Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 833
Membres
1 008 460

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par fetnat 2011-01-03T19:26:36+01:00

LES COQUILLAGES DE M. CHABRE

"M. Chabre fit un pas à gauche et poussa un cri. Il venait de s'enfoncer jusqu'au cou, son nœud de cravate se noyait.

Hector, tout à l'aise, lâcha son aveu.

- Je vous aime, madame...

- Taisez-vous, monsieur, je vous l'ordonne.

- Je vous aime, je vous adore... Jusqu'à présent, le respect m'a fermé la bouche...

Il ne la regardait pas, il continuait ses longues enjambées, avec de l'eau jusqu'à la poitrine. Elle ne put retenir un grand rire, tant la situation lui sembla drôle.

- Allons, taisez-vous, reprit-elle maternellement, en lui donnant une claque sur l'épaule. Soyez sage et ne versez pas surtout !

Afficher en entier
Extrait ajouté par YesAgainOneMorePage 2018-03-11T13:01:51+01:00

« Je vous aime, madame...

-Taisez-vous, monsieur, je vous l'ordonne.

-Je vous aime, je vous adore... Jusqu'à présent, le respect m'a fermé la bouche... »

[Les coquillages de M Chabre]

Afficher en entier
Extrait ajouté par YesAgainOneMorePage 2018-03-11T13:00:50+01:00

Spoiler(cliquez pour révéler)« Nantas appuya le canon sur sa tempe. Mais la porte s'était violemment ouverte, et Flavie entra. D'un geste, elle détourna le coup, la balle alla s'enfoncer dans le plafond. Tout deux se regardaient. Elle était essoufflée, si étranglée, qu'elle ne pouvait parlait. Enfin, tutoyant Nantas pour la première fois, elle trouva les mots qu'il attendait, le seul mot qui pût le décider à vivre :

-Je t'aime ! Cria-telle à son cou, sanglotante, arrachant cet aveu à son orgueil, à tout son être dompté, je t'aime parce que tu es fort. »

[Nantas]

Afficher en entier
Extrait ajouté par YesAgainOneMorePage 2018-03-11T12:59:58+01:00

« Un soir déjà, à cette place, il avait voulu se casser la tête ; il était trop pauvre alors pour acheter un pistolet, il n'avait que le pavé de la rue, mais la mort était quand même au bout. Ainsi dans l’existence, il n'y avait donc que la mort qui ne trompât pas, qui se montrât toujours sûre et toujours prête. Il ne connaissait qu'elle de solide, il avait beau chercher, tout s'était effondré sous lui, la mort seule restait une certitude. »

[Nantas]

Afficher en entier
Extrait ajouté par YesAgainOneMorePage 2018-03-11T12:59:32+01:00

« Chaque fois qu'il montait plus haut, il consultait le visage de Flavie. Est-ce qu'elle était touchée enfin ? Est-ce qu'elle lui pardonnait son ancienne infamie ? Pour ne plus voir que le développement de son intelligence ? Et il ne surprenait toujours aucune émotion sur le visage muet de cette femme, et il se disait, en se remettent au travail : « Allons ! Je ne suis point assez haut pour elle, il faut monter encore, monter sans cesse. » »

[Nantas]

Afficher en entier
Extrait ajouté par YesAgainOneMorePage 2018-03-11T12:58:34+01:00

« Je vois bien que vous me méprisez toujours. Eh bien ! Attendez, ne donnez votre amour à personne. Je vous promet de si grande choses, que je saurais vous faire fléchir. Il faut me pardonner, si j'ai été brutal tout à l'heure. Je n'ai plus la tête à moi... Oh ! Laissez-moi espérer que vous m'aimerez un jour ! »

[Nantas]

Afficher en entier
Extrait ajouté par YesAgainOneMorePage 2018-03-11T12:58:08+01:00

« Il avait tout, et il ne voulais que Flavie. Si Flavie se refusait, il n'avait rien. »

[Nantas]

Afficher en entier
Extrait ajouté par YesAgainOneMorePage 2018-03-11T12:57:24+01:00

« Je vous aime, Flavie, je vous aime comme un fou... Cela est venu je ne sais comment. Il y a des années déjà. Et peu à peu cela m'a pris tout entier. Oh ! J'ai lutté, je trouvais cette passion indigne de moi, je me rappelai notre premier entretien... Mais, aujourd'hui je souffre trop, il faut que je vous parle... »

[Nantas]

Afficher en entier
Extrait ajouté par YesAgainOneMorePage 2018-03-11T12:56:28+01:00

« La mort ne m’effraie plus ; mais elle ne semble pas vouloir de moi, à présent que je n'ai aucune raison de vivre, et je crains qu'elle ne m'oublie. »

[La mort d'Olivier Bécaille]

Afficher en entier
Extrait ajouté par YesAgainOneMorePage 2018-03-11T12:55:51+01:00

« Ah, comme je désirais la mort, à cette heure ! Toute ma vie, j'avais tremblé devant le néant ; et je le voulais, je le réclamait, jamais il ne serait assez noir. Quel enfantillage que de redouter ce sommeil sans rêve ; cette éternité de silence et de ténèbres ! La mort n'était bonne que parce qu'elle supprimais tout l'être d'un coup, pour toujours. »

[La mort d'Olivier Bécaille]

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode