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La chair de l’humain était tendre, pulpeuse.

Aurox avait été surpris de la facilité avec laquelle il l’avait démoli, et mis un terme aux battements de son faible cœur.

« Emmène-moi au nord de Tulsa. Je veux sortir dans la nuit », avait-elle dit. C’était sur cet ordre qu’avait commencé leur soirée.

« Oui, déesse, avait-il répondu, reprenant vie dans le coin du toit terrasse qu’il s’était approprié.

— Ne m’appelle pas déesse. Appelle-moi… »

Elle avait pris un air contemplatif.

« … Prêtresse. »

Ses lèvres pleines et lisses, maquillées en rouge, s’étaient relevées dans un sourire.

« Je crois qu’il vaut mieux que tout le monde m’appelle simplement prêtresse… du moins, pour l’instant. »

Aurox avait fermé le poing sur sa poitrine, dans un geste qu’instinctivement il savait ancien, mais qui lui avait tout de même paru maladroit et forcé.

« Oui, prêtresse. »

Elle l’avait effleuré en passant devant lui et lui avait indiqué de la suivre d’un geste impérieux. Il l’avait suivie. Il avait été créé pour la suivre. Pour recevoir ses ordres. Pour lui obéir. Ils étaient entrés dans ce qu’elle avait appelé une « voiture », et le monde avait filé. Elle lui avait ordonné d’en comprendre le fonctionnement.

Il avait observé et appris, exactement comme elle le lui avait demandé.

Ensuite ils s’étaient arrêtés et ils étaient descendus. La rue empestait la mort et la pourriture, la corruption et la crasse.

« Prêtresse, cet endroit n’est pas…

— Protège-moi, l’avait-elle coupé avec hargne, mais sans empiéter sur ma liberté. J’irai toujours où je veux, quand je veux, et je ferai exactement ce que je veux. Ton travail, non, ta raison d’être est de vaincre mes ennemis. Sois vigilant, et réagis quand je te le dirai. C’est tout ce que j’exige de toi.

— Oui, prêtresse. »Le monde moderne était un endroit troublant. Tant de bruits changeants ; tant de choses qu’il ignorait…

Il ferait ce que prêtresse lui demanderait ; il remplirait le rôle pour lequel il avait été créé, et…

Soudain, un mâle avait barré le passage à prêtresse.

« T’es bien trop jolie pour traîner aussi tard le soir avec un gamin pour seule compagnie, avait-il lâché avant d’écarquiller les yeux en remarquant ses tatouages. Alors, vampire, t’es venue t’offrir ce garçon en guise de snack ? Et si tu me donnais ton sac à main ? Après, on pourrait discuter de ce que ça fait, d’être avec un vrai mec… »

Elle avait soupiré et pris une voix ennuyée.

« Tu te trompes sur deux plans : je ne suis pas un vampire comme les autres, et ceci n’est pas un garçon.

— Ah ! Et qu’est-ce ça veut dire, ça ? »

Elle l’avait ignoré et avait regardé Aurox par-dessus son épaule.

« C’est le moment de me protéger. Montre-moi de quelle arme je dispose. »

Aurox avait fondu sur l’homme sans la moindre hésitation. Il avait plongé les pouces dans ses globes oculaires, et les hurlements avaient retenti dans la nuit.

La terreur de l’homme s’était déversée sur lui, le nourrissant. Tout naturellement, il inhalait la douleur qu’il causait. L’effroi de sa victime avait enflé en lui, chaud et glacé à la fois. Ses doigts s’étaient transformés en griffes, qu’il avait retirées des yeux de l’homme quand du sang avait commencé à couler de ses oreilles. Armé du pouvoir que lui conféraient la peur et la souffrance de sa victime, il l’avait soulevée de terre et plaquée contre le mur du bâtiment le plus proche.

L’homme avait hurlé de nouveau.

Quelle formidable et terrible excitation ! Aurox avait senti la métamorphose s’opérer dans tout son corps. Ses pieds s’étaient transformés en sabots fendus ; les muscles de ses cuisses s’étaient épaissis. En se bombant, son torse avait déchiré sa chemise. Et, plus merveilleux encore, deux cornes meurtrières avaient poussé sur son crâne.

Au moment où les trois amis de l’homme avaient accouru dans la ruelle pour lui venir en aide, ce dernier avait déjà cessé de hurler.

Aurox l’avait laissé tomber dans les détritus et s’était placé entre prêtresse et ceux qui croyaient pouvoir lui faire du mal.

« C’est quoi, ce bor… ? avait lâché le premier en s’arrêtant brusquement.

— J’ai jamais vu un truc pareil ! » avait soufflé le deuxième.

Aurox avait déjà commencé à absorber la peur qui irradiait d’eux. Sa peau palpitait sous ce feu glacial.

« Hé, c’est des cornes ! Alors là, non ! Je dégage. »

Le troisième homme avait déjà fait demi-tour et il s’enfuyait en courant. Les deux autres s’étaient mis à reculer doucement, les yeux comme des soucoupes, sous le choc.Aurox avait regardé prêtresse.

« Quel est votre ordre ? »

Une partie lointaine de son esprit s’était étonnée du son de sa voix, devenue bestiale, gutturale

.« Leur douleur te rend plus fort, avait-elle remarqué, l’air ravi. Et différent, plus féroce. »

Elle avait regardé les deux hommes en repli, et sa lèvre supérieure s’était retroussée dans un rictus méprisant

.« Comme c’est intéressant… Tue-les ! »

Aurox s’était déplacé si rapidement que l’homme le plus proche n’avait eu aucune chance de lui échapper. Il l’avait encorné en pleine poitrine avant de le soulever de terre alors qu’il se contorsionnait en hurlant

.Cela avait encore augmenté sa puissance.

Il avait brusquement tourné la tête, et l’autre était allé s’écraser contre le mur ; puis il s’était effondré, désarticulé et silencieux, près de la première victime.

Le troisième ne s’était pas enfui. Ayant sorti un long couteau d’aspect redoutable, il avait chargé.

Aurox avait fait une feinte sur le côté et il lui avait écrasé le pied avec son sabot. Pendant que l’homme tombait en avant, il lui avait arraché le visage.

Haletant, il avait contemplé les cadavres de ses ennemis. Ensuite, il s’était tourné vers prêtresse.

« Très bien, avait-elle commenté d’une voix dénuée d’expression. Quittons les lieux avant l’arrivée de la police. »

Aurox l’avait suivie, la démarche lourde, ses sabots creusant des sillons dans la ruelle sale. Les poings serrés, il avait essayé de comprendre la tempête émotionnelle qui se déchaînait en lui et le privait de la force qui avait nourri sa frénésie sanguinaire.

Faible. Il se sentait faible. Mais pas seulement. Il y avait autre chose…

« Que se passe-t-il ? » avait-elle demandé sèchement en le voyant hésiter devant la portière de la voiture.

Il avait secoué la tête.

« Je ne sais pas. Je me sens… »

Elle avait ri.

« Tu ne te sens rien du tout ! Manifestement, tu réfléchis trop. Mon couteau ne ressent rien. Mon pistolet ne ressent rien. Tu es mon arme ; tu es là pour tuer. Accepte-le.

— Oui, prêtresse.»

Il était donc monté dans la voiture. Tandis que le monde défilait à toute vitesse sous ses yeux, il se répétait :

« Je ne pense pas, je ne ressens rien. Je suis une arme. »

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Erik jeta un coup d'oeil à sa montre. Il était 3h45. Une heure et un endroit assez étrange pour Marqué un gamin. Mais Charon lui avait dit que les pulsions du Traqueur n'avaient rien d'anormales - il fallait juste les suivre, laisser son instinct le guider, et tout irait pour le mieux. Mais quand même, il n'y avait pas âme qui vive et Erik commençait à paniquer quand il entendit un léger tap-tap-tap-tap. Face à lui une jeune fille apparut depuis le côté du complexe. Elle se déplaçait lentement dans sa direction. A chaque fois qu'elle passait sous un lampadaire, Erik l'étudiait. Elle était petite - menue avec des cheveux bruns. Tellement de cheveux, il y en avait tellement que cela le distraya pendant un moment, épais et brillants. Pendant un instant, il ne remarqua rien d'autre que cela - jusqu'à ce que le petit bruit lui vienne à nouveau aux oreilles. Elle tenait une longue cane blanche qu'elle agitait devant elle provocant le bruit. C'était donc grâce aux bruits et au touchait qu'elle arrivait à se guider. De temps à autre, elle marquerait l'arrêt et tousserait fortement, une toux grasse et probablement douloureuse.

Erik comprit deux chose à cet instant. Premièrement, c'était Shaylin Ruede, l'adolescente qu'il devait Marquée. Deuxièmement, elle était aveugle.

***

Dans une voix qui soudainement était emplie de magie et de mystère, Erik entama les mots vieux comme le monde qu'utilisaient les Traqueur?

- Shaylin Ruede! La Nuit t'as Choisis! Ta mort sera ta naissance! La Nuit t'appelle; écoute Sa douce voix. Ta destinée t'attend à La Maison de la Nuit.

La chaleur qui s'était répandue dans son estomac le rendant malade et confus s'échappa de ses mains moites. Il pouvait le voir de ses propres yeux! Cela s’abattit directement sur le front de Shaylin. Elle relâcha un surpris

-Oh! et s'effondra par terre.

Ok, il savait qu'il devait jouer les vampyres et s'évaporer dans la nature puis rentrer à La Maison de la Nuit, et laisser la novice en trouver le chemin elle-même. Charon lui avait expliqué que c'était la marche à suivre. Ou du moins c'était comme ça que l'on faisait dans le monde moderne.

Erik songea à disparaître. Il avait même commencé à reculer, puis Shaylin leva la tête. Elle était tombée juste en dessous d'un rayon de lumière ce qui donnait à son visage l'impression d'être illuminé. Elle était absolument parfaite! Ses lèvres pleines formant un sourire surpris et elle clignait comme pour éclaircir sa vision. Si elle n'avait pas été aveugle, Erik aurait juré qu'elle le fixait avec c'est immense yeux noirs. Sa peau était pale et sans défaut, et au milieu de son front sa nouvelle Marque semblait briller d'un magnifique écarlate. Écarlate?

Il prit l'ampleur de ce qu'il venait de se passer et commença à s'approcher d'elle :

- Attend, non. Ce n'est pas normal.

Au même moment Shaylin dit :

- Oh mon Dieu! Je peux voir!"

Erik se précipita vers elle et resta là complètement démunit, incertain sur ce qu'il devait faire, alors qu'elle reprenait ses esprit et se relevait. Elle tanguait un peu, mais clignait des yeux et regardait tout autour d'eux, avec un grand sourire qui s'étirait sur son joli visage.

- Je peux vraiment voir! Mon Dieu! C'est incroyable!"

- Ce n'est pas normal. J'ai foiré."

- Je m'en fiche que tu es foiré ou non

- Merci infiniment! Je vois!" Hurla-t-elle tout en l'enlaçant, riant et pleurant en même temps.

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« — Tu ne me fais pas confiance, petite A-ya…

Mon cœur se figea.

— Non, absolument pas. Et ne m’appelez plus comme ça. Je ne suis pas A-ya.

— Elle est en toi, je sens sa présence.

— Elle n’est qu’une petite partie de celle que je suis aujourd’hui, alors laissez tomber. Votre histoire avec elle est terminée.

— Peut-être apprendras-tu un jour que la vie est un cycle, et que les expériences passées reviennent au présent.

— L’espoir fait vivre, récitai-je d’un ton sentencieux.

Il s’esclaffa.

— Tu m’amuses toujours autant !

— Et vous, vous m’écœurez toujours autant. »

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(Zoey et Lucie)

-Nala est très douée pour ce genre de boulot.

-Le boulot ?

Lucie renifla et prit un mouchoir en papier.

-Thérapeute félin. Quand elle est en mode professionnel, j'aime la surnommer Docteur Nal.

-On doit la payer à l'heure ? demanda Lucie en câlinant Nala,qui avait enclenché le moteur à ronrons.

-Oui, avec des croquettes. Beaucoup de croquettes.

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(Zoey, Kramisha, Erin et Shaunee, parlant d'Aphrodite )

-Elle n'a pas l'air bien, dit Kramisha, assise derrière moi.

-Comment peux-tu en juger, à cette distance ? m'étonnai-je.

-Facile ! Elle a des chaussures plates et s'est fait une queue-de-cheval. Cette fille porte toujours des talons, et sa coiffure ressemble habituellement à celle de Barbie.

-Elle n'a même pas mit de gloss ! remarqua Erin. Mauvais signe.

-Si elle ne s'est pas maquillée les yeux, alors c'est officiel, les poules ont des dents, déclara Shaunee.

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es énormes sabots de Bonnie martelèrent la terre. Lenobia pouvait sentir les battements de coeur puissants de la jument. L'air tiède de la nuit poussa ses cheveux en arrière et la maitresse des chevaux se pencha encore plus en avant, encourageant Bonnie à se lacher - pour tout lui donner.

La jument répondit dans une explosion de vitesse qui n'aurait pas du être possible pour une créature qui pèse 1 tonne.

Alors que le vent sifflait autour d'elles, soulevant les longs cheveux argents de Lenobia en même temps que la crinière du Percheron dans cette danse magique qui associe le cheval et son cavalier, Lenobia pensa au proverbe ancien Perse qui dit: Le souffle du Paradis se trouve entre les oreilles d'un cheval.

- C'est ça! C'est exactement ça!" cria Lenobia, en se collant au dos de la jument accélérant.

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J'ai juste traduit:

En destinés, les forces de la Lumière et entrent en collision Dark que leur lutte épique se concentre sur la Chambre de Tulsa de la nuit. Zoey est la maison où elle appartient, coffre-fort avec ses Guardian Warrior, Stark, à côté d'elle et se prépare à affronter Neferet. Kalona a publié son emprise sur Rephaïm, et, par le don Nyx d'une forme humaine, lui et Stevie Rae sommes enfin en mesure d'être ensemble si Rephaïm peut vraiment marcher sur le chemin de la Déesse et séjourner sans l'ombre de son père.

Mais est-Zoey vraiment sûr? At-elle vraiment connaître ceux qui sont les plus proches d'elle? Et l'amour va gagner quand il est testé par l'âme des ténèbres? Découvrez ce que s destinées dans le prochain chapitre passionnant de la série House of Night.

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Puis le combattant déchu de Nyx ferma les yeux, baissa la tête et ajouta:

-Déesse, s'il te plaît. Ne le fais pas payer pour mes erreurs.

Une unique larme coula sur la joue de Kalona et tomba sur sa plaie au milieu du front de Rephaïm. Il y eut un éclair lumineux, si pur et brillant qu'un instant j'en fus aveuglée. Je clignais des paupières pour chasser les points qui avaient envahi mon champs de vision quand Rephaïm inspira à fond et ouvrit les yeux, l'air ahuri. L'entaille sur son front avait disparu. Kalona l'aida à s'asseoir, et Rephaïm lui sourit timidement.

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Extrait ajouté par Mushu 2014-04-27T17:19:11+02:00

Page 429

"Je ne dois pas entraver cela !" songea Aurox. Tout au fond de lui, son esprit lui soufflait d'attendre, d'observer, de ...

Soudain, la douleur explosa en lui. Les vrilles d'Obscurité, épaisses et poisseuses, s'abattirent sur son corps comme une toile d'araignée. Il en eut le souffle coupé. Sa peau se mit à les absorber, libérant la créature qui était tapie en lui, la réveillant. Incapable de s'y opposer, Aurox sentit que le taureau prenait le contrôle de son corps. Tout ce qu'il savait, c'était ce que Neferet lui avait ordonné : attaquer.

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Kalona se pencha et prit Rephaïm dans ses bras, l'allongeant sur ses genoux. Il le contempla pendant un très long moment, puis, d'une voix étranglée par l'émotion, dit :

- Rephaïm, tu es mon fils. Tu seras toujours mon fils. Pardonne moi ma colère et ma bêtise.

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