Pour les métamorphes félins, l’amour n’est qu’une chimère, quand il n’est pas la pire des menaces.
Zacharia, étudiant vétérinaire, ignore tout du monde étrange qui se dissimule par-delà l’orée de la forêt. Il mène une vie tranquille dans la petite ville de Mistwick, où il tente de continuer à avancer après l’accident qui a coûté la vie à sa mère et l’a affublé d’un handicap aussi rare qu’encombrant. Jusqu’à cette nuit de printemps au cœur de laquelle résonne un appel irrésistible...
Incapable de lutter contre la force de cette attraction, le jeune homme traverse la ville sur la foi d’un cauchemar et d’une folle intuition. S’il ne parvient pas sur les lieux de son rêve à temps, un inconnu mourra. Un inconnu que Zacharia doit à tout prix sauver.
Rhys, quant à lui, a depuis longtemps renoncé à se laisser guider par sa nature de métamorphe. Il a bien trop peur de succomber, comme son frère avant lui, à la terrible malédiction qui entache sa lignée lorsque les lynx se livrent à leur bête. De plus, s’il est venu à Mistwick, ce n’est certainement pas pour se préoccuper de l’étudiant qui ne cesse de se fourrer dans ses griffes, si attirant soit-il. Sa mission est claire : se débarrasser pour de bon de la chasseresse qui le hante depuis des années.
Quand le chant qui le lie à Zacharia devient au moins aussi obsédant que sa vengeance, Rhys est bien obligé d’admettre que même les gros chats deviennent parfois la souris du destin. Reste à savoir qui de lui, de son compagnon humain ou de la chasseresse a le plus à perdre face à la malédiction des lynx.
Un peu court pour être vraiment développé...j'ai eu du mal à rentrer dans cette histoire fantasy. Les metamorphes, pour moi, c'est à petite dose-pourquoi pas-de temps en temps. Comme ce n'est pas mon style préféré, il faut que le tout soit vraiment bien ficelé et qu'au delà de la fantasy elle-même, la romance me transporte. Sauf que là, l'histoire va trop vite et le "lien" rend les choses presque trop faciles.
C'est une auteure que j'apprécie dans ses romances contemporaines mais qui, cette fois-ci, m'a moyennement convaincu.
Après un début pompeux où les mots m'ont embrouillé l'esprit et donner envie d'arrêter de lire ce livre j'ai eu l'impression qu'un autre personne prenait la suite de l'écriture c'était plus fluide et je l'ai fini. C'était plutôt mignon, différent des autres livres sur les metamorphes.
Un roman qui fait partie du même univers que la série "L'Appel du renard" de l'autrice. On y retrouve d'ailleurs deux personnages du tome 3 et on a davantage d'explications concernant le tueur du tome 1. Ce lien permet de donner plus de sens à l'histoire, sans pour autant perdre ceux qui n'ont pas lu la série.
Après les renards, nous voici donc en compagnie d'un lynx solitaire et d'un étudiant. Leur rencontre n'est pas banale ni simple. Leur relation les encore moins car bon - métamorphes, taanan, chasseuse psychopathe, rêves étranges, ... cela fait beaucoup à encaisser pour notre petit Zach. Et Rhys n'est pas des plus bavard. Sa situation et son passé ne l'aide pas vraiment à l'être non plus. Heureusement, l'humour est là pour alléger l'atmosphère.
Il est rare que j'apprécie quand il y a plus de narration que de dialogue car cela donne parfois des longueurs au texte. Mais avec Charly Reinhardt cela ne me gêne pas car c'est bien écrit et rythmé. Elle met beaucoup d'émotions dans ses mots et le style est entraînant. En revanche, le roman étant court (dans les 200 pages), l'histoire manque un peu de développement et les personnages d'approfondissements. La lecture n'en est pas moins agréable et on passe un bon petit moment.
Petite originalité concernant la "maladie" de Zacharia. C'est la première fois que je la vois dans un roman et je dois dire que c'est bien amené et expliqué.
Je dois dire que Charly Reinhardt m’a fait plaisir avec cette histoire. Doublement plaisir, même !
D’abord, j’adore les histoires de métamorphes de tous poils et en plus, en ce moment, je n’ai envie de lire que ça ! Donc premier plaisir validé et de belle manière, de celle de cette auteur qui n’est pas près d’être délogée de ma shortlist d’auteurs chouchous. Ai-je besoin de vous en énumérer les raisons ? Une plume talentueuse capable de faire le grand écart entre une histoire sombre ou doudou, un récit déjanté, en passant par des métamorphoses, des soldats et même des poulpes, c’est suffisant, non ? Je ne saurais d’ailleurs pas dire ce qui a ma préférence. Je me régale à chaque fois. Point.
Alors, même si j’aurais vraiment apprécié que l’histoire soit plus développée et les personnages encore plus approfondis, il n’en reste pas moins que j’ai dévoré ce récit (bon, j’aurais peut-être même aimé être dévorée par Rhys et Zacharia réunis, mais ça, c’est un autre sujet !!) L’univers est dessiné avec art et on savoure notre juste dose de péripéties et d’action, de sarcasmes et d’impertinence à la Charly, sans oublier les rebondissements et émotions en tous genres. Ah ! C’est sûr qu’on ne risque pas de s’ennuyer entre ces pages !! D’autant plus que les personnages secondaires sont intéressants et ne font pas dans la figuration comme nous a habitués cette auteure. Et cerise sur le gâteau, notre jeune apprenti vétérinaire est sujet à un mal méconnu, un trouble neurologique plutôt original dont je n’avais jamais entendu parler auparavant (et que je vous laisse découvrir pendant votre lecture... car vous allez le lire, n’est-ce pas ?)
Et mon deuxième plaisir, allez-vous me demander ? Est-ce que je vous en parle ou pas ?? Parce que, ça, c’était le kiff suprême, le truc en plus carrément jubilatoire, limite orgasmique ! Mais... je crois que je préfère vous laisser le découvrir, finalement...
Et la couverture ? On en parle ?? N'est-elle pas magnifique ? Le genre qu'on veut à tout prix avoir dans sa bibliothèque, non ? Le genre qui va intégrer MA bibliothèque, ça c'est une certitude !!
Il est vrai que j’aurais voulu un peu plus de pages et il est également vrai que cette histoire est très différente de celle de la meute des renards de Red Oak Hollow à bien des égards. Et pourtant il m’est impossible de dire que je ressors de ma lecture déçue. C’est même tout le contraire. Une fois plongée dans les aventures de Zacharia & Rhys, j’ai été complètement subjuguée. Plus j’en découvrais sur nos deux héros, plus j’en voulais en savoir encore plus ! Entre une plume si particulière que je kiffe grave, un univers toujours aussi fascinant, une intrigue rondement ficelée, des personnages parfaitement imparfaits et une bonne dose d’action, de tension, de rebondissements, de danger, d’humour, de passion et d’émotions vives, je me suis littéralement régalée ! Si vous cherchez un palpitant et phénoménal urban fantasy qui vous happe dès les premières pages pour ne plus vous lâcher et qui vous fasse vibrer tous les sens. Alors La malédiction du lynx est exactement ce qu’il vous faut ! Un sublime livre qui aura sa place dans ma bibliothèque papier… Enfin je terminerai avec une mention spéciale pour la couverture qui correspond parfaitement à l’histoire ♥
Résumé
Pour les métamorphes félins, l’amour n’est qu’une chimère, quand il n’est pas la pire des menaces.
Zacharia, étudiant vétérinaire, ignore tout du monde étrange qui se dissimule par-delà l’orée de la forêt. Il mène une vie tranquille dans la petite ville de Mistwick, où il tente de continuer à avancer après l’accident qui a coûté la vie à sa mère et l’a affublé d’un handicap aussi rare qu’encombrant. Jusqu’à cette nuit de printemps au cœur de laquelle résonne un appel irrésistible...
Incapable de lutter contre la force de cette attraction, le jeune homme traverse la ville sur la foi d’un cauchemar et d’une folle intuition. S’il ne parvient pas sur les lieux de son rêve à temps, un inconnu mourra. Un inconnu que Zacharia doit à tout prix sauver.
Rhys, quant à lui, a depuis longtemps renoncé à se laisser guider par sa nature de métamorphe. Il a bien trop peur de succomber, comme son frère avant lui, à la terrible malédiction qui entache sa lignée lorsque les lynx se livrent à leur bête. De plus, s’il est venu à Mistwick, ce n’est certainement pas pour se préoccuper de l’étudiant qui ne cesse de se fourrer dans ses griffes, si attirant soit-il. Sa mission est claire : se débarrasser pour de bon de la chasseresse qui le hante depuis des années.
Quand le chant qui le lie à Zacharia devient au moins aussi obsédant que sa vengeance, Rhys est bien obligé d’admettre que même les gros chats deviennent parfois la souris du destin. Reste à savoir qui de lui, de son compagnon humain ou de la chasseresse a le plus à perdre face à la malédiction des lynx.
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Source : Amazon.fr
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