Commentaires

Livre plutôt bon. La lecture est appréciable et tinté d'une certaine additivité. Après la découverte de l'univers reste un peu limité, mais j'espére que dans la suite on pourra découvrir de nouveau peuples et régions. Et je suis d'accord avec d'autres, le coté politique et complot et pas assez développé et aurait mérité plus de soin de la part de l'auteur.

Dans ce royaume vaguement oriental, certains respectent les dragons au coeur des légendes, tandis que d'autres veulent les éliminer. Asha, fille du roi, porte le titre de "iskari" et son rôle est de chasser les dragons.

le royaume est gouverné par son père, mais le commandant de l'armée Jarek est très puissant, une brute qui exploite les esclaves ; or elle doit l'épouser.

La perspective de ce mariage + quelques faits troublants l'incitent à remettre en question les ordres de son père, les croyances de son peuple, l'ordre social.

Bon personnage d'Asha, mais les autres décevants. Jarek est tellement méchant qu'il devient peu crédible. L'esclave Torwin est à peine esquissé.

"Greta used to say," he said as he played, "that every one of us is born with a song buried deep in our hearts. A song all our own. And our mission in life is to find that song."

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J'ai adoré cette histoire. On suit une femme qui chasse des dragons pour obtenir la rédemption auprès de sa famille et de son peuple. On suit également son frère, sa cousine ou encore un esclave. Les personnages 2nd apportent beaucoup à l'histoire. Ils sont très bien développés et attachants.

L'univers est très intéressant. Il y a une mythologie autour des dragons, de la magie et des histoires envoutantes.

J'ai été happé par l'histoire et pourtant, je ne m'attendais pas à grand chose en commençant ma lecture.

Le style est fluide, l'histoire est entrainante, les personnages sont attachants.

J'ai hâte de découvrir la suite.

Asha est typiquement la femme badasse que l'on s'attend a acoir mais avec aussi cette attitude est sensibilité féminine que l'on s'attend a retrouver je pense que l'attitude de Torwin apporte le plus du livre Spoiler(cliquez pour révéler)surtout pour l'aider face a ce roi si cruel qui a tué sa femme et ces enfants

Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé ce livre... Mais il ne va pas me rester en tête, je vais vite l'oubliez. Pourtant, il avait tout d'un livre que j'aurais adoré : Une héroïne forte et combative, un monde de magie, des secret et de l'amour. Mais rien de nouveau ou de spécial par rapport à d'autres livre du même style que j'ai déjà lu.

Un incontournable livre jeunesse. Dans ce monde ou les contes sont interdits, on suit Asha, une tueuse de dragons et fille de l'empereur. Tout le monde à peur d'elle et elle porte le titre d'une déesse maudite. Iskari.

Une histoire de femme forte qui lutte pour la vérité.

L'histoire n'est pas mauvaise ! Mais je pense très honnêtement qu'elle s'adresse à un public plus jeune! Moins de 15 ans à peu près. En tout cas c'est mon avis!

Vous voyez ces "livres mystère", que les librairies proposent ? Ceux emballés dont on ne connaît ni le titre, ni l'auteur, seulement quelques mots clés ? Eh bien c'est comme ça que je me suis procurée Iskari.

Je ne m'attendais à rien du tout, l'histoire me paraissait assez banale. Et quelle surprise ! L'univers est tellement bien construit, avec toutes ces histoires de religion, ces mystères autour des dragons et ces récits qui parsèment le roman. La plume était incroyable, tellement belle. Et les personnages, mon dieu, les personnages... Ils sont tellement bien construit.

Une excellente lecture.

Gros coup de coeur! J'ai adoré l'univers, les personnages, l'écriture, c'est une réussite ! Asha est une femme forte, touchante, j'ai beaucoup aimé son évolution au fil du roman. L'univers est complexe, bien développé, avec des légendes, des secrets, qui nous donnent envie d'en savoir plus. J'ai hâte de lire la suite

Kristen Ciccarelli a imaginé un monde peuplé de dragons et de contes. Un univers susceptible de me parler, me plaire, me transporter. Malheureusement, je referme ce livre avec un sentiment mitigé. Tellement mitigé que je risque même de me contredire dans cet avis.

L’univers de cette trilogie est prometteur: une jeune princesse destinée à un mariage qu’elle n’a pas choisi va voir son monde et ses croyances basculer au fil des révélations qu’elle va découvrir sur sa propre existence. Des dragons en voie d’extinction, un peuple réduit en esclavage, une légende qui prend vie… ça donne envie ! Et si ce premier tome avait été présenté d’une autre manière, j’aurais sans doute adoré ma lecture. Seulement, cela s’avère tout de suite plus compliqué lorsque l’on ressent de l’indifférence envers l’héroïne. Et malgré mes efforts, malgré son passif, les épreuves qu’elle a traversé et qu’elle traverse encore, même si j’ai aimé connaître l’origine de ses cicatrices, de sa culpabilité constante, de son amour pour les histoires interdites, Asha, fille du roi Dragon de Firgaard, ne m’a guère convaincue. Il s’avère que chaque personnage aurait gagné à être plus creusé, chaque situation aurait mérité d’être approfondie.

Le potentiel de l’univers qu’a créé Kristen Ciccarelli est pourtant clairement décelable: il y a tout un historique derrière le récit principal, l’autrice a vraiment pensé les fondements du royaume qu’elle nous présente – le passé chaotique, les jeux de pouvoir et machinations qui ont menés à l’ère que nous découvrons. Bien des éléments, en vérité, ont éveillé mon intérêt, j’ai même grandement apprécié ce roman lorsqu’il évoquait les choses du passé et les histoires interdites. De fait, en excluant la romance (oui, parce qu’il y a une histoire d’amour: je n’en parlerait pas parce que… sans intérêt) et le caractère quelque peu perdu de l’héroïne (certes compréhensible), chaque élément pris séparément m’a plu; mais agencés tels quels, cela ne m’a pas fait d’effet. On se retrouve finalement devant un récit déséquilibré, avec beaucoup de non-dits.

Ceci dit, ne pas avoir accroché à ce premier tome autant que je l’espérais ne m’empêche pas d’avoir très envie de découvrir les deux autres volumes (les personnages principaux ne seront, semble-t-il, pas les mêmes). Je fonde donc mes espoirs sur les suites.