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Liste des extraits
Je t'aimais. Je t'aimais alors, je t'aime aujourd'hui, et je t'aimerai toujours.
p.329
Afficher en entierC'est quand je pense au ciel violet, le soir de nos fiançailles, et aux moments que nous avons partagés que je me souviens de la beauté de ce monde.
p.329
Afficher en entierMais ma mémoire est aussi aiguisée qu'un couteau quand il s'agit des événements de cet été là. Je connais mon cœur.
p.328
Afficher en entierLa Terre était ronde, la nuit succédait au jour, il était en face d'elle et elle l'aimait.
p.301
Afficher en entierTe souviens-tu du crépuscule, le soir ou je t'ai demandée en mariage, du ciel violet ? Crois-tu que je n'ai pas regardé le ciel des centaines d'autres soirs, en repensant à ton baiser ?
p.276
Afficher en entier"Chérie" exprimait l'incapacité de Walter à saisir que si elle n'avait pas mis fin à ses jours, c'était par amour pour lui.
p.263
Afficher en entierAprès notre rencontre, je me suis jeté à corps perdu dans la passion que tu m'inspirais. Tout ce que je voyais, c'était toi. [...] Je ne pouvais penser à une autre que toi, mais ma mère insistait pour que j'épouse Shahla.
Alors je lui ai dit que j'étais amoureux de toi.
p.211
Afficher en entier"Tu es dans tout ce que je vois, tu m'accompagnes à chaque instant, Roya Joon."
p.116
Afficher en entierSur la première page, il avait écrit :
"Pour Roya Joon, mon amour. Puisses-tu être toujours heureuse et tes jours remplis de la beauté des mots."
Puis il lui avait dédié un poème de Rûmî :
"La première fois qu'on m'a raconté une histoire d'amour
Je t'ai tout de suite cherchée, sans savoir à quel point l'amour était aveugle.
Les amoureux ne se rencontrent jamais par hasard,
Chacun abrite l'autre dans son cœur depuis le début."
p.56
Afficher en entierRoya jeta un coup d’œil à la librairie, aux étagères remplies des volumes qu’elle aimait tant. Elle ignorait qu’ils étaient aussi des moyens de communication, que les gens glissaient des messages à l’intérieur et que M. Fakhri leur servait d’intermédiaire. Cette librairie qu’elle avait tant aimée, où elle avait passé des après-midi à étudier, qui lui avait servit de refuge, lui apparut sous un jour nouveau. Ce n’était donc pas juste un endroit où étaient entreposés secrètement des tracts politiques, mais une plaque tournante où s’échangeaient des lettres ?
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