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La Lettre écarlate, c'est la marque au fer rouge qui désigne la femme adultère dans l'Amérique au puritanisme obsessionnel de l'époque coloniale. Trois personnages : Hester qui vit avec une dignité admirable sa faute et sa solitude. Arthur Dimmesdale, le jeune pasteur dont les élans mystiques soulèvent à Boston l'enthousiasme des fidèles mais qui, ensorcelé par Hester, ne parvient ni à dominer ni à vivre sa sensualité. Chillingworth, le mari, qui pendant des années tourmentera en silence le pasteur jusqu'à la folie et à la mort.
Boston, 1642. Hester, dont le mari est porté disparu, est mise au pilori car elle a commis l'adultère. Condamnée par la colonie puritaine à porter sur la poitrine un A écarlate jusqu'à la fin de ses jours, elle part vivre à la périphérie de la ville, seule avec sa fille, car elle a refusé de livrer le nom de son amant...
Au cours de mon adolescence, j'ai découvert l'histoire d'Hester Prynne sous forme de trame secondaire dans un film qui m'a particulièrement bouleversée. Vu et revu des dizaines de fois depuis, il m'a aidée à traverser des périodes vraiment difficiles. Des années plus tard, j'ai acheté ce classique de la littérature américaine... et il m'a subjuguée. Néanmoins, la préface m'a donné du fil à retordre ; j'ai bien failli abandonner ma lecture avant même d'entrer dans le récit ! Et là, dès les premières pages, je suis tombée sous le charme d'Hester. Elle qui accepte avec dignité la lettre infamante pour protéger le père de sa fille, elle qui se bat en silence, chaque jour, pour son expiation et celle de son enfant... elle m'a touchée en plein cœur. L'opposition avec son ex-mari, obsédé par cette marque d'ignominie, n'en est que plus prégnante... Quel diable, celui-là ! J'ai rarement autant détesté un personnage fictionnel. En bref, un roman à lire absolument, doté d'une morale profonde et représentatif de la société puritaine du 17ème siècle.
La Lettre écarlate est un roman historique de Nathaniel Hawthorne qui fait une critique acerbe de la société puritaine du XVIIème siècle, jugée trop sévère et intransigeante.
Il met en scène Esther Prynne, une femme qui n'est pas née dans le bon siècle. Elle est condamnée pour avoir commis le péché d'adultère à porter la lettre rouge A sur son corsage. Au fur et à mesure des pages, on découvre une héroïne avec une force de caractère et de résignation presque sublime face à un mari dévoré par le désir de vengeance et un amant trop lâche pour assumer les conséquences de ses actes.
J'ai apprécié ce livre qui est davantage un récit de l'expiation plutôt qu'un récit de la faute d'Esther.
J'ai été fascinée par les réflexions portées par l'auteur sur la société, son fonctionnement et la place des sentiments dans les interactions humaines. J'ai en revanche été moins captivée par l'intrigue en elle-même, bien que portée par une plume très fine et très juste, notamment car elle s'étale trop en longueur par moment et s'attarde à mon sens un peu trop sur l'introspection des personnages.
Hester, une jeune femme est mariée à un vieil homme disparu lors de leur arrivée à Boston, elle a un enfant et refuse de dénoncer le père. Emprunte de grandeur, elle s'affirme face à ces bonnes gens en brodant un A magnifique sur son habit. Fière et courageuse, elle élève sa fille seule sans se laisser abaisser par l'opprobre ! Son mari reparait après un séjour chez les sauvages, un homme retors et manipulateur, le Diable incarné !
Je pense qu'à la lecture il y a quelques longueurs quant à la religion mais qu'est-ce qu'Hester est admirable de force et de dignité et son mari d'une noirceur à faire frissonner ! Considéré comme le premier grand roman du continent américain je ne peux qu'être d'accord car je n'ai pas souvenir de romans aussi graves du milieu du 19ème siècle !
J'étais très heureuse de commencer ce livre, le sujet qui est une relation adultère à l'époque des colonies puritaine avait tout pour me plaire. Or, je n'ai pas vraiment adhéré à la plume de l'auteur. Le sujet est néanmoins intéressant et nous montre l'ostracisme mis en place par des courants extrémistes religieux lorsque qu'on s'éloigne de la "bien-pensance" de l'époque.
Classique de la littérature anglo-saxonne, il reste assez méconnu du grand public en France, et c'est dommage. Par curiosité ou par engouement littéraire, lecture difficile et un peu ennuyeuse mais conseillée pour " la culture générale"
J'ai beaucoup aimé lire « The Scarlet Letter (la lettre écarlate) », classique de la littérature américaine. J'ai été complètement plongée dans l'univers de l'époque, dans cette société puritaine. J'ai apprécié le flot de description et des pensées des personnages grâce au changement de point de vue dans les chapitres. J'ai particulièrement apprécié l'héroïne, qui malgré tout fait face. Je suis contente d'avoir enfin pu lire ce livre.
Résumé
La Lettre écarlate, c'est la marque au fer rouge qui désigne la femme adultère dans l'Amérique au puritanisme obsessionnel de l'époque coloniale. Trois personnages : Hester qui vit avec une dignité admirable sa faute et sa solitude. Arthur Dimmesdale, le jeune pasteur dont les élans mystiques soulèvent à Boston l'enthousiasme des fidèles mais qui, ensorcelé par Hester, ne parvient ni à dominer ni à vivre sa sensualité. Chillingworth, le mari, qui pendant des années tourmentera en silence le pasteur jusqu'à la folie et à la mort.
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