La Maison des hautes falaises

J'aime la plume de l'auteur, fluide et efficace pour dérouler la narration. Les personnages sont touchants et entiers. Leur lien à la nature tresse le scénario et nous donne envie de liberté. Bon moment de lecture.

J'avais beaucoup aimé la mémoire des embruns, celui ci m'a beaucoup moins emporté. Je l'ai trouvé trop lent, peu d'action peu d'intrigue bref pas le meilleur Karen Viggers que j'ai pu lire.

J'ai lu 2 livres de cette autrice que j'ai adoré !

Par contre, je n'ai pas accroché à celui-ci.

Je n'aime pas les romances et la romance prend trop de place dans l'histoire.

Le livre n'est pas mauvais, c'est juste que ce n'est pas mon style.

Deux vies marquées par un récent passé traumatisant vont osciller entre attirance et tension. Le récit se déroule sur les côtes australiennes fréquentées par les baleines. Je dois avouer que ce cadre ne suffit pas à compenser le manque de souffle apporté au texte par l'auteur.

Lecture où j'ai trouvé que la romance était pas très présente, ce que j'ai trouvé dommage comme les thèmes abordés ne sont pas très joyeuses.

Une lecture globalement satisfaisante. L'histoire débute lentement, prend son temps, peut-être un peu trop, avant de commencer à réellement captiver le lecteur. Cette lenteur est de retour dans les dernières dizaines de pages. "L'événement" final, Spoiler(cliquez pour révéler)à savoir le sauvetage de la baleine, est tout bonnement in.ter.mi.nable. Je me suis sentie lassée par la scène qui se déroulait au fil des pages, j'ai souhaité que cela s'achève au plus vite, et j'ai regretté l'engouement ressenti pendant la grande majorité de ma lecture. Bien sûr, l'auteure a probablement souhaité reproduire la lenteur de l'enchaînement des événements, dans les dernières pages, et si c'est le cas, cela a été fait à la perfection, mais...L'histoire a perdu son rythme, elle s'est arrêtée, figée sur cette plage, et la fin de ce roman m'a semblée lointaine, inaccessible. Oui, la fin La fin de cet ouvrage m'a déçue. Et je le déplore, parce que cette histoire est réellement intéressante. Les paysages sont fabuleux, et grâce aux descriptions faites par l'auteure, le lecteur peut facilement imaginer y évoluer, aux côtés des personnages. Les personnages, justement, sont intrigants. Chaque habitant possède une histoire intéressante, que j'ai aimé découvrir. Lex, le héros de l'ouvrage, est un homme calme qu'il est plaisant de voir évoluer, se reprendre en main, revivre. Le personnage féminin principal, Callista, me plaisait pendant la première moitié de l'ouvrage, et progressivement, elle a provoqué chez moi un certain agacement, de par son entêtement constant, son tempérament plutôt instable, ses crises à répétition à l'égard de Lex. Les personnages secondaires, tels que la vieille voisine de Lex, les deux petits enfants qui se sont rapidement attachés à lui, étaient intéressants à voir et revoir apparaître tout au long de l'histoire. Certains autres personnages étaient, quant à eux, plutôt fades, voire dépourvus d'intérêt.

Je suis donc mitigée, au terme de cette lecture. Le début et la fin ne m'ont guère séduire, mais le reste du roman fût agréable à lire et je trouve dommage qu'il n'en ait pas été de même pour l'intégralité de l'ouvrage.

Un roman avec une atmosphère particulière : vent, tempête, embruns. Et avec une histoire d'amour assez particulière aussi de par le passé et la personnalité de Lex et de Callista (dont je n'ai pas toujours compris les réactions). Mais au final, j'ai réellement apprécié cette lecture.

Tout m'a déçu, l'écriture, l'histoire, les descriptions, après la mémoire des embruns, celui ci est super décevant. Deux personnages à l'eau de rose

Scénario tournant en longueur et inconsistant

On s'ennuie très vite, on saute des lignes

On apprend beaucoup de choses sur les baleines mais ça reste du documentaire sans émotions dans ce roman

livre un peu lent, sans réel fil conducteur à mon sens. La lecture fut agréable mais pas prenante du tout !

J'avais lu et apprécié "La Mémoire des Embruns" l'été dernier et j'ai décidé de faire une deuxième fois confiance à Karen Viggers. Le contexte et le fond du livre se sont révélés très similaires à l'œuvre précédente. Le héros s'isole pour se retrouver lui-même, se reconstruire, tenter de refaire sa vie même si tout semble gâché et perdu. Je mentirais si je disais que je ne m'y attendais pas du tout. Il n'y a donc aucune impression de renouveau artistique si ce n'est l'apport de personnages différents. Le cadre et la situation initiale restent sensiblement identiques.

Je me permettrai également de relever que les baleines prennent une place un peu trop importante dans le roman. Oui, le lecteur est sensibilisé à la cause, mais il ne faut pas en faire trop. Et par moments, j'ai trouvé que c'était trop.

L'histoire reste cependant sympathique malgré quelques bémols. Les personnages secondaires ne sont pas là pour meubler le décor qui se suffit à lui-même : les falaises, l'océan, le silence.