La maison de chair

J'ai lu ce livre il y a très longtemps et il m'avait vraiment marquée, à en faire des cauchemars pendant des mois.

À la lecture des commentaires laissés, la curiosité m'a aiguillonnée. Avait-il tant "vieilli" pour ne plus faire aucun effet à notre époque ?

Mais la magie a opéré à nouveau, je me suis revue à peine sortie de l'enfance, plongée dans ce roman et guettant le moindre bruit suspect, de jour comme de nuit (si, si).

Graham Masterton est et restera l'un de mes auteurs préférés. J'ai tous ses livres, comme ceux de beaucoup d'autres, tels Kurt Steiner, Bruss, etc. et ma PAL est bien trop immense pour que je les relise tous, mais que de moments intenses j'ai vécus à l'époque.

Je n avais jamais lu de livres de Graham Masterton et franchement je ne fus pas déçue. Je fus captivée du début à la fin. Au point qu à certains moments j en avais des frissons. Ça faisait très longtemps que je n avais pas ressenti de la peur suite à une histoire. Bravo à l auteur, je ne me suis pas ennuyée.

Apparut sous le titre original de Charnel House en 1978, la maison de chair est l'un des premiers livres de Graham Masterton. D'après les notes de l'auteur, ce récit lui aura été maléfique, beaucoup de faits étranges se sont déroulés lorsqu'il écrivait, comme par exemple deux accidents, la disparition d'un parent proche et perte d'objet, étonnant donc.

Imaginé lorsque vous êtes seul chez vous et que tout d'un coup vous entendez une respiration, c'est ce qu'il est arrivé Seymour Wallis. Sa maison le rend dingue au point où il décide d'aller voir les services sanitaires. John Hyatt intrigué décide d'aller se rendre compte sur place en compagnie de son ami Dan Machin.

Comme la majorité des romans de Graham Masterton, on a affaire à une lutte homme/démon. Ce démon n'est pas n'importe lequel puisqu'il est l'un des plus maléfiques et perfides des croyances indiennes. J'ai lu pas mal de livres de cet auteur, et je suis toujours surpris avec quelle imagination il arrive à provoquer des morts atroces à ses personnages. Ce livre est écrit à la première personne. J'ai bien aimé ce livre, il m'a procuré de bons moments, mais je le trouve bien en deçà de « Démences » qui restera une référence.

Le résumé m'avait bien accroché mais, après lecture, je trouve cette histoire un peu plate... tout comme les personnages. J'avais été plus emballée par "Démence". Enfin bon, rien de catastrophique dans ce livre, mais je pense que cette histoire va faire parti des "vite lues, vite oubliées"

Roman d'horreur- fantastique qui se lit vite et bien. L'histoire est intéressante, le suspens est présent, j'ai eu quelquefois des petites frayeurs, cependant le roman aurait mérité d'être plus développé: en effet les événements s'enchainent beaucoup trop rapidement, la psychologie des personnages n'est pas assez étoffée, pas assez de descriptions à mon goût. Bref ce roman me donne comme une "impression d'ébauche"; mais malgré cette petite déception on entrevoit tout de même un fort potentiel de l'auteur. En bref, un roman sympathique, divertissant et sans prise de tête.

Il faut dire que je ne connais pas encore beaucoup cet auteur. Je n'ai toutefois pas apprécié la lecture de ce roman.Les changements de situations sont souvent décousus et nous amène d'une situation à une autre trop brusquement. L'auteur nous plonge dans des situations vraiment invraisemblables même pour ce type de roman.

Hello,

La Maison de chair" compte parmi les bons romans de Masterton même s'il ne se hisse pas au niveau de ses chef-d'oeuvres !!!!!

Masterton s'intéresse cette fois encore à la magie indienne et nous présente un nouveau démon "Le Coyote" bien décidé à revenir à la vie.

La structure de l'intrigue, les personnages et la légende invoquée rappellent beaucoup le premier roman de Masterton "Manitou". Malgré tout, "la Maison de chair" propose un récit cohérent et rythmé, parsemé de scènes d'effroi ou gore qui se lit avec un réel plaisir.

excellent!!!

marquise66

Je l'ai recu il y a de ca 8 mois environs et je l'ai rapidement devore. Bien qu'il ne m'ai pas plu autant que les autres oeuvres de Graham comme le miroir de satan ou demence, je l'ai bien apprecie =)

Par hasard, je suis tombé sur cette nouvelle ( car que 187 pages ), et je n'ai pas été déçu d'avoir entre les mains un bon moment à passer.

L'humour est du pur style anglophone, et l'histoire est très bien menée.

Dommage que seulement 190 pages n'aient été nécessaire pour écrire toute l'histoire, j'aurais apprécié un roman.

Très bon livre.