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Résumé
Après les récits La Main cachée (1991) et La Main ouverte (1996), voici La Main nue, qui complète le triptyque autobiographique dans lequel Jean Royer retrace son parcours dans l'apprentissage de la langue, de l'écriture, de la poésie et de la littérature.
Touchante et intimiste, cette oeuvre nous parle de l'enfance, du rapport à l'écriture et de la vision de la littérature de l'auteur en tant qu'acteur mais aussi en tant que commentateur du fait littéraire. Tout y est dit sur le ton de la confidence, un peu comme si l’auteur nous léguait son testament littéraire.
Dans ce troisième et dernier volet d’un cycle autobiographique par moments imaginaire, Jean Royer retrace l’apprentissage du langage, de l’écriture et de la poésie. De « la langue maternelle », où il est question de l’enfance, au « regard des mots » qui offre une réflexion personnelle sur le rapport à l’écriture, le narrateur fait un retour vers les « figures d’origine », ces sources qui déterminent et tracent le parcours à venir.
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