Le jour est proche où cessera la Division qui est au cœur de la Création. Bientôt les forces de la Lumière et des Ténèbres se livreront leur ultime combat à l'E ndroit-qui-n'est-plus. D'ici quelques mois à peine, quelques semaines peut-être, la Sibylle procédera au choix qui décidera du sort de tout ce qui est, de tout ce qui fut, de tout ce qui aura jamais été. Mais Garion et ses amis n'ont pas réussi à localiser ce lieu paradoxal. Et Zandramas s'efforce de tuer l'un d'eux pour vaincre par défaut. Lequel mourra, comme l'a prédit la Sibylle ? Qui Garion désignera-t-il pour lui succéder, ainsi que le lui demanda la Voix de la Prophétie? Et ce Nouveau Dieu des Angaraks, dont la venue est annoncée dans le Livre des Cieux, sera-t-il un dieu d'amour ou à l'instar de Torak, le Dieu-Dragon, un dieu de haine ? Tant de dramatiques questions se posent encore. Quand le champion du mal perd la partie, les épopées prennent fin. La Belgariade s'est terminée avec la mort de Torak. Oui, mais s'il venait à ressusciter?
A cette question répond La Mallorée, deuxième volet d'un cycle immense qui est sans doute appelé à devenir la plus belle décalogie de toute l'histoire de la fantasy.
Et voilà, je referme ce 5ème tome qui signe la fin de la seconde grande série de David Eddings après La Belgariade. Petite préférence pour cette dernière pentalogie. La Mallorée est très bien écrite de bout en bout mais elle est plus sombre, moins "innocente" et je commençais à connaître les personnages récurrents par cœur donc c'était moins emballant.
Cela dit, c'était intéressant de suivre des personnages secondaires de la première série, devenus des personnages principaux dans La Mallorée. Zakath est mon préféré : ambiguë à souhait.
La saga ce termine sur ce tome est j'ai adoré.Spoiler(cliquez pour révéler)La mort de toth qu'on a vu,la douleur de cyradis et son hésitations face au choix.Les funérailles de Toth. J'ai aussi aimé qu'on voit la fin de nos personnges sur plusieurs chapitres et pas uniquement dans un épilogue tout de suite après le choix.
Cela va me manquer de lire les aventures de ces personnages mais j'ai hate de lire les préquelles.
La Mallorée... Comme la Belgariade, c'est l'une des séries qui a bercé mon adolescence, et de merveilleux souvenirs.
Cette récente relecture aura été parfois fastidieuse ; les personnages ne vieillissent pas, mais mon expérience de la fantasy s'est (un peu) accrue, et cela rend certaines intrigues vues et revues... Le style d'écriture a un peu vieilli aussi.
Et pourtant les deux derniers tomes m'ont de nouveau emportée, et j'ai dévoré la fin de ce cycle.
Elle occupe et occupera toujours une place particulière dans mon coeur, même si je ne sais pas si je la relirai de nouveau un jour. Trop de peur d'être déçue, et d'en gâcher le souvenir.
Les personnages, notamment Silk, Polgara ou encore Essaïon continuent à m'accompagner. Ils sont assurément la plus belle réussite de ce cycle.
Je le dis souvent mais je n'aime pas les fins de sagas. Je n'aime pas dire au revoir aux personnages que j'ai tant aimé. Et c'est le cas de cette série. L'histoire en elle-même est classique dans sa fin et on imagine bien ce qui pourrais suivre. Mais les personnages sont tellement bien écrits qu'ils nous donnent envie de rester avec eux encore un peu. Ce dernier tome est très bon. On nous offre des combats épiques, de l'humour, et de l'aventure. Une vraie saga, et un univers que l'on quitte à regrets.
Et voilà, c'est fini. C'est avec regret que j'ai reposé le livre dans ma bibliothèque, il y a cinq ans et les personnages m'ont manqué, j'avais passé trop de temps avec eux.
Les adieux, moi, ça me déchire.
Rien à redire de la fin, elle est fabuleuse.
Les héros doivent trouver ce fameux "lieu qui n'est plus", la Sibylle doit trancher...
Des évènements inattendus, des joies, des peines et personne n'est oublié dans la conclusion.
Personnellement, cette histoire m'a tellement prise, conquise, que quand j'ai eu fini le livre, il m'a fallu un certain temps pour revenir à la réalité.
Ensuite, tous les livres que je lisais étaient insipides, fades, sans goût.
un peu en dessous des autres opus, car si l'intrigue est bien amenée, tout est attendu (vive les prophéties) et l'effet de surprise n'est pas là, même pour tout ce qui n'a pas été révélé au départ. Cela dit, une saga très addictive, principalement grâce aux personnages qui sont hyper attachants et à la créativité de David Eddings .
C'est avec une grande tristesse que j'ai terminé la lecture du dernier tome de la saga. Autant le dire, pendant les dernières pages, j'ai de nombreuses fois eut les larmes aux yeux.
En quelque sorte, on peut dire que la boucle est bouclée. Même si j'aurai quelques difficultés à dire au revoir à tous ces personnages. Une chance que j'en retrouverai certains dans Belgarath le Sorcier et Polgara la Sorcière.
Spoiler(cliquez pour révéler)J'étais bien triste du sort de Toth, mais quelque part, je n'ai pas été très surprise, m'y attendant presque. Zandramas aura tenté de manipuler l'issue de la rencontre jusqu'à la fin. En revanche Spoiler(cliquez pour révéler)Beldin qui nous quitte comme ça, avec Vella, ça m'a bien fait verser une larme. C'est qu'on s'y était bien attaché, à ce sorcier fort peu courtois. Mais ils sont heureux tous les deux, alors c'est ce qui compte. Tous nos personnages finissent par trouver quelque chose, Spoiler(cliquez pour révéler)même Silk, aussi surprenant que ça soit, haha. Enfin, Tante Pol Spoiler(cliquez pour révéler)qui va enfin avoir sa propre famille, même si la nouvelle de jumeaux n'était pas surprenante ;) Et puis enfin Essaïon, dont l'ascension n'est pas du tout surprenante, voire bien prévisible.
Et je vais m'arrêter là, terminant simplement en disant que c'est une saga qui vaut le détour et lui nuit blanche et la conseille vivement à tous ceux qui hésitent.
Ma note est un peu en dessous des autres pour ce dernier opus car si l'intrigue est bien amenée, tout est attendu (vive les prophéties) et l'effet de surprise n'est pas là, même pour tout ce qui n'a pas été révélé au départ. Cela dit, j'ai adoré cette saga ! Elle est très addictive, principalement grâce aux personnages qui sont hyper attachants et à la créativité de David Eddings et sa capacité à nous embarquer dans son univers.
Résumé
Le jour est proche où cessera la Division qui est au cœur de la Création. Bientôt les forces de la Lumière et des Ténèbres se livreront leur ultime combat à l'E ndroit-qui-n'est-plus. D'ici quelques mois à peine, quelques semaines peut-être, la Sibylle procédera au choix qui décidera du sort de tout ce qui est, de tout ce qui fut, de tout ce qui aura jamais été. Mais Garion et ses amis n'ont pas réussi à localiser ce lieu paradoxal. Et Zandramas s'efforce de tuer l'un d'eux pour vaincre par défaut. Lequel mourra, comme l'a prédit la Sibylle ? Qui Garion désignera-t-il pour lui succéder, ainsi que le lui demanda la Voix de la Prophétie? Et ce Nouveau Dieu des Angaraks, dont la venue est annoncée dans le Livre des Cieux, sera-t-il un dieu d'amour ou à l'instar de Torak, le Dieu-Dragon, un dieu de haine ? Tant de dramatiques questions se posent encore. Quand le champion du mal perd la partie, les épopées prennent fin. La Belgariade s'est terminée avec la mort de Torak. Oui, mais s'il venait à ressusciter?
A cette question répond La Mallorée, deuxième volet d'un cycle immense qui est sans doute appelé à devenir la plus belle décalogie de toute l'histoire de la fantasy.
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