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« - Arrête de me regarder comme ça.
- Comme quoi ?
- Comme si tu étais en train de me chasser. Je ne suis pas une antilope.»
Afficher en entier_Kelsey le fais est...que je suis amoureux de toi,et cela depuis un moment.
J'ai retenu mon souffle.Il m'a pris la main.
-Je n'ai pas envi que tu partes.
Il s'est mis a embrasser mes doigts en me regardentdroit dans les yeux.J'étais comme hypnotisée,il a sorti quelque chose de sa poche:une chaîne dorée couverte de minuscules clochettes.
-Je veux te donner ceci .C'est un bracelet de cheville.Il sont très populaire ici.Je l'ai choisi pour qu'on n'ait plus jamais à chercher de cloche.
Il s'est acroupi,a passé sa main derrière mon mollet et a fait glisser sa paume le long de ma jambe jusqu'à ma cheville.Il a attaché le fermoir.J'ai vacillé.Il s'est relevé et ma attirée conter lui.
-Kells...je t'en pris.
Il m'a embrassé la tempe,le front,la joue.Entre chaque baiser,il supliait:
-Je t'en pris...Je t'en pris...Je t'en pris.Dis-moi que tu vas rester avec moi.
Ses lèvre ont effleuré les miennes.
-J'ai besoin de toi
Afficher en entierNous nous approchâmes de la paroi rocheuse, et juste comme je l'enjambais, Ren sauta par-dessus la barrière à côté de moi.
- Ren! Tu m'as vraiment fait peur! Fait d'abord un bruit ou quelque chose, veux-tu?
Nous nous approchâmes de la petite cabane, et je m'armai de courage pour frapper à la petite porte, mais j'hésitai, jetant un coup d'œil vers Ren.
- Nous devons d'abord faire quelque chose à ton sujet.
Je retirai la corde jaune de mon sac à dos et je me dirigeai vers un arbre sur le côté de la cour. Ren me suivit en hésitant. je lui fis signe de s'approcher. Lorsqu'il fut finalement assez proche, je glissai la corde à travers son collier et j'attachai l'autre extrémité à un arbre. Il ne paraissait pas heureux.
- Je suis désolée, Ren, mais je ne peux pas te laisser libre. Cela ferait peur à la famille. Je promets que je serai de retour dès que je pourrai.
Je commençai à m'avancer vers la petite maison, mais je figeai alors sur place lorsque j'entendis une voix calme masculine derrière moi qui disait:
- Est-ce vraiment nécessaire?
Me détournant lentement, j'aperçus un beau jeune homme, debout juste derrière moi. Il avait l'air jeune, au début de la vingtaine. Il était plus grand que moi d'une tête et il avait un corps solide musclé et bien défini. Il était vêtu de vêtements amples en coton blanc. S chemise à manches longues était desserrée et négligemment boutonnée, révélant une poitrine lisse et bien bâtie au teint bronze doré. Ses pantalons légers étaient roulés au niveau des chevilles, mettant l'accent sur ses pieds nus. Des cheveux noirs luisants balayaient son visage et frisaient légèrement à la nuque.
Mais ce sont ses yeux qui me fascinaient le plus. C'étaient les yeux de mon tigre, du même bleu cobalt intense.
Tendant une main, il se mit à parler.
- Bonjour, Kelsey. C'est moi, Ren.
Afficher en entierIl parlait à voix basse en me désignant et elle regardait dans ma direction en gloussant. Elle s'est dépêchée de débarrasser. Il a sorti son portefeuille et lui a tendu une carte de crédit. Quand j'ai vu cette fille poser la main sur son bras, ç'a été plus fort que moi, je lui ai balancé un coup de pied sous la table. Il n'a même pas cillé. Il m'a prit la main et l'a caressée distraitement avec son pouce. Il confondait coup de pied et appel du pied, apparemment.
Afficher en entier« Je ne veux pas que tu vois seulement le tigre en moi quand tu me regardes. Je veux que tu me voies. L'homme. »
Afficher en entier« Le fait est que... Je suis amoureux de toi. Depuis quelques temps déjà. »
Afficher en entier« Il était comme une drogue, et j'ai fait ce que l'on fait habituellement avec les drogues. On les repousse aussi loin que possible. »
Afficher en entierJe bus avidement la bouteille d’eau et Ren laissa échapper un profond soupir.
— J’ai vécu beaucoup de choses dans ma vie, dit-il tranquillement. J’ai participé à des batailles sanglantes. J’ai été avec des amis lorsqu’ils ont été tués. J’ai vu des choses terribles causées à l’homme et à la bête, mais je n’ai jamais eu peur.
» J’ai été troublé. J’ai été aussi mal à l’aise et tendu. J’ai été en danger de mort, mais je n’ai jamais connu cette sorte de peur avec des sueurs froides, celle qui mange un homme vivant, le fait se mettre à genoux, et l’oblige à supplier. En fait, je me suis toujours enorgueilli d’être au-dessus de cela. Je pensais que j’avais si souffert en traversant et en voyant tant de choses que rien ne pouvait plus me faire peur. Que rien ne pouvait me mettre dans cet état.
Il posa un bref baiser sur mon cou.
— J’avais tort. Lorsque je t’ai trouvée et que j’ai vu cette… cette chose qui essayait de te tuer, j’étais fou furieux. Je l’ai détruite sans hésitation.
— Les kappas étaient terrifiants.
— Je n’avais pas peur des kappas. J’avais peur… de t’avoir perdue. J’ai ressenti une peur inextinguible, déchirante, corrosive. C’était insupportable. La partie la plus angoissante, c’était de prendre conscience que je n’avais pas envie de vivre si tu n’étais plus là, et de savoir que je ne pouvais rien faire à ce sujet. Que je serais coincé pour toujours sans toi dans cette misérable vie.
J’entendais chaque mot qu’il me disait. Ils me transperçaient, et je savais que j’aurais ressenti la même chose si j’avais été à sa place. Mais je me dis que sa déclaration sincère n’était qu’un reflet de la pression et de la tension que nous ressentions. La petite plante d’amour dans mon cœur s’accrochait à toute pensée vaporeuse, absorbant ses douces paroles comme des gouttes de rosée du matin. Mais je châtiai mon cœur et repoussai ailleurs les expressions tendres de son affection, déterminée à ne pas me laisser influencer par elles.
— Ce n’est pas grave. Je suis ici. Tu n’as plus besoin d’avoir peur. Je suis toujours là pour t’aider à conjurer la malédiction, dis-je en essayant de parler sans montrer mes émotions.
Il me serra par la taille.
— Conjurer la malédiction ne m’importait plus, murmura-t-il. Je croyais que tu étais morte.
Afficher en entierNormalement, je n'étais pas sujette au vertige mais : passage secret + escalier étroit + gouffre plongé dans le noir - rampe pour m'accrocher = grosse frayeur.
Afficher en entier— Avant même que tu dises quoi que ce soit, spécifiai-je, je crois que tu devrais savoir que je sais qui tu es. Et que je sais ce que tu es.
Il s’avança rapidement et franchit la distance qu’il y avait entre nous. Puis, il prit mon menton dans sa main, levant mon visage pour le scruter avec attention.
— Et qui ou quoi crois-tu que je suis, ma belle ?
Sa voix était très profonde, lisse et soyeuse comme du caramel chaud. Son accent était plus prononcé que celui de Ren et ses mots un peu hésitants, comme s’il n’avait pas utilisé sa voix depuis longtemps.
— Tu es le frère de Ren, celui qui l’a trahi et qui a volé sa fiancée.
Ses yeux se plissèrent, et mon estomac se noua.
Il fit claquer sa langue.
— Tch, tch, tch. Là, là. Où sont tes bonnes manières ?
Nous n’avons même pas encore été correctement présentés, et tu portes des accusations farfelues contre moi. Je m’appelle Kishan, le malheureux frère de l’autre.
Il souleva une mèche de mes cheveux et la frotta entre ses doigts avant d’incliner la tête.
— Je dois reconnaître que Ren réussit toujours à s’entourer de belles femmes.
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