partie et ils durent s’enfoncer de plus en plus profondément, dans des aspérités, sans lumière ou presque. Le grand Oak m’a raconté qu’au tout, tout début, avant le grand chamboulement, ils mesuraient trois voire quatre centimètres. Bien des millénaires plus tard, quand le trisaïeul de Kalyn mourut, les problèmes commencèrent. Il était le dernier mage de la lignée, son fils n’ayant pas le don, personne ne put reprendre le flambeau. En ces temps difficiles, les Klungs découvrirent les limites de la vie de reclus. Certes, ils protégeaient leurs semblables, mais à quel prix ? Au fil des générations, éloignés du soleil, leur peau s’était éclaircie et leurs os s’étaient fragilisés, leur vue avait baissé. D’autres sens s’étaient développés : leur odorat, leur ouïe, leur faculté de se mouvoir dans le noir, leur vivacité. Mais au bout du compte, ils vivaient prisonniers de leurs peurs, ignorant le monde extérieur. Il n’existait que peu de familles de mages. Elles furent décimées les unes après les autres au cours des différents exodes. Certains devins furent tués par des animaux, d’autres de maladie, les derniers par les éléments et la vieillesse. Son trisaïeul Kalynkya était l’ultime. L’ultime de la dernière lignée. Les temps devinrent sombres et noirs, bien plus que la profondeur des cavernes. Un de leurs plus grands atouts disparut en même temps que le dernier mage : celui de transmettre leurs pensées à certains animaux. Durant leur repli dans les grottes, un pacte avait été scellé avec les Ominocs, variété de grandes chauves-souris au nez aplati et aux ailes démesurées. Chasseurs de petits insectes, ils épargnaient les Klungs en échange d’un service coûteux, mais utile pour les deux races. Les meilleurs guerriers chevauchaient les Ominocs, tenant en main une torche allumée. La lumière attirait les insectes et fournissait des proies faciles à leurs compagnons de vol. Bien des Klungs périrent lors des sorties nocturnes, mais ils ramenaient au petit jour des fruits récoltés sur le retour, aliments indispensables à la survie des Klungs. Ils soignaient leurs montures, les deux races vivaient en paix, en parfaite osmose.

Lorsque Kalynkya mourut, le dernier mage disparut, et du même coup la communication entre eux. Les soldats hésitèrent à chevaucher les bêtes volantes. De ce fait, moins nombreuses furent les prises des Ominocs ; et moins nombreux, les fruits rapportés. La méfiance vit le jour.

La tension devint palpable, jusqu’au jour où un Klung fut la victime d’un Ominoc ; du moins, la rumeur le disait. Cela arrivait qu’un chevaucheur périsse en tombant de sa monture, ou que les deux soient la proie d’une chouette à serres d’argent. Mais sans communication entre les races, le doute s’installa. Puis cela se transforma en défiance et finalement en terreur. La colonie comptant à peine plus d’un millier d’âmes, on décida de sortir de cette cachette devenue leur tombeau. Durant l’exode, des dizaines succombèrent. Appâts faciles, maladie, rien ne leur était épargné. Déroutés par les nouvelles conditions de vie, sans mage, ils trouvèrent refuge dans un lieu maudit, où ils vivent encore aujourd’hui. Mon père et les races de cette contrée l’appellent la lande des morts.

Il s’agit d’une large étendue de broussailles épineuses, touffue et nauséabonde. Les animaux, même les plus petits, ne s’y aventurent pas. Les aiguilles sont acérées comme les serres d’un aigle aux griffes de jade, et possèdent un venin capable de foudroyer les êtres les plus grands en un éclair. Cet endroit est lié aux ténèbres, mais pour les Klungs c’est le refuge parfait. Les épines plus grosses qu’eux servent de promontoire ou de marches pour escalader les longues branches, et ne sont pas une réelle menace. Ils récoltent les feuilles à la forme un peu cornue pour en faire des tuiles. Ils ont construit leurs maisons au milieu des buissons, dans la partie la plus touffue, ainsi la lumière est filtrée. À cette époque alors que la colonie perdait confiance, j’avais insufflé l’idée à celui qui les guidait d’entrer dans cette zone qui paraissait si lugubre et dangereuse.

L’un des points forts était que les animaux terrestres ou volants sont dans l’incapacité de s’y hasarder. Ils s’installèrent là, il y a plusieurs dizaines de générations.

Depuis, la tribu s’est multipliée, en sécurité, et reste à ce jour inconnue de tous. Je garde constamment un œil sur eux. Certes, la colonie a changé ses habitudes de vie ; elle se nourrit plus de racines et de feuilles, de lait de sang-sève* et de quelques légumineuses que de fruits devenus rarissime en ce lieu.

Mais, elle vit en paix, sous l’égide du conseil des sages.

― Viens là Appia ! Appia ? Allez, viens ! Kalyn, la tête coincée dans l’oreiller appelle son compagnon de jeu. Mais, la bestiole ne montre pas signe de vie.

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Commentaires récents

Lu aussi

On trouve de très belle chose en littérature Jeunesse, belle découverte avec ce premier tome, j’ai vraiment été enthousiasmé par l’univers de l’auteur, ça m’a aussi replongé dans mon enfance avec le dessin animé « Minipouss», même s’il n’y a pas que ça.

L’auteur nous emmène dans son univers, il nous accroche avec ses descriptions sans fin sur la végétation, l’environnement qui pour nous après un simple regard n’est qu’une goutte d’eau ou une feuille mais qui dans la vie d’un personnage pas plus haut qu’une miniature peuvent devenir mortelle.

J’ai adoré Kalyn tellement téméraire, attachant et débrouillard.

Mais les autres personnages ne sont pas en reste.

L’auteur distille avec simplicité des valeurs importantes, l’entre aide, l’amitié, la différence, les apparences tout en opposant ces contraires, la jalousie, l’égoïsme… se qui peut donner à réfléchir.

L’écriture est fluide, nourrit, dommage que le deuxième tome ne soit pas sortie.

Bon moment de lecture.

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Or

Je dois vous avouer que c'est la première fois que je lis un livre pour enfant fantastique et je remercie Wendall Utroi pour cette découverte.

Déjà ce qui me plaît, c'est le nom du héros: Kalyn, c'est très doux très poétique. Un petit être microscopique qui vit avec sa moment car c'est en réalité un adolescent. Mais il n'est pas comme les autres, sa différence: sa taille, il mesure à peine quelques millimètres. Il pourrait se trouver près de chez vous.

Nous nous trouvons dans un monde imaginaire qui prend vit dès le début de la lecture car notre auteur l'a décrit dans le moindre détail afin que l'on puisse s'immerger dans leur vie, que l'on puisse les suivre et voir leur évolution. On découvre qu'il vit sur la Terre des Esprits (Oya Thaan) parmi une communauté où se croise militaires, mages, dieux et la population.

Les détails précis donne cette impression de vivre parmi eux. Les 2 personnages principaux sont (pour moi): Kalyn et sa maman (Thana) qui vivent en bordure du village car ils ont perdu leur statut de mage et oui, il y a cette touche de magie que l'on retrouve dans les bons livres fantastique. Kalyn est physiquement légèrement différent de ses congénères par sa taille, il est plus petit, plus chétif mais plus rapide, plus agile. Leur communauté s'appelle les Klungs (ce qui me fait penser au nom: clan). Dans cette communauté, il y a une hiérarchie bien établie mais il est bien évident qu'il y a des injustices et qu'il faut les réparer.

En résumé, l'histoire tourne autour de la survie d'une population et qu'il va falloir beaucoup de courage pour franchir les obstacles.

Au delà de cette histoire où le fantastique est très présent, ce qui est normal, on peut y lire une deuxième histoire en parallèle et beaucoup plus terre à terre et plus proche de nous. Car en lisant on peut y retrouver les ingrédients de notre quotidien. C'est comme si au travers de l'histoire de Kalyn, Wendall Utroi veut expliquer la vie aux jeunes enfants tout en douceur. C'est comme un message subliminal que l'on découvre au fur et à mesure que les pages tournent. Les traits importants de ce superbe roman sont: accepter la différence des autres, ne pas se fier aux apparences, quand on veut réussir on le peut du moment que l'on s'en donne les moyens. Mais aussi lorsqu'on forme un groupe, il faut de la cohésion pour la réussite et de la confiance en soi comme en l'autre. L'amour, l'amitié sont des ingrédients important car parfois on fait des choses pensant aider alors qu'en réalité on fait l'inverse. Mais il n'y a pas que les "bons" sentiments qui sont présent et mais il y a aussi le côté négatif des gens: l'individualité, la jalousie, l'égoïsme.

Ce roman pour enfant est tout simplement sublime: il ne donne aucune leçon de moral mais a su inventer une très belle histoire qui met en avant les relations humaines et les différentes couches de notre société qui est très difficile à expliquer aux petits. L'histoire est simple, douce mais efficace. Quoi de mieux qu'un conte aux décors magnifiques, aux personnages tous différents et aux caractères spécifiques. Moi personnellement j'ai beaucoup aimé. Un roman qui plaira aux grands comme aux petits car l'ambiance de cette histoire est une véritable invitation à la découverte. Seul bémol: zut il va falloir attendre le tome 2 pour la suite de l'histoire de Kalyn.

PS: Il n'y a pas seulement des références humaines... Je vous laisse découvrir de quoi je parle en partant à la rencontre du dompteur de pluie de Wendall Utroi.

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Or

Ce roman a été revisité par son auteur, il a été écrit en 2015 et ressort aujourd'hui avec une nouvelle couverture et un texte plus approfondi. Chacun doit savoir maintenant que j'aime beaucoup me retrouver dans le monde fantastique jeunesse et c'est ici ce que nous propose Wendall avec beaucoup d'émotions, d'empathie, de solidarité, d'amitié et d'amour…

- "On dit, qu'avant la pluie était un bonheur, et que tout le monde dansait dessous, mais c'est une histoire que l'on chante au coin du feu. Désormais, le peuple des Klungs se distingue par son intelligence, sa vivacité et surtout son aptitude à vivre caché, depuis des millénaires."

Ce petit monde des Klungs n'est que le reflet, je pense, de ce que nous pourrions souhaiter à nos enfants, petits-enfants, mais sans forcément avoir besoin de se cacher. Il n'y aurait pas eu d'histoire sans cela, bien sûr, et cette première approche dans ce monde m'a enchantée du début à la fin de ce tome. Une belle légende entoure tout ce petit monde et quelque fois les voix parlent.

- "De nombreuses races et espèces vivent sur cette terre, le Grand Oak m'a dit que je devais me contenter de celles de la forêt et de la vallée, je suis un esprit encore trop jeune pour me répandre plus loin."

L'aventure dans ce premier tome va reposer sur Kalyn, quelques secrets vont lui être révélés pour avancer dans sa quête mais chut…..

- "La situation est grave et urgente, je place beaucoup d'espoir en toi Kalyn, mais certains ici ne voient pas l'arrivée de la magie d'un bon œil… Ce que je vais vous confier doit rester secret."

L'écriture dans ce style fantastique, l'auteur a su la rendre très belle, avec de belles descriptions et une façon de raconter qui m'a ensorcelée.

- "Le Grand Oak car il siège sous un grand chêne dont personne ne connaît vraiment l'âge. Le Grand Oak c'est lui, l'arbre gigantesque aux racines torturées. Son feuillage aux reflets d'argent caresse les nuages, freine la brise et attire les rayons des deux soleils."

J'ai eu, en plus, le grand plaisir d'acheter ce livre broché dès sa réapparition ce qui fait que j'ai une version Collector, (sans quatrième de couverture). Je connais l'auteur dans l'écriture de thrillers, les premiers que j'ai lu, ensuite dans le genre drame familial, et aujourd'hui il se révèle dans ce monde fantastique merveilleux. Ce livre peut être lu par tous, jeune ou moins jeune, et je le recommande chaudement.

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Argent

Très agréablement surprise par ce roman jeunesse. Je l'ai eu gratuitement sur ma liseuse en cadeau. J'ai tout de suite accroché avec l'histoire. Il y a de l'aventure et de l'originalité. Les personnages sont bien construits et l'univers bien décrit. Le roman est bien écrit et intéressant. Il me tarde de lire le second tome.

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