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Lu le mois dernier, je prends enfin le temps de vous parler de la Machine, le dernier roman de Katia Lanero Zamora, l'auteure des Ombres d'Esver que j'avais adoré découvrir il y a deux ans.
Ici, rien à voir avec l'ambiance gothique de son précédent ouvrage, Katia nous parle cette fois d'un pays dont le peuple risque à tout moment de basculer dans une guerre civile. J'ai été très surprise de trouver La Machine au rayon des mondes imaginaires ; il ne correspondait alors pas à mes attentes. le roman n'a d'imaginaire que l'endroit où il se déroule, mais ses ressemblances avec l'Espagne sont tellement fortes que je l'aurais plutôt trouvé au rayon littérature. Malgré tout, La Machine a été une très agréable surprise ! J'ai littéralement été captivée par l'histoire des Cabayol. Katia est parvenue à créer une fresque familiale extraordinaire. Malgré mes lacunes en histoire, j'ai su lire avec curiosité celle de ce pays où les rebelles se dressent contre une société monarchique totalitaire, à l'image de la révolution espagnole des années 30. C'est ainsi que les deux frères Cabayol risquent de se déchirer. Ce lien fraternel au coeur du récit va subir les divergences, les choix et les pertes mais il restera beau jusqu'à la dernière page. Vian et Andrès mènent chacun un combat qui remettra finalement en cause leur loyauté envers leur propre famille. J'ai apprécié les voir douter tour à tour (le bien-fondé du parti, la pression exercée par le père, le secret caché par l'un d'eux, les valeurs familiales, etc). Chacun des personnages en est d'autant plus authentique, captivant et magnifié sous la plume de l'auteure.
J'accorde un 8/10 à La Machine. La Machine est une histoire de famille fantastique avec un contexte historique fort qui laisse imaginer un travail de recherches méticuleux de la part de Katia. de part son thème politique un peu effrayant, c'est avec appréhension que j'ai entamé mon livre mais c'est avec passion que je l'ai dévoré en cinq jours.
Merci à Babelio et ActuSF pour cette excellente découverte.
D’accord avec vous, c’est la guerre civile espagnole transposée dans un ailleurs qui n’en fait en rien un livre à classer dans les littératures de l’imaginaire. Les deux personnages principaux, Vian et Andres m’évoquent les 2 enfants de Maria, la chanson de Jean Ferrat. Il n’empêche, c’est bien fait, c’est haletant, cela prend aux tripes, et je l’ai lu en une soirée
Lu le mois dernier, je prends enfin le temps de vous parler de la Machine, le dernier roman de Katia Lanero Zamora, l'auteure des Ombres d'Esver que j'avais adoré découvrir il y a deux ans.
Ici, rien à voir avec l'ambiance gothique de son précédent ouvrage, Katia nous parle cette fois d'un pays dont le peuple risque à tout moment de basculer dans une guerre civile. J'ai été très surprise de trouver La Machine au rayon des mondes imaginaires ; il ne correspondait alors pas à mes attentes. le roman n'a d'imaginaire que l'endroit où il se déroule, mais ses ressemblances avec l'Espagne sont tellement fortes que je l'aurais plutôt trouvé au rayon littérature. Malgré tout, La Machine a été une très agréable surprise ! J'ai littéralement été captivée par l'histoire des Cabayol. Katia est parvenue à créer une fresque familiale extraordinaire. Malgré mes lacunes en histoire, j'ai su lire avec curiosité celle de ce pays où les rebelles se dressent contre une société monarchique totalitaire, à l'image de la révolution espagnole des années 30. C'est ainsi que les deux frères Cabayol risquent de se déchirer. Ce lien fraternel au coeur du récit va subir les divergences, les choix et les pertes mais il restera beau jusqu'à la dernière page. Vian et Andrès mènent chacun un combat qui remettra finalement en cause leur loyauté envers leur propre famille. J'ai apprécié les voir douter tour à tour (le bien-fondé du parti, la pression exercée par le père, le secret caché par l'un d'eux, les valeurs familiales, etc). Chacun des personnages en est d'autant plus authentique, captivant et magnifié sous la plume de l'auteure.
J'accorde un 8/10 à La Machine. La Machine est une histoire de famille fantastique avec un contexte historique fort qui laisse imaginer un travail de recherches méticuleux de la part de Katia. de part son thème politique un peu effrayant, c'est avec appréhension que j'ai entamé mon livre mais c'est avec passion que je l'ai dévoré en cinq jours.
Merci à Babelio et ActuSF pour cette excellente découverte.
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