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La Poupée sanglante, Tome 2 : La Machine à assassiner



Description ajoutée par Bbey 2010-09-11T20:23:46+02:00

Résumé

La peur s'est à nouveau abattue sur Paris ! Une étrange créature sème l'effroi en l'île Saint-Louis, dans le sillage de Bénédict Masson que ses terribles méfaits menèrent -malgré ses véhéments cris d'innocence- à la guillotine. Sur les pas du meurtrier, celle que l'on ne tarde pas à surnommer dans la ville " la machine à assassiner " va irrésistiblement nous entraîner dans le sillon vermillon qu'a tracé la poupée sanglante. Car si elle est muette, la créature n'en exprime pas moins avec l'écriture du ... guillotiné ! Les mêmes lieux, les mêmes morts rejaillissent, et le mystère ne se dissipera que grâce au magistral génie romanesque de Gaston Leroux.

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Classement en biblio - 21 lecteurs

extrait

« La machine à assassiner ! » quelle est cette invention nouvelle ? et le besoin s’en faisait-il réellement sentir ?

Il ne s’agit peut-être, après tout, que de cette vieille invention, sortie des mains de Dieu, aux plus beaux jours d’Éden, et qui devait s’appeler :

l’Homme !

En vérité, l’Histoire, depuis ses premières empreintes aux parois des cavernes jusqu’aux plus récents rayons de nos bibliothèques, est là

pour attester que l’on n’a point encore trouvé de meilleure mécanique à répandre le sang !

Vouloir faire mieux que le Créateur, c’est là le fait d’un génie diabolique, une nouvelle forme de la lutte éternelle entre le Prince des lumières et celui des ténèbres !

Le Malin se glisse où il veut ! Pour ceux qui ont lu La Poupée sanglante qui est à l’origine de ce récit, il ne peut faire de doute qu’il ait élu domicile dans la boutique du vieil horloger de l’Île-Saint-Louis, ni que ce soit lui qui anime de ses maléfices le triple mystère qui, dans cet antique quartier, tout gris encore de la poussière des siècles, met aux prises, d’une part :

l’inquiétante famille du vieux Norbert, lequel passe pour chercher le mouvement perpétuel, aidé de sa fille, la belle Christine, et de son neveu, le prosecteur Jacques Cotentin, – et, d’autre part : le marquis de Coulteray, cet être

éternellement jeune, qui a quarante ou deux cents ans, on ne sait au juste, et qui fait, à côté de la marquise, sa femme (si pâle et toujours agonisante), une singulière figure d’empouse, –

vieux mot qui, dans le langage satanique, désigne les vampires, tout simplement, – enfin, en troisième lieu : le terrible Bénédict Masson, le relieur d’art de la rue du Saint-Sacrement, qui vient d’être condamné à mort et exécuté pour avoir brûlé dans son poêle, une demi-douzaine de jeunes et jolies femmes – au moins !

Et, à ce propos, il convient de citer ici la dernière phrase du volume précédent, intitulé La Poupée sanglante. L’auteur avait traité de

« sublime » l’aventure de Bénédict Masson. En quoi donc pouvait être sublime une aventure qui conduisit son héros à une mort aussi ignominieuse ? – « En ce que cette aventure, répliquait l’auteur, ne faisait que commencer... »

Voilà des lignes qui, s’appliquant à un homme qui vient d’avoir la tête tranchée, apparaissent bien étranges... Aussi n’a-t-il pas moins fallu d’un second volume que voici et que nous appelons : La Machine à assassiner, pour qu’elles soient expliquées d’une façon peut-être redoutable, mais à coup sûr, normale...

... Normale, car nous avons la Science avec nous qui nous protège, nous soutient, nous encourage dans cette incursion vertigineuse aux bords du Grand Abîme...

– La Science, dites-vous ?... Tout à l’heure, vous parliez de Satan ?... Satan ?...

– Eh bien ?... eh bien ?... eh bien ?... Peut-être s’entendra-t-on un jour sur le nom qu’il faut donner à tout ce qui nous éloigne de la Candeur

Première..." (Avant-propos du livre).

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Commentaires récents

Lu aussi

lecture rapide sans plus.

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Or

Voici la seconde partie de l'étrange aventure de Bénédict Masson... officiellement (et réellement) mort et guillotiné après avoir été condamné pour le meurtre de sept jeunes femmes et du père Violette. Cet innocent y retrouve (et c'est le cas de le dire) une nouvelle vie. Grâce à Jacques Cotentin, à M. Norbert et à la belle Christine, il ressuscite d'entre les morts et trouve une apparence quasi divine, Le pauvre homme à l'âme magnifique devient "la poupée" invulnérable et celle-ci terrorise tout Paris.

Pour commencer, au début du roman, Gabriel-Bénédict enlève Christine, sème la panique parmi ses anciens voisins, les vieilles personnes de l'île Saint-Louis où il habitait et poursuivi de toutes parts, s'enfuit. Il a une nouvelle quête.

Son but est de prouver qu'il n'est pas le tueur en série que tout le monde voudrait qu'il soit. Fou de jalousie, Jacques Cotentin veut sauver sa fiancée prisonnière du "monstre"... Mais celle-ci semble plutôt ravie d'accompagner la machine en qui elle voit son âme soeur.

Dans cette suite, Gaston Leroux raconte avec beaucoup d'humour les derniers jours de son personnage, sorte de Frankenstein et d'Olympia à la fois (vous vous souvenez, l'automate de "L'homme au sable" de Enrst Theodor Amadeus Hoffmann). Lors de sa cavale, Gabriel-Bénédict passe de beaux moments à la montagne avec sa Christine toujours plus amoureuse de son esprit. Mais les choses ne se passent pas comme prévu. L'empouse vue dans le premier tome est toujours là.... Et tous les assassins avec elle. Mieux, la Dorga exige un sacrifice sanglant. Il lui faut Christine...

Et là, je ne vais pas vous raconter la fin : il faudra la lire et vous ne le regretterez pas. Si vous aimez les oeuvres de Gaston Leroux, vous adorerez la tragédie de Gabriel, l'espoir de Christine, la mise hors d'état de nuire de la mauvaise bande de véritables criminels. Le tout est bien enlevé, animé, sympathique... et surtout plein d'humour !

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Lu aussi

Suite de "La poupée sanglante" où nous retrouvons les protagonistes là où on les avait laissés.

Si j'ai bien aimé ce dernier, "La machine à assassiner" m'a bien moins plus.

Le côté fantastique est beaucoup plus léger que le premier roman. Cela laisse la place à toute la partie scientifique autour de la machine "Gabriel". On suit le récit d'un point de vue externe, et quelque peu décousu, le parcours de Gabriel, de Christine et de Jacques.

J'ai trouvé le récit lourd, avec beaucoup de description et plusieurs longueurs. L'histoire démarre lentement et l'on retrouve nos personnages que tardivement. Christine m'a paru nunuche ici et Jacques un peu lamentable.

On a cependant certaines réponses aux mystères de l'empouse et du marquis, ainsi que sur les jeunes filles disparues dont a été accusé Bénédict Masson pour leurs assassinats.

Gaston Leroux use d'humour et de sarcasme pour dépeindre les Parisiens qui se retrouvent mêlés à cette intrigue.

Une suite qui se laisse lire mais sans plus pour moi.

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Lu aussi

La suite de "la poupée sanglante" je ne saurais dire pourquoi mais cette suite m'a laissée de marbre, je n'ai pas accroché.

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Argent

Enfin la lumière sur les mystères du tome premier de la Poupée Sanglante. Vampires et automates se retrouvent dans une action aux forts rebondissements, où seule la Sureté Publique est impuissante. Livre très prenant qui nous laisse beaucoup de nostalgie en le refermant.

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Bronze

Bon, La Machine à assassiner ne fait pas partie du genre de livre que je lis d'habitude.

Il faut dire que je ne l'ai pas trop aimé et que je me verrai bien le relire comme devoir pour l'école.

Donc franchement pas dans mes coups de coeur mais il reste un livre selon-moi classique qu'il faudrait lire une fois au moins.

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Argent

Suite de La Poupée Sanglante, cette deuxième partie reprend l'histoire là où nous l'avions laissé, sous forme de récit journalistique. Ainsi le roman est peuplé de citation reprenant simplement les dires des personnages qui apparaissent au fil de la lecture, accompagné par la plume du journaliste qui détaille les faits pour le lecteur. On découvre ainsi les faits et gestes de la poupée sanglante à travers des yeux extérieurs, montrant la terreur qu'engendra cette découverte.

Contrairement au premier roman, le fantastique est moins présent car les explications scientifiques affluent, mais on retrouve malgré tout cette dualité science/croyances qui sépare la populace lambda du scientifique érudit.

Les références sont toujours présente: Dracula, Frankenstein, Pygmalion, mais le mythe est dépoussiéré pour répondre à une attente du début du 20ème siècle.

Le seul point négatif est qu'il reste quelques questions en suspens à la fin du livre, mais Leroux parvient à nouveau à nous entraîner à la suite d'un monstre, démontrant que l'habit ne fait pas le moine à travers l'effroyable pouvoir de la presse et des croyances populaires.

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Date de sortie

La Poupée sanglante, Tome 2 : La Machine à assassiner

  • France : 2008-10-16 (Français)

Activité récente

Allebei l'ajoute dans sa biblio or
2021-07-19T21:11:41+02:00

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Les chiffres

lecteurs 21
Commentaires 7
extraits 9
Evaluations 8
Note globale 6.63 / 10

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