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C’était la première fois que je lisais cet auteur, mais ce ne sera pas la dernière, car j’ai apprécié sa plume et l’originalité de cette histoire.

Trois prix Nobel sont assassinés. De son côté, Angelo trouve une petite fille avec son chien, seuls dans le métro. Il décide de les prendre sous son aile, sans imaginer l’engrenage dans lequel cela va l’emmener, car il est à présent suspecté de kidnapping. Il y a aussi Alizée, une jeune avocate en conflit avec son père, astrophysicien, avec lequel elle va tenter de renouer le dialogue.

Puis d’autres personnages s’imbriquent dans le récit, mais je préfère en rester là pour ne pas m’éparpiller.

Le récit se déroule principalement en 2016, avec des retours en 2013, en 2009, puis dans les années 80, entre l’Italie et la France.

Dans cette histoire, rien n’est laissé au hasard. J’ai tenté de démêler la toile, mais elle est bien tissée. L’intrigue est intelligemment construite, avec le souci du détail. On ressent tout le travail de recherche que l’auteur a dû effectuer pour nous immerger dans son roman.

J’avais un peu peur du côté astronomie, car ce n’est pas du tout mon domaine, mais cela ne m’a posé aucun problème de compréhension, car tout est expliqué et surtout, il n’y a pas que ça. Il y a aussi une enquête, des meurtres, des énigmes à résoudre…

Honnêtement, parfois je me suis perdue avec tous les personnages, leurs histoires respectives et les sauts dans le temps. J’ai eu besoin de concentration pour suivre le récit, mais cela ne m’a pas empêché de l’apprécier.

En bref, un thriller complet que j’ai aimé découvrir.

Ce roman m'a tout de suite interpellée lorsque je l'ai vu la première fois. Le titre d'abord, Icare est connu pour sa légende de s'être brulé les ailes en volant trop près du soleil, je me demandais donc ce que cela pouvait bien faire dans un roman présenté comme un thriller. Et je peux vous dire, sans spoiler, qu'en effet, certains des personnages vont eux aussi se brûler les ailes. Icare est ici une comète, baptisée ainsi par l'un des scientifiques du roman, justement parce qu'elle passe à proximité du soleil. Lire le résumé m'a ensuite donné très envie de découvrir le roman. C'est le troisième roman de Grégoire Godinaud, je ne l'ai encore jamais lu, je suis donc très contente d'avoir en plus découvert un nouvel auteur. 

Je ne vais pas trop revenir sur l'histoire, de peur de trop vous en dévoiler et de vous gâcher la surprise. On va suivre surtout deux personnages principaux, Alizée et Angelo. On est en 2016, Alizée quitte Cannes pour rejoindre Naples où vit son père. C'est un astrophysicien renommé à qui elle veut révéler un secret qui la ronge. Lors de son arrivée au domicile de son père, celui-ci est vide, elle ne trouve qu'une note lui disant de ne pas le chercher. Dans un même temps, on est à Lyon avec Angelo. Après une soirée avec ses copains, il rentre chez lui en prenant le métro. Son chemin va croiser une petite fille accompagnée de son chien, tous deux semblent perdus sur le quai du métro. Angelo la prend avec lui afin de la protéger. La petite fille ne parle pas et semble apeurée. Angelo la ramène chez lui, il découvre dans la médaille du collier du chien une adresse. Lorsqu'il s'y rend, il ne trouve qu'un homme mort, assassiné. Angelo prend peur et doit prendre la fuite. Les seuls mots que la petite fille prononcent vont le pousser à partir pour Naples avec elle, à la recherche de sa mère. Mais Angelo a été vu lorsqu'il était à l'appartement, et devient donc le suspect numéro un, recherché par la police. Il fuit donc vers Naples. 

Je ne vous dirais pas comment, ni pourquoi, mais Angelo et Alizée vont se rencontrer, alors qu'ils n'étaient pas destinés à le faire. Et ils vont se retrouver tous deux mêlés à une affaire qui les dépasse totalement et qui va les entrainer sur la piste de cette comète au nom d'Icare. Le père d'Alizée a construit un véritable jeu de piste pour que sa fille puisse comprendre. D'autres personnages vont se mêler à eux. Camille, l'inspectrice de Lyon, en charge de l'enquête sur le meurtre, et qui doit elle-même lutter contre des problèmes personnels ; Emilio, le commissaire de Naples, qui connait bien Alizée et son père. Des liens vont être faits petit à petit, et l'enquête va devenir très tordue et brouillée. 

C'est très compliqué de vous parler de ce livre sans trop en révéler. J'ai tout aimé dans cette histoire, la construction de celle-ci, les personnages qui sont tous des écorchés, ils ont tous quelque chose dans leur vie qui fait qu'ils ne vont pas bien. On découvre petit à petit les secrets de chacun et on tombe de haut parfois. La lecture de ce livre est très prenant. Les chapitres ne sont pas longs, à l'intérieur d'un même chapitre, on navigue entre plusieurs personnages et plusieurs lieux, Naples, Lyon, et même Londres. Il y a aussi plusieurs temporalités, on remonte dans les vies de certains personnages pour mieux comprendre le présent. À chaque nouvelle révélation, je pensais avoir compris quelque chose, et en fait, cela s'embrouillait à nouveau d'une autre façon. Le suspense est vraiment très bien mené et donne une lecture très prenante et très rythmée. 

Je me suis très vite attachée aux différents personnages. Ils ont tous leur importance dans la résolution de l'histoire. Je sais lorsque je lis ce genre de livres, qu'il faut toujours faire attention au personnage qui semble tout lisse et innocent. Et à chaque fois je me fais avoir. Mais je n'en dis pas plus. Vous comprendrez une fois le livre terminé. Un final explosif, troublant et émouvant. Et la petite note de l'auteur qui arrive à la fin justement, et qui vous précise que tout le roman est articulé autour d'un moment précis qui a vraiment existé. J'ai trouvé cela très prodigieux de la part de l'auteur, c'est très bien fait, ça ne se voit pas du tout pendant la lecture, je me dis qu'il a beaucoup d'imagination. Il a créé un univers très complet, dont on se rend compte de la complexité qu'une fois arrivé à la fin. Le livre est illustré tout au long des pages avec les dessins des constellations dont il est question dans l'histoire. Et une autre petite originalité est liée au nombre d'étoiles qui figurent dans ces constellations, comme si l'auteur se mettait des petits défis d'écriture. Je vous laisse découvrir ces petits détails très bien faits.

La lecture s'est fait très facilement. Le style de Grégoire Godinaud est très fluide. Il y a beaucoup de personnages, mais ils ont tellement de spécificités que je suis arrivée très bien à les reconnaitre et à me souvenir d'eux. Je n'ai jamais été perdue entre eux ou entre les lieux. J'ai été prise dans l'histoire dès le début, et j'ai eu beaucoup de mal à quitter le livre. Il est vraiment très prenant, il aurait pu se passer n'importe quoi à côté de moi, je n'aurais rien vu. J'ai d'ailleurs quitté le livre à regret à la fin. Mais l'auteur a écrit deux autres romans, "La nuit des flammes" et "La chanson blanche". Il se trouve que j'ai celui-ci dans ma bibliothèque, je vais le lire prochainement, le résumé est déjà très énigmatique. 

Je ne peux que vous conseiller la lecture de ce livre. Un thriller très bien ficelé et très bien écrit. Gregoire Godinaud va ainsi faire partie des auteurs que je vais suivre de près. Il n'épargne pas ses personnages, j'ai été triste d'en quitter certains. Je n'ai pas vu arriver la fin, et je me suis fait surprendre par les révélations. J'ai beaucoup aimé les légendes évoquées, qui m'ont donné envie d'en savoir plus. L'auteur fait également passer de belles valeurs au travers de certains de ses personnages.

Je vous recommande vraiment ce livre. De mon côté, je vais continuer à lire cet auteur et d'autres livres de cette maison d'édition.

L’enquête est magnifiquement réalisée. L’auteur n’a rien laissé au hasard, tout est cohérent et la fin… je m’attendais à cette fin. Les personnages sont complexes et très attachants. J’ai très vite trouvé l’auteur des crimes et l’intrigue est juste PARFAITE. Pour avoir eu la chance de rencontrer cet auteur, de parler avec lui, d’avoir découvert son chef d’œuvre, je le remercie ! Ce livre est absolument à lire !

C'est le second livre de l'auteur que je lis et cela confirme mon coup de coeur pour l'univers de Grégoire Godinaud.

Lire un roman de cet auteur, c'est accepter de se laisser porter, d'avancer à l'aveugle, de se prendre une claque littéraire.... Rien n'est laissé au hasard dans la construction de ses thrillers. Ce qui peut sembler un détail au cours de notre lecture, a en fait un sens bien plus profond que l'on découvre à la fin.

Lire un roman de cet auteur, c'est s'attacher aux personnages, apprendre des choses et vivre plein d'émotions. J'ai été complètement bouleversée par les cinquante dernières pages.

L'écriture est tellement précise, incisive. Nous sommes à la merci du récit. On est happé, on veut savoir, tout semble flou au départ et puis les liens se font, tout prend sens. La construction est intelligente, brillante. Je n'ai pas vu le temps passer, j'étais plongée dans ma lecture, incapable de relever le nez.

Je pense que vous l'aurez compris, c'est un coup de cœur pour moi car c'est un coup de maître de savoir nous conter une histoire de cette manière. Il me reste le premier roman de l'auteur à découvrir. Il m'attend sagement dans ma PAL, mais je parierai, qu'il n'attendra plus trop longtemps.

Second livre que je découvre de cet auteur, et un effet "waouh" renouvelé.

Mais comment Grégoire Godinaud réussit-il à faire s'imbriquer ainsi personnages et événements ?

Encore une fois, rien n'est laissé au hasard.

Tout est minutieusement préparé, calculé, un puzzle qui se construit peu à peu pour ne laisser qu'une pièce finale, celle de la dernière révélation, celle qui m'a fait tomber de haut.

Le récit est très bien construit avec quelques rebondissements et quelques retours arrière savamment bien disposés pour que jamais notre curiosité ne s'étiole.

Quand, vers la fin du récit, l'assassin est démasqué je me suis dit "Oh ! mais que reste-t-il à découvrir ?" et bien le plus important justement ! Et là, l'auteur va jouer un peu avec mes nerfs et mes émotions.

J'adore me demander où le récit, où l'auteur veulent m'emmener et voir ensuite les choses se dévoiler peu à peu. Petits frissons de plaisir garantis.

Tous les personnages sont excellents et très bien travaillés, que ce soit dans leur psychologie ou leur comportement. Ils sont réels et n'en rendent l'histoire que plus forte.

Une mention particulière à ce travail de recherches, dévoilé en fin de livre, pour avoir réussi à construire une histoire si complexe à partir d'un petit point aussi précis.

"La ligne d'Icare", le nouveau roman de Grégoire Godinaud nous plonge dans une histoire captivante où les destins d'Alizée et d'Angelo se croisent de manière inattendue. Alizée, déterminée à révéler un secret qui la tourmente depuis longtemps, quitte Cannes pour retrouver son père, un astrophysicien renommé. Cependant, à son arrivée à Naples, elle découvre que ce dernier a disparu, ne laissant derrière lui qu'un message cryptique avec des constellations énigmatiques.

Pendant ce temps, en France, Angelo se retrouve confronté à une situation des plus troublantes. Sur un quai de métro, il découvre une petite fille abandonnée. En cherchant les parents de la fillette, il tombe sur un cadavre. Pris de peur et craignant d'être accusé à tort, Angelo décide de fuir avec la petite fille.

Ce qui était au départ deux histoires distinctes va finalement se rejoindre à travers une série d'événements. Alizée et Angelo, qui étaient destinés à ne jamais se rencontrer, se retrouvent impliqués dans une enquête criminelle complexe. Leur recherche les mène sur la piste d'Icare, une comète lointaine, à laquelle est liée une découverte fondamentale.

Grâce à une plume agréable et fluide, l'auteur est parvenu une nouvelle fois à me captiver dès les premières pages. Les chapitres courts donne un rythme soutenu à l'histoire, maintenant ainsi le suspens et le dynamisme. Je me suis rapidement attachée à Alizée et Angelo, en découvrant progressivement leur histoire personnelle et leurs motivations.

Outre l'intrigue principale, Grégoire Godinaud a clairement fait un énorme travail de recherche, ce qui renforce la crédibilité du récit et nous permet de nous plonger plus facilement dans l'univers du roman. Les rebondissements et la révélation finale sont parfaitement maîtrisés, apportant une dose supplémentaire d'émotion et de surprise.

"La ligne d'Icare" est un roman impossible à lâcher une fois commencé. Grégoire Godinaud a réussi à créer un univers captivant, avec des personnages attachants et une intrigue bien ficelée. Je recommande vivement ce livre à tous les amateurs de romans policiers et de suspens.

Je remercie les éditions du Gros Caillou pour leur confiance et l'envoi de ce service presse.

Laissez-moi tout d’abord vous prévenir…L’auteur est machiavélique… Ne vous étonnez pas si vous devenez accro au récit…

Le départ est « posé ». On découvre les bases de l’histoire, les personnages… Deux « affaires ». Un jeune des cités lyonnaises vient en aide à une gamine seule sur un quai de métro d’un côté. De l’autre, une jeune avocate qui se rend en Italie pour parler à son père, mais celui-ci a disparu… ça commence à titiller la curiosité, surtout que l’auteur alterne entre les deux, Angelo et Alizée.

Ce n’est pas un début « coup de poing », mais quelque chose de plus subtil, plus insidieux, plus retors…Parce que déjà, sans même en avoir conscience, on est ferré. Piégé sans s’en rendre compte dans une toile d’araignée que l’auteur tisse patiemment, minutieusement…

Plus j’avançais dans ma lecture et plus j’étais accro. Angelo qui, en cherchant les parents de la petite, tombe sur un cadavre…Et se retrouve accusé de meurtre et d’enlèvement d’enfant. Alizée qui découvre que son père lui a laissé un mystérieux message…

Impossible de ne pas continuer à lire. Et c’est là le piège… « Allez, encore une page ». Qui se transforme en chapitre…Vous voyez ce que je veux dire, je le sais. J’étais comme attirée par un aimant devenant de plus en plus puissant au fil de ma lecture.

Grégoire ne laisse rien au hasard dans son histoire, rien n’est anodin.. Tout est étudié, pesé, calculé, l’intrigue comme les protagonistes. Même le nombre de chapitres… Qui d’ailleurs se terminent en « tourne la page !».

Angelo et Alizée finissent par se rencontrer, on le savait. Et le rythme augmente encore d’un cran, rendant le livre plus addictif encore. Des mystères, des rebondissements, du suspense. C’est terrible, mais qu’est-ce qu’on aime ça !

Et vous, êtes-vous prêts à découvrir ce qui se cache derrière la ligne d’Icare ?