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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-01T19:40:09+01:00

Jusqu’où comptait-elle pousser cette substitution improvisée ? Paul ne s’en doutait pas, mais quoi qu’il advînt, elle serait désormais obligée de compter avec lui. Il était entré dans son jeu, sans sa permission, mais elle l’y avait admis, puisqu’elle n’avait pas réclamé. Au contraire, elle l’avait plutôt encouragé, par un regard qui lui enjoignait d’être discret, et par son silence

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-01T19:39:57+01:00

Ce n’étaient que comtesses et baronnes, marquis et vicomtes, tout un annuaire de la noblesse où le véritable marquis de Ganges se serait trouvé dans son élément. La marquise y était certainement. Elle les connaissait tous et toutes. Elle aussi s’était remise d’un trouble passager et elle manœuvrait maintenant avec une aisance parfaite, sur ce terrain devenu difficile pour elle, depuis l’erreur du valet de pied. – Vous offrirai-je une tasse de thé ? Et comme l’étudiant, qui trouvait le thé fade, hésitait à accepter 

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-01T19:39:49+01:00

ouveau venu. Évidemment, un orage allait tomber sur l’intrus qui se permettait de s’introduire ainsi dans un cercle d’intimes où personne ne le connaissait. À la grande stupéfaction de Paul, cet orage n’éclata pas. Il y eut des chuchotements, mais pas la moindre manifestation hostile et les regards fixés sur Paul étaient plutôt bienveillants. La marquise, seule, rougit et lui lança un coup d’œil, chargé de reproches, mais non pas de menaces

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-01T19:39:42+01:00

– Non… c’est enfantin… Donnez-moi votre parole d’honneur que vous n’aimez pas Jean de Mirande… que vous ne l’aimez pas… d’amour. – Je vous la donne. Je n’ai pas d’amour pour lui et je n’en aurai jamais. – Jamais, c’est beaucoup dire. – Je ne puis pas l’aimer. Un jour je vous apprendrai pourquoi. – C’est bien… je vous crois, dit gravement Paul Cormier. Je ferai tout ce que vous voudrez

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-01T19:39:36+01:00

– Allons ! murmura-t-il tristement, j’arrive trop tard. Et il ne me reste même pas la ressource de la suivre pour voir où elle demeure. Elle a dû remonter dans son équipage qui l’attendait à une des portes du jardin. L’ange blond s’est envolé et je ne le reverrai plus… Bah ! qui sait ?… en venant tous les jours sur cette terrasse, je l’y rencontrerai peut-être… et, j’aurai soin d’y venir sans ce grand fou de Mirande. Médiocrement consolé par ce très vague espoir, Paul s’achemina vers la grille qui fait face aux galeries de l’Odéon

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-01T19:39:29+01:00

Trop heureux d’être délivré de leur bruyante société, Paul Cormier les laissa partir sans regret. Ils l’avaient entraîné assez loin de la dame blonde. Il lui tardait de la revoir et d’essayer d’attirer son attention, car il ne désespérait pas de lui plaire, en s’y prenant autrement que ne l’avait fait Mirande

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-01T19:39:23+01:00

Le refus de Paul fut appuyé par mademoiselle Véra. Cette jeune personne qui portait les cheveux courts comme un garçon, et une mante de serge blanche taillée comme les touloupes des paysans Russes, n’était pas précisément jolie avec son teint chlorotique et son nez à la Roxelane, mais elle avait des yeux verts d’un éclat singulier et d’une mobilité troublante

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-01T19:39:15+01:00

Les gardiens du jardin les regardaient de travers, mais au Luxembourg on n’est pas si collet-monté qu’aux Tuileries et les habitués y ont leurs coudées franches. Ce fut une fête en plein air que cette rencontre entre ces émancipées et les deux étudiants les plus chic du pays Latin. Il y eut des cris de joie et des accolades à grands bras. Maria proposa de se prendre tous par la main et de danser en chantant la ronde du pont d’Avignon

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-01T19:39:09+01:00

– Cette blonde ne s’occupe plus de toi. Elle a repris sa lecture ; elle y est plongée. Quant au chevalier noir, le voilà qui s’en va se mêler aux badauds occupés à regarder jouer au ballon. Cet homme n’est qu’un domestique. Un mari ou un amant se serait campé sur la chaise

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-03-01T19:38:58+01:00

sieur. Passez votre chemin. – Alors, vous ne voulez pas vous aligner ? Très bien !… je me suis trompé. Je vous prenais pour un ancien militaire à cause de ce bout de ruban. Je m’aperçois que j’ai affaire à un bourgeois, décoré par l’intermédiaire de l’agence Limouzin. Puisque vous ne vous battez pas, je n’ai plus rien à vous dire. Gardez bien madame votre épouse et au plaisir de ne jamais vous revoir

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