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Liste des extraits

"Plus j'avancais, plus les émotions de Thomas devenaient claires et plus il était evidement qu'il n'appréciait pas ma venue. Son irritation ne cessait de progresser.

Oh, le pauvre chéri, il n'avait pas envie que je débarque?

EH BEN IL N'AVAIT QU'A PAS ME TRANSFORMER !"

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" -- Ca ne t'arrive jamais de prévenir ? grommela David en grimaçant devant la lumière soudaine. Et tu as vraiment besoin d'une lampe pour voir?

--Ma mère m'a toujours dit de ne pas rester dans le noir avec un garçon, ironisai-je.

-- Mais avec la lumière, tout va bien? Elle a des conseils étranges. "

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"-- As-tu parlé de notre nuit à qui que ce soit ? reprit Thomas, l'air sérieux.

-- Quelle nuit ? demanda Célia derrière nous.

Evidemment, il fallait qu'elle se soit trouvée derrière nous.

Je me retournai d'un bloc, et le rouge me montait deja aux joues. C'est ça, le problème avec moi. Même quand je n'ai rien à me reprocher, il suffit que je me sente coupable pour que mon visage chauffe. Difficile ensuite de passer pour innocente.

-- Tu as mal entendu, balbutiai-je avec un manque de conviction flagrant.

-- Oui, enchaîna Thomas sans se démonter, on parlait des Inuits.

Célia le regarda avec méfiance.

-- Les quoi ?

-- Ils habitent au Groenland. Les Inuits, c'est inouï.

-- Ne me prenez pas pour une conne, c'est pas du tout ce que vous disiez, insista Célia, les mains sur les hanches.

Chloé, tu me caches quelque chose, tu es toute rouge.

-- On peut aussi les appeler Esquimaux, reprit Thomas, imperturbable. Dis, Chloé, si tu nous présentais au lieu de me regarder comme si tu voulais me frapper ?

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"Il se tenait la, comme je l'avais prévu, adossé à son scooter. Mais il n'était pas seul. Un grand gaillard à la mâchoire carrée me toisa de son regard sexy.

J'ai dit sexy? Je voulais dire glacial.

-- Chloé.

-- David.

-- Eh ben, c'est l'amour fou, vous deux, ironisa Thomas. J'ai raté quelque chose la nuit dernière? Vous m'expliquez un peu? "

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Si au moins j’étais belle comme ces filles qui se déhanchent dans les clips, j’aurais pu tenter une carrière de mannequin.

Comme ce n’est pas le cas et que la plupart des garçons m’appellent « le Tank », bah à la place je fais de l’escrime.

C’est moins glamour, mais c’est plus libérateur.

Voilà ce que je me disais en détachant la lanière de ma cuirasse. Blanche, informe, moche et couverte de transpiration.

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Alors tu ne devrais pas douter du pouvoir des mots. Grâce à eux, l'écrivain peut voyager dans le temps et l'espace. Il peut écrire une scène qui sera lue dans un mois, deux ans, trois siècles. Il peut évoquer les rues de Paris à Séoul ou à Washington.

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Avec un souci exaspérant du détail, Thomas replaça la poubelle dans son coin et glissa sa bouteille vide dans son sac.

Il revient enfin vers moi, m'adressa un sourire nerveux, enleva ses lunettes, les essuya sur son tee-shirt, les remit, et j'allais me mettre à hurler lorsqu'il parla enfin.

-Qu'est-ce que tu veux savoir, exactement?

-Je ne sais pas, plein de trucs. pour commencer, comment ça se fait que je suis encore en vie? Je pensais que l'homme m'avait tuée.

-C'est... une question compliquée.

-OK, je tente autre chose: c'était qui, qu'est-ce qu'il te voulait?

-C'est compliqué aussi.

-Et ces phrases bizarre que tu prononçais?

-C'est...

-Compliqué?

-Exactement

Il évitait mon regard, observait ses pieds avec un intérêt évident.

J'avais envie de le secouer comme un prunier. Il dut le sentir, car il se décida enfin:

-J'aimerais t'expliquer, seulement je ne sais pas comment faire.

-Avec des mots, comme tout le monde?

Je n'avais pas l'intention de lui rendre la tâche facile. Je ne comprenais rien, ça m'exaspérait, et il ne m'aidait pas beaucoup. Finalement, il hocha la tête.

-Très bien. Regarde.

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— Tu te fous de moi ? Je parle de ta magie !

— Parle plus fort, toute la cantine ne t’a pas entendue.

Je baissai instinctivement la voix et me penchai vers lui.

— Ta magie ! soufflai-je. Ce n’est pas comme si les gens écoutaient notre conversation.

— Je ne suis pas de ton avis. J’ai l’impression que tout le monde nous mate.

Je jetai un oeil autour de moi, mortifiée. En effet, Nour et Célia me regardaient avec un sourire jusqu’aux oreilles – la seconde se permit même de lever discrètement le pouce. Mais elles n’étaient pas les seules. Les filles de l’escrime me dévoraient des yeux, tandis que certains que je connaissais à peine murmuraient en nous regardant.

J’aurais dû rougir, mais j’étais trop en colère pour ça.

— Forcément, le Tank discute avec un garçon et le garçon ne fuit pas. De quoi alimenter toutes les rumeurs au lycée.

— Le garçon, je vois bien qui c’est, mais le Tank ?

— Tu as besoin d’un dessin ?

— Oh, fit Thomas. (Il enfourna une bouchée de carottes râpées.) En tout cas, je ne trouve pas que tu aies l’air d’un tank.

— Merci, soufflai-je.

— Ou alors un petit tank, avec une petite tourelle, tu sais, un truc mignon.

J’eus envie de lui jeter ma salade de tomates au visage

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Le vrai problème d’être lié par les émotions avec quelqu’un, c’est que, lorsqu’il panique, c’est communicatif. À mort.

Et là, Thomas paniquait clairement.

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Le souci, c’est que Nour ne me lâchait pas d’une semelle.

— Intéressant, comment ça ? Intéressant genre il te plaît, ou intéressant genre il pourra t’aider en maths ?

— Intéressant genre j’aimerais en savoir plus sur lui. Je veux dire, c’est pas banal, un gars qui arrive en plein milieu d’année scolaire, si ?

Nour fit la moue. Elle espérait une révélation plus croustillante.

— Ben si, y’en a plein. Genre tes parents déménagent et voilà, t’es dans un nouveau lycée. Ou alors c’est que tu t’es fait virer de celui d’avant mais, pour le coup, il ressemble pas trop à un bad boy. Plutôt le style geek qui fait du jeu de rôles et des MMO.

— Mmh.

— En même temps, si on aime les écorchés vifs, je dois reconnaître qu’il a du charme. Un beau sourire, des yeux expressifs …

— Mmh.

— Tu aimerais coucher sauvagement avec lui après qu’il t’a fouettée avec des orties fraîches ?

— Mmh.

Ma copine me prit par les épaules et m’obligea à la regarder droit dans les yeux.

— Hé, Chloé, tu m’écoutes ? J’ai l’impression que tu es complètement ailleurs.

— Bien sûr, protestai-je machinalement. Bien sûr, je t’écoute !

— Ah ouais ? Qu’est-ce que je viens de dire, alors ?

Je fouillai ma mémoire pour essayer de m’en sortir, comme lorsqu’un prof me chope à rêvasser pendant son cours.

— Un truc avec des orties fraîches ? répondis-je, hésitante.

Nour leva les yeux au ciel.

— Oui, voilà, un truc avec des orties fraîches.

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