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Liste des extraits

(Patrick et Frankie)

— Je suis content que tu l’aies compris. Alors on est d’accord.

— Tu n’as rien à faire ici, dit-elle en posant une main sur son visage et en le repoussant. Je me demande pourquoi je t’ai laissé me dessiner.

— Ce n’était que justice, gloussa-t-il en lui attrapant la main. Vu que tu as commencé une sculpture de ma tête.

Il l’avait vue sous un des bancs.

— Comment peux-tu le savoir ? demanda-t-elle en plissant les yeux.

— C’est mon petit doigt qui me l’a dit.

— Puisque les petits doigts ne parlent pas, je dois en conclure que tu mens.

— Mais, Frankie, c’est juste une expression, merde !

— Peut-être que c’est juste une expression mais c’est idiot.

— Tu veux me rendre fou, c’est ça ?

— Tu te plains ?

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(Frankie et Patrick)

— Je vais aller avec Trey, Ryan et Dominic vérifier un endroit qui pourrait être le refuge de Morelli, si on en croit la rumeur. On a reçu beaucoup de tuyaux depuis qu’on a mis sa tête à prix mais rien d’intéressant jusqu’à maintenant. Il s’est trouvé une bonne planque, manifestement. Mais il ne pourra pas toujours rester caché. Et puis on n’a pas dit notre dernier mot.

— Quoi, votre dernier mot ? C’est quoi cette histoire de dernier mot ? demanda Frankie, visiblement perplexe. Pourquoi est-ce que vous diriez votre dernier mot ?

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- J'ai ajouté mon numéro à tes contacts, expliqua-t-il avant d'appeler son propre téléphone avec celui de Frankie. Comme ça, j'ai ton numéro aussi.

- tu ne penses pas que tu devrais demander la permission avant de faire un truc pareil ?

- Est-ce que tu m'aurais donné ton numéro si je te l'avais demandé ?

- Bien sûr ! C'est le 911. A ne composer qu'en cas d'urgence.

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-Ton plat préféré?

-Le chocolat.

-Ton film préféré?

-Les grands frères.

-Quelle position préfères-tu au lit?

-Il y en a trop, je ne peux pas choisir, observa Frankie en esquissant un sourire.

-Tu me plais bien ! s'exclama Iris en s'esclaffant d'un rire rauque. Personnellement, j'ai toujours eu une préférence pour l'andromaque.

-Maman ! cria Lydia.

-Mais mon compagnon aimait bien les ciseaux...

-Maman arrête, je t'en supplie !

-Lydia, ma chérie, lança Iris en adressant un regard impatient àà sa fille, ce n'est pas comme si tu venais de découvrir le sexe.

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- Ta copine n'est pas avec toi ? Ironisa Drake en voyant entrer Patrick. Dommage, elle me plaît bien, dit-il, l'air sincère.

- Elle t'a cassé le nez, lui rappela Patrick.

- Et elle m'a presque enfoncé le crâne avec son marteau. C'est une vraie guerrière. ça me plaît.

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- Je pense que tu as demandé un jour à un génie de te transformer en con et il l'a pris au sens figuré, dit-elle en posant une main sur la sienne, avant de sortir les griffes et de les lui enfoncer jusqu'aux os.

Les yeux lui sortirent de la tête et il poussa un cri de douleur. La louve de Frankie en fut ravie.

- Pourquoi l'ours noir a-t-il traversé la rue ? demanda-t-elle en lui adressant un sourire moqueur. Parce qu'une louve voulait lui faire une gâterie avec un taille crayon électrique.

- Connasse !

- Je me vois plus comme une hémorroïde. Je suis très douée pour irriter les trouducs de ton espèce. Regarde, tu bous pratiquement de colère, dit-elle en rentrant les griffes pour le libérer.

- T'es folle ou quoi ? lança-t-il en tenant sa main blessée.

- Ça dépend des jours.

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- Je sais ce que tu ressens. C'est écrit sur ton visage.

- Alors dis-le moi, lâcha-t-elle en se hérissant un peu.

- Tu es complètement, totalement et follement amoureuse de moi, tellement que tu as tout le temps envie de pleurer et que tu remercies le destin de m'avoir envoyé et de t'avoir capturé dans mes filets pour faire de toi mon esclave sexuelle.

- Ouais, c'est tout à fait cela, dit-elle gravement en retenant un sourire. C'est exactement ce que je ressens.

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Même une femme forte comme toi a besoin de s'appuyer sur son homme de temps à autre.

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Et cette fois elle pleura. Il la serra tout contre lui et lui murmura des paroles réconfortantes tout en l'embrassant tendrement sur le visage et sur les cheveux. Quand elle eut versé toutes les larmes de son corps, elle s'endormit dans ses bras. Il l'etreignit plus fermement encore et veilla sur son sommeil.

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Frankie dormait quand Patrick regagna leur chambre quelques heures plus tard. Elle avait l'air si jeune, songea-t-il, surtout avec sa main glissée sous son menton et son air paisible, comme si le sommeil avait balayé tous ses soucis.

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