La Mélansire

J’ai trop aimé ce livre même si je suis un peu resté sur ma fin.

J’ai quand même énormément aimé le personnage d’Owen et son histoire.

Je n'ai pas du tout aimé, que ce soit l'écriture, les personnages ou le roman qui fait trop "scénario"... Franchement déçue alors que le résumé promettait quelque chose de totalement différent ! L'impression aussi que l'auteure n'a pas fini de peaufiner son scénario, ça fait très brouillon et c'est bourré d'incohérences. Et c'est dommage parce que l'univers et l'intrigue sont vraiment pas mal et ça aurait pu donner quelque chose de très intéressant et de très construit, malheureusement là ce n'est pas le cas ça semble vraiment bâclé (une histoire pareille en 200 pages en même temps évidemment c'est trop rapide...).

L'élément principal est quand même l'amour et les sentiments qui en découlent, et pourtant je n'ai pas du tout réussi à plonger dans le roman, à m'attacher aux personnages ni à ressentir la moindre émotion...

S’il y a une chose incontournable dans ce livre, c’est véritablement l’histoire incroyable et l’univers qui l’accompagne. Bien que l’histoire prenne de temps en temps des détours originaux par rapport zu contexte, je l’ai trouvé globalement originale. L’univers qui l’accompagne est assez puissant et on n’en croit pas nos yeux. Par sa plume, que je trouve excellente pour un premier roman, l’auteure nous permet de passer de sentiments en sentiments sans que l’on soit perdus dans notre lecture. Chaque élément peut engendrer des sentiments puissants qui nous emporte dans le livre, si bien.que l’on se perd complètement dans les pages, grâce à la puissance du réalisme de l’univers. De plus, je trouve que le message qui nous est transmis au fil des pages est vraiment important : en insistant sur l’importance de la vie et de l’amour dans notre monde, on se rend compte de son caractère essentiel.

L’autre point important, la chose qui fait toute la force de l’histoire et qui renforce le message transmis par l’auteur , ce sont ces personnages. D’un coté nous avons Avery, le personnage principal qui est vraiment attachante. Par son humanité et ses sentiments profonds mais biens transmis, elle rend l’histoire plus palpitante : chacune de ses rencontres prend de l’importance au fil de l’histoire et même si les relations qu’ils nouent sont parfois prévisibles, on ressent toute l’importance des sentiments dans ce roman. D’un autre coté, nous avons l’antagoniste (dont je ne divulguerais pas le nom, pas de panique) qui est également très bien travaillé. Même si son but peut paraitre un tout petit peu tiré par le cheveux, il fait dire qu’il est extrêmement bien travaillé : sa backstory est à l’image de tous les autres personnages : tragique. Si on peine à imaginer que celle-ci devait indéniablement se terminer de la manière dont le chant se targue, n parvient tout de même à ressentir sa douleur et à la comprendre, ou tout du moins l’imaginer un instant. Car la clé de cette histoire, celle qui relie tous les personnages entre eux, ce sont vraiment les sentiments que chacun nous porte et que nous portons à chacun.

J'avais hâte de le lire et pourtant j'ai arrêté, je n'arrive pas à me mettre dans l'histoire. Elle ne m'emballe pas, j'essayerais de continuer de lire ce livre plus tard et qui sait peut-être que j'adorerais, mais pour l'instant ce n'est pas le cas.

Un très bon livre qui est rapide à lire ! Un monde imaginaire bien pensé. J'ai beaucoup aimé les personnages

Livre avec un sujet qui change cependant le scénario reste basique et prévisible. Pour résumer, décevant mais se laisse lire facilement.

Un bon petit livre très court mais distrayant. On a envie d'en savoir plus. Un tome 2 ? Je ne pense pas mais j'aimerai bien lire d'autres romans de cette auteure.

J'ai lu certains commentaires et je suis pas du tout d'accord avec ceux qui pense que c'est un livre "à pognon", c'est un livre avec un aspect philosophique très intéressant, il parlent de fait réel dans le sens ou l'amour fait souffrir, mais l'amour reste tout de même une des essences de notre vie.

La plume de l'auteur est tout sauf professionnel mais c'est normal puisque c'est son premier roman, il faut donc la soutenir car Estelle Fitz a l'air pleine de ressource.

Il y a quand même quelques points négatifs comme le fait d'utiliser "lové" pour dire quelle se met confortablement dans un lit, c'est un terme un peu dérangeant dans un roman, ou le fait que le monde est pas assez exploité a mon gout, et enfin le fais que l'on ne s'attache pas totalement aux personnages car on a pas le temps des les apprécier comme il faut à cause la taille du roman.

Mais je voudrais quand même dire un grand Bravo Estelle Fitz pour son premier roman ^^

Je ne connaissais pas Estelle Fitz avant de tomber sur ce roman dans une librairie locale. Un simple coup d’oeil à la couverture et je savais qu’il finirait tout au sommet de ma PAL. Après avoir lu la quatrième, j’étais totalement subjugué à l’idée de me plonger dans une histoire atypique tant par le sujet abordé que par le monde qui nous est promis.

Cela fait des années que je ne n’avais pas lu un roman aussi …. mauvais. Il n’est plus question d’une critique subjective où certains vont aimer pour certaines raisons alors que d’autres n’apprécieront pas selon les mêmes arguments. Estelle Fitz parviendra, probablement, à satisfaire certains lecteurs – tous les goûts sont dans la nature – mais ces derniers ne pourront pas à côté de la médiocrité de l’écriture.

Le premier coup d’oeil est assez révélateur : un ouvrage très court à la police énorme. On sent l’arnaque à plein nez ! Les premières lignes confirment qu’il ne s’agit pas d’un ouvrage abouti. L’auteure nous donne l’impression d’utiliser la méthode privilégie du King (Stephen), à savoir écrire d’une traite tout ce qui passe par la tête à l’aide de phrases très courtes. Mais nous devons noter une différence avec Stephen King. Ce dernier effectue de nombreuses relectures, supprime énormément de texte et réalise un boulot monstrueux pour assurer la cohérence de son histoire, d’un chapitre à l’autre, d’une page à l’autre, d’un mot à l’autre.

Estelle Fitz nous propose ainsi une succession de phrases simples (Sujet / verbe / complément) d’une froideur extrême. Il n’y a aucune âme dans le texte qui se montre bien trop impersonnel à mon goût. On ressent un réel manque de vécu dans cet histoire à laquelle il est impossible de s’identifier de près ou de loin.

Alors que l’on pourrait croire s’aventurer dans un roman de Fantasy, nous sommes très loin du compte. Alors oui, si l’on prend la définition du dictionnaire, il s’agit bien d’un roman appartenant à ce genre. Dans les faits, il s’agit plutôt d’un ouvrage qui se sert d’un univers bien particulier (très atypique pour l’occasion) pour traiter d’un sujet bien particulier. La Mélansire devient alors un ouvrage qui « psychanalise » un sujet particulièrement dépressif et s’il avait été classé dans ce registre, il y aurait trouvé sa place.

Trois mots pour résumer ce premier roman d’Estelle Fitz.

Une idée intéressante.

Ensuite vient le néant.

Je ne connaissais pas Estelle Fitz, je l’ai découvert lorsque j’ai vu la sortie de son roman sur l’instagram d’Albin Michel. J’ai trouvé la couverture vraiment belle donc je me suis intéressée à ce roman. Je dois dire que j’ai bien aimé, l’histoire est originale et sympathique. C’est assez bien écrit même si pas forcément exceptionnel. Ça se dévore quand même très facilement. Avery est une fille assez désespérée, elle s’est fait quitter par son petit ami, elle est seule car elle n’a pas connue sa mère et son père est décédé. Elle se fait suivre pour essayer de se faire aider mais elle sent que rien ne marche. Elle doit faire son deuil de toutes ces personnes mais elle n’y arrive pas. Elle se fera manipulée et pousser à sauter de ce pont pour arriver chez les Mélansires. Je dois dire que ce monde est vraiment bien imaginé, Estelle Fitz a su crée quelque chose d’intéressant mais elle n’a pas été assez au bout de ses personnages, son style reste simple même si efficace pour nous faire continuer notre lecture. On sent bien que c’est un premier roman, il y a pas mal de défauts. Le but de ses Mélansires : anéantir tout l’amour, mais est-ce possible de vivre sans ? Avery arrive à faire la part des choses et à se rendre compte que ça ne l’est pas. La fin est beaucoup trop rapide je trouve, les choses sont trop simples et l’héroïne même si elle est forte est assez casse pied et nous énerve beaucoup. Au final, je m’attendais à un roman plus complet mais il est très court (écrit avec une police grosse) et c’est dommage il aurait mérité de le détailler beaucoup plus.

En résumé, La Mélansire, premier roman de Estelle Fitz, est un roman à découvrir avec son scénario très originale, elle a su créer une atmosphère particulière pour une héroïne forte et intéressante. Il n’est pas exceptionnel mais il faut être tolérant pour un premier roman.