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On l'appelait la mare au Diable, car ses brumes, le soir, égaraient les voyageurs. Perdus à leur tour, Germain, Marie et le Petit Pierre sont forcés d'y passer la nuit. Le laboureur et la jeune fille ont le cœur triste. Germain va chercher une épouse pour s'occuper de ses enfants orphelins de leur mère. A quoi bon se marier, pense-t-il, quand l'amour n'y est pas. Et Marie a quitté sa mère, ce matin, en larmes, pour se louer comme bergère à la ferme des Ormeaux, si loin. Seul, Petit Pierre, le fils de Germain, est heureux et confiant. De lui dépendra le sort de ceux qu'il aime tant. Dédié à Chopin, ce bref roman champêtre a un charme inégalé. George Sand a vu le beau dans le simple. Elle chante, quelquefois en patois, les joies de l'amour, de l'enfance et du travail de la terre. Beaucoup d'amour et un peu d'idéalisme sont ses secrets.
L’auteur est parvenu avec brio à démontrer l’élégance de sa plume en très peu de pages. Le récit, bien que très simple, reste agréable à lire. Il y raconte l’histoire d’un paysan veuf, flirtant parfois (trop) avec l’objectification de la jeunesse. Il est nécessaire de prendre suffisamment de recul pour ne pas transposer la normalité de cette époque à la nôtre, ni idéaliser l’écart d’âge entre les protagonistes.
Le point positif majeur réside dans le soin qu’il apporte à décrire les morales, les coutumes et les traditions propres aux villages français de l’époque. Cela permet de mesurer l’évolution des mœurs et des mentalités dans notre société, chose plutôt appréciée.
Mon premier roman de George Sand. Quelle écriture poétique !
Cette histoire est très courte, et je n'y ai trouvé comme intérêt que la description majestueuse des paysages du Berry et le côté fantastique de la mare au diable qui permet une véritable introspection du protagoniste. L'intrigue amoureuse m'a laissée par contre totalement de marbre, surtout que la différence d'âge entre Germain et "la petite Marie" m'a un peu perturbée.
On s'attache au gentil paysan et au Berry. Il faut se plonger dans l'époque et ne pas oublier que c'est différent de maintenant, et puis en vrai même si c'est un peu malaisant cette histoire d'âge, ça reste très respectueux et bienveillant.
Ma première lecture d'un récit de George Sand, je la conseille en effet pour débuter !
Un roman qui reflète sans aucun doute la société de l’époque entre les nantis, les paysans et les pauvres.
Il s’agit bien ici il me semble de marquer les différences de classe. Pour le dire plus simplement : on ne mélange pas les torchons et les serviettes.
Au-delà de tout cela je n’ai pas trop compris l’aspect un peu fantastique que vient jouer la mare dans cette histoire. Elle ne pousse pas les deux protagonistes l’un vers l’autre. Elle permet simplement un huis clos qui n’était pas vraiment indispensable sauf pour l’introspection de Germain.
Cette fin était-elle possible à l’époque ? J’en doute !
Deux personnes qui s'aiment. Un homme qui est tout à fait respectable qui ne va emmener sa femme dans une déchéance de mauvais choix. Une lecture moins puissante que André que j'ai lu récemment mais qui était très agréable qui m'a détendu.
C'est toujours étrange d'admettre que l'on découvre un auteur classique mais je peux aujourd'hui dire que La Mare au diable est mon premier contact avec les textes de George Sand. Dans ce roman pastoral qui célèbre la vie rurale et les traditions champêtres, le lecteur suit l'histoire de Germain, un veuf avoisinant la trentaine qui cherche à se remarier - entre autres pour offrir une mère à ses pauvres enfants. Il est mis en lien avec une jeune femme qu'il s'apprête à rencontrer, et Marie, une jeune bergère de seize ans à peine, l'accompagne. Les quelques mésaventures qu'ils vont vivre dans le lieu baptisé la Mare au Diable vont alors éveiller un intérêt amoureux croissant chez Germain.
Dans l'idée, l'histoire est plutôt simple, voire mignonne. Mais l'attitude du narrateur vis-à-vis de Marie m'a franchement déplu. Il suffit que celle-ci se montre bonne avec son fils pour que Germain devienne subitement aveuglé par un amour aussi soudain qu'étouffant, Spoiler(cliquez pour révéler)au point qu'il tente presque d'embrasser la pauvre fille dans son sommeil. Au fil de l'intrigue, il exprime son désir de manière fichtrement insistante, cherchant à la convaincre qu'il serait un bon parti et n'ayant que faire des refus qui lui sont opposés. Il tente clairement de convaincre Marie d'envisager une relation pour laquelle elle ne semble pas prête. Son innocence, son jeune âge et la pression sociale rendent ce rapport de force d’autant plus déséquilibré. Il y a de quoi grincer des dents aujourd'hui.
Je conçois tout à fait que La Mare au diable puisse être un classique du roman pastoral, mais la romance mise en scène ici manque cruellement d'équilibre.
Je ne sais pas trop quoi en penser, autant j’étais vraiment happé par la première partie. Un veuf qui doit retrouver l’amour, il y avait quelques chose d’intéressant (même si, à notre époque, cette différence d’âge, n’est plus perçu de le même façon).
Au cours d’un voyage, il apprend à un peu plus découvrir Marie, qu’il connaît depuis toute petite Spoiler(cliquez pour révéler)mais commence à la voir d’un autre œil
Mais, je me suis un peu ennuyé à la seconde partie. C’était intéressant d’un point de vue historique et culturelle mais sans plus.
Roman très court, voire même plutôt une nouvelle car si on retire les annexes, l'histoire proprement écrite ne compte que 150 pages. C'est mon premier titre de cette autrice qui paraît plus célèbre à son époque pour ses frasques amoureuses que pour ses écrits. Bien que sa plume soit de qualité, je n'ai pas été énormément transportée par l'histoire . J'ai par contre beaucoup aimé apprendre les coutumes de cette époque et le patois des paysans, ça remonte trop loin pour que ça m'évoque des souvenirs, ces pratiques n'existant déjà plus dans mon enfance.
Je n'avais jamais lu du George Sand et je ne suis pas déçue du détour ! La mare au Diable est un livre court, rempli de belles choses, merveilleusement écrit et qui se lit si facilement que cela se fait en une journée.
Dès que je l'ai eu fini, j'ai enchaîné avec La Petite Fadette, où je retrouve tout ce que j'ai aimé dans la Mare au Diable !
Résumé
On l'appelait la mare au Diable, car ses brumes, le soir, égaraient les voyageurs. Perdus à leur tour, Germain, Marie et le Petit Pierre sont forcés d'y passer la nuit. Le laboureur et la jeune fille ont le cœur triste. Germain va chercher une épouse pour s'occuper de ses enfants orphelins de leur mère. A quoi bon se marier, pense-t-il, quand l'amour n'y est pas. Et Marie a quitté sa mère, ce matin, en larmes, pour se louer comme bergère à la ferme des Ormeaux, si loin. Seul, Petit Pierre, le fils de Germain, est heureux et confiant. De lui dépendra le sort de ceux qu'il aime tant. Dédié à Chopin, ce bref roman champêtre a un charme inégalé. George Sand a vu le beau dans le simple. Elle chante, quelquefois en patois, les joies de l'amour, de l'enfance et du travail de la terre. Beaucoup d'amour et un peu d'idéalisme sont ses secrets.
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