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Extrait ajouté par anonyme 2019-09-01T13:51:45+02:00

Tout au fond, ils aperçurent une forme qui ressemblait assez à un tas de vieux chiffons. Cependant, quand le faisceau lumineux de la lampe se posa dessus, ils distinguèrent une chose blanche qui en émergeait… une main !… une main d’homme. Il y avait là un cadavre en guise de vieux chiffons… La dépouille gisait, étrangement recroquevillée, tout au fond du trou obscur et Hannibal remarqua ses yeux sans vie et sa chevelure emmêlée et poussiéreuse.

« Mort ! hurla Doris. Il est… C’est un mort ! Un mort !

— Taisez-vous ! » jeta Thrugon d’un ton sec en la secouant.

Doris avala sa salive et se tint tranquille.

« Allez, les gosses ! Filez ! ordonna encore Thrugon. Oui… tous les quatre ! Vite ! »

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Extrait ajouté par anonyme 2019-09-01T13:51:06+02:00

— Je sais à quoi tu penses ! dit Peter. Tu veux explorer cette mine. Eh bien, libre à toi de courir au-devant des ennuis. Bonne chance, ma vieille ! »

Hannibal, brusquement immobile, se remémorait le son étouffé du coup de feu dans la nuit… un son qui pouvait fort bien provenir d’une galerie de la mine…

« Bande d’empaillés ! pesta Doris. Très bien ! Restez ici et oubliez le mystère ! »

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Extrait ajouté par anonyme 2019-09-01T13:50:08+02:00

Il se tourna sur le côté et éteignit la lampe de chevet.

Le clair de lune, passant par les fenêtres ouvertes, pavait de grands carrés argentés le plancher de la pièce obscure.

Hannibal ferma les yeux et s’endormit aussitôt. Il dormait d’un profond sommeil quand il fut subitement réveillé par un bruit venu de l’extérieur… une sorte de grondement étouffé que l’écho propageait et qui allait mourir au loin.

Immédiatement lucide, Hannibal se dressa sur son lit. Tous les sens en alerte, il attendit l’éventuelle répétition du bruit.

Dans le lit voisin, Peter marmonna, sans ouvrir les yeux :

« Magdalena… elle doit tirer sur le chien…

— Non ! »

Hannibal sauta de sa couche pour s’approcher de la fenêtre.

« Non ! répéta-t-il. On aurait dit un coup de fusil mais ce n’était pas Magdalena. Le bruit était trop lointain ! »

Hannibal laissa son regard courir au-delà des champs de sapins… À sa droite, il pouvait voir la maison de Mme Macomber et les masures à l’abandon qui composaient son petit domaine. Juste devant lui, la propriété de Wesley Thrugon était nettement visible sur le flanc de la montagne. Garé tout près de l’entrée de la mine, se trouvait un petit camion de forme cubique. Une ombre bougea à proximité de la maison de Thrugon et le chien de garde, tirant tant qu’il pouvait sur sa chaîne, leva la tête et se mit à hurler.

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Extrait ajouté par anonyme 2019-09-01T13:48:01+02:00

« L’entrée de la Mine de la Mort ! annonça l’oncle Harry. La maisonnette que vous voyez tout près est celle qu’habite Wesley Thrugon. Il possède également la grande construction qui s’élève derrière et qui faisait autrefois partie des dépendances de la mine. »

L’oncle Harry franchit la grille et engagea la voiture dans une allée étroite et pleine d’ornières.

Des rangées de petits arbres de Noël s’alignaient de part et d’autre de cette allée.

Puis ils passèrent devant un enclos où la jument personnelle de Doris, Sterling, broutait en compagnie de trois autres chevaux. Un peu plus loin, au milieu d’une sorte de clairière artificielle, se dressait la ferme proprement dite.

Rouge et blanche, elle avait un petit air pimpant, que mettait encore en relief une vieille grange en très mauvais état qui voisinait avec elle.

L’oncle Harry arrêta la voiture devant la maison de maître, bâilla et s’étira.

« Ouf ! dit-il. Il fait bon se retrouver chez soi ! »

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Extrait ajouté par anonyme 2019-09-01T13:47:11+02:00

L’oncle Harry grommela quelques mots indistincts puis freina carrément pour s’arrêter au bord de la route. Après quoi, il se tourna vers les garçons.

« Je sais que vous êtes des détectives amateurs, commença-t-il, mais il ne faut pas que vous importuniez Wesley Thrugon. Il est mon voisin et je ne veux pas d’histoire avec mes voisins ! Thrugon a d’excellents antécédents. Il a acquis une grosse fortune puis il est revenu s’installer à Twin Lakes parce que c’est là qu’il est né, juste avant que la mine d’argent ne ferme. Sa famille quitta le pays peu après. Il m’a raconté que son enfance avait été bercée par des histoires de l’époque de prospérité de Twin Lakes Et s’il a acheté la Mine de la Mort, c’est parce que son père y travaillait jadis. Mais si vous voulez mon avis, c’est loin d’être une excellente acquisition !

— Peux-tu expliquer pourquoi il a rouvert la mine ? demanda brusquement Doris.

— Cela ne nous regarde pas, en tout cas, répliqua son oncle. Et s’il l’a rouverte, ce n’est sûrement pas pour que des gosses indiscrets aillent rôder autour, au risque de se blesser.

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Extrait ajouté par anonyme 2019-09-01T13:46:36+02:00

— Le point d’interrogation est universellement considéré comme le symbole de l’inconnu, du mystère, expliqua le chef des détectives. Et les trois que vous voyez ici représentent notre trio. Ils sont en quelque sorte notre image de marque. Notre spécialité est de déchiffrer les énigmes, de résoudre les problèmes et d’éclaircir les mystères que le hasard place sur notre route.

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Extrait ajouté par anonyme 2019-09-01T13:46:04+02:00

« Ce type-là mijote quelque chose ! affirma-t-elle. J’ai l’impression qu’il joue la comédie. Pour commencer, il est né à Twin Lakes !

— C’est un crime, à tes yeux ? demanda Bob, intrigué.

— Non, bien sûr, mais je trouve curieux qu’un homme qui est né dans une ville, qui l’a quittée quand il était encore presque un bébé, y revienne millionnaire, bien des années plus tard, et proclame à qui veut l’entendre qu’il est ravi d’être de retour au pays ! Surtout quand cet homme a l’air aussi sentimental qu’un serpent à sonnettes. Et puis, je trouve bizarre qu’il ait rouvert la mine ! L’entrée en était défendue par une grille en fer qu’il a abattue. Et puis il a acheté un chien de garde féroce pour empêcher les curieux d’approcher. Qu’y a-t-il donc à garder dans une mine aux filons épuisés ? L’individu en question s’affuble d’un jean tout neuf et d’un casque de terrassier ou de maçon ! Ce déguisement tranche avec l’allure du personnage. Si vous pouviez admirer ses ongles manucurés ! »

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Extrait ajouté par anonyme 2019-09-01T13:45:26+02:00

Les trois amis se trouvaient dans la vieille caravane déglinguée qui leur servait de repaire secret. Le véhicule, relégué dans un coin du bric-à-brac des Jones, le Paradis de la Brocante, disparaissait entièrement sous une montagne de meubles disloqués et de ferraille.

L’immense dépôt était encombré de toutes les vieilleries possibles et imaginables. On y trouvait des épaves provenant de maisons en ruine ou incendiées : cadrans solaires, baignoires d’un autre siècle, cadres de fenêtres, vitraux en plus ou moins bon état… L’oncle et la tante d’Hannibal, qui passaient leur temps à trier, classer, restaurer et ranger leurs achats hétéroclites, avaient depuis belle lurette oublié jusqu’à l’existence de la caravane. Aussi les détectives en avaient-ils fait leur Q.G., meublé d’un vieux bureau, de chaises et aussi d’un classeur où Bob conservait avec soin ses notes manuscrites.

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