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Roy Grace, Tome 5 : La Mort n'attend pas



Description ajoutée par Lilinie 2011-02-06T15:53:32+01:00

Résumé

Le corps d'un adolescent est repêché dans la Manche. Il porte une incision allant du cou à l'abdomen. Et derrière, un trou béant, plus aucun organe… Le commissaire Roy Grace, appelé sur les lieux, se voit confier l'enquête. Des fouilles plus approfondies vont mettre au jour deux autres victimes. Une fille et un garçon, présentant cette même cicatrice… A Bucarest, des enfants de la rue se voient proposer un avenir meilleur en Angleterre, par une généreuse bienfaitrice. Mais les intérêts qui animent cette femme sont-ils vraiment aussi charitables que ce qu'elle veut bien dire ? Dans le même temps, à Brighton, une jeune fille de 15 ans attend une greffe de foie. Ses médecins ne lui donnent guère plus de quelque mois à vivre. Seulement, les listes d'attente sont longues, son groupe sanguin rare et les chances de trouver un donneur plus que minces. Pour sa mère, pas question de regarder mourir sa fille. Elle est prête à tout pour éviter cela, même si cela implique de plonger dans l'illégalité… Pour certains de ces enfants il est déjà trop tard, pour d'autres pas encore… Mais il faut faire vite, car la mort n'attend pas !

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Classement en biblio - 131 lecteurs

extrait

Susan détestait cette moto. Elle répétait sans cesse à Nat qu’il allait y laisser sa peau, que ces engins étaient les plus dangereux du monde. Nat aimait bien la taquiner en lui rappelant que, statistiquement parlant, elle avait tort. L’activité la plus risquée consistait tout bêtement à rester dans sa cuisine. En tant que chef de clinique, il en avait la preuve tous les jours. Il y avait bien sûr de graves accidents de moto, mais ce n’était rien comparé à ceux qui avaient lieu dans les cuisines.

Certains s’électrocutaient en fourrant une fourchette dans leur grille-pain, d’autres cassaient leur pipe en tombant d’un tabouret, s’étouffaient, ou mouraient d’une intoxication alimentaire. Il aimait bien raconter l’histoire d’un de ses patients, à l’hôpital royal du Sussex, où il travaillait jour et nuit – littéralement –, qui s’était enfoncé un couteau dans l’oeil en voulant débloquer son lave-vaisselle.

« Les deux-roues, c’est pas dangereux, aimait-il à lui répéter, pas même ma grosse Honda Fireblade rouge » (qui pouvait atteindre les 90 km/h en trois secondes). Le problème, c’était les autres conducteurs. Il suffisait d’être attentif à leur comportement. Et sa Fireblade polluait dix fois moins que sa vieille Audi TT…

Mais elle ne l’écoutait pas.

Pas plus que lorsqu’il râlait de devoir passer Noël, qui n’était plus que dans cinq semaines à présent, chez les desperados, comme il appelait ses beaux-parents. Sa mère – paix à son âme – avait mille fois raison : on ne choisit pas sa famille.

Il avait lu quelque part que lorsqu’un homme se marie, il espère que sa femme ne changera jamais, mais lorsqu’une femme se marie, son objectif, c’est de changer son homme.

Susan, qui s’y employait à merveille, avait dégainé l’arme fatale de l’arsenal féminin : six mois de grossesse. Bien sûr qu’il était fier comme Artaban. Mais conscient qu’il allait bientôt devoir prendre ses responsabilités. La Fireblade allait céder la place à un véhicule plus pratique. Un break ou un monospace. Et, pour satisfaire aux exigences écologiques de Susan, sans doute une voiture hybride diesel-électrique. Mon Dieu… Peut-on imaginer plus excitant ?

Il était 8 h 11 selon l’horloge de la télévision, 8 h 09 à sa montre. Il était rentré chez lui, dans leur modeste cottage de Rodmell, à quelques kilomètres de Brighton, au petit matin. Assis à la table de la cuisine, il regardait les infos – un attentat suicide en Afghanistan. Il avait l’impression que c’était le milieu de la nuit. Il avala quelques cuillerées de Golden Grahams, les accompagna d’un verre de jus d’orange et d’une tasse de café, puis monta embrasser Susan, en posant une main sur son ventre rebondi.

— Sois prudent sur la route, dit-elle.

Non non, je vais rouler comme un fou… faillit-il répondre. Mais il s’abstint et se contenta d’un simple « je t’aime ».

— Moi aussi. Appelle-moi dans la journée.

Nat déposa un second baiser sur ses lèvres, redescendit, puis enfila son casque et ses gants en cuir et sortit, dans le matin glacial. Le jour se levait quand il poussa sa lourde cylindrée, laissant la porte battante du garage se refermer bruyamment derrière lui. Le sol était gelé, mais il n’avait pas plu depuis plusieurs jours, la chaussée ne serait donc pas verglacée.

Il leva la tête vers la fenêtre de la chambre et démarra sa chère moto, pour la dernière fois de sa vie.

2

Le docteur Ross Hunter est l’une des rares constantes de ma vie, songea Lynn Beckett en sonnant à la porte de son cabinet. Elle aurait eu du mal à en citer d’autres. Ah si ! L’échec. L’échec était bel et bien une constante dans son existence. Pour ça, elle était douée. Championne du monde, même.

Les trente-sept années de sa vie n’avaient été qu’une succession de désastres. À sept ans, elle s’était coupé un petit bout d’index dans une portière, et depuis, elle était tombée de Charybde en Scylla. Enfant, elle avait déçu ses parents ; mariée, elle avait déçu son époux ; mère célibataire, elle décevait sa fille, adolescente.

Le cabinet se trouvait dans une grande villa édouardienne, dans une rue tranquille de Hove, autrefois entièrement résidentielle. Aujourd’hui, la plupart des magnifiques demeures en mitoyenneté avaient été démolies et remplacées par des immeubles récents. Celles qui restaient avaient été converties en bureaux ou en cabinets médicaux.

Elle entra dans le hall, familier, qui sentait la cire et l’antiseptique. Constatant que la secrétaire, assise derrière son bureau, était au téléphone, elle se glissa dans la salle d’attente.

En quinze ans environ, cette pièce spacieuse, mais mal entretenue, n’avait pas changé. Toujours la même tache d’humidité au plafond avec moulures, dont la forme évoquait vaguement l’Australie, la même plante verte devant la cheminée, la même odeur de renfermé, les mêmes fauteuils et canapés dépareillés, vieux comme Mathusalem, qui semblaient avoir fait l’objet d’un lot lors d’une vente aux enchères. Même les magazines, sur la table ronde en chêne, au centre de la pièce, semblaient là depuis des lustres.

Elle jeta un coup d’oeil à un couple de personnes âgées. Le mari, fragile, tassé dans un fauteuil défoncé, avait coincé sa canne dans le tapis pour ne pas se faire engloutir. Un homme d’une trentaine d’années, dans un manteau bleu avec col en velours, consultait frénétiquement son BlackBerry pour tuer le temps. Sur la table se trouvaient plusieurs prospectus, dont l’un énonçait les conseils pour arrêter de fumer. Nerveuse comme elle l’était, elle aurait bien aimé qu’on lui dise s’il était possible de fumer davantage.

Un exemplaire récent du Times attira son attention, mais elle n’était pas d’humeur à lire. Elle n’avait quasiment pas fermé l’oeil depuis le coup de fil de la secrétaire du Dr Hunter, la veille, en fin de journée, lui demandant de venir seule, le lendemain matin. Elle tremblait, en hypoglycémie. Elle avait pris ses médicaments, mais n’avait presque rien pu avaler au petit déjeuner.

Après avoir posé ses fesses au bord d’une chaise très droite, elle avait fouillé dans son sac à la recherche de ses tablettes de glucose et en avait sucé deux. Pourquoi le docteur voulait-il la voir en urgence ? Était-ce à propos des analyses de sang qu’elle avait faites la semaine dernière, ou plus vraisemblablement à propos de Caitlin ? Il lui était déjà arrivé de paniquer, par exemple quand elle avait senti une boule en palpant son sein, ou quand elle avait cru que le comportement erratique de sa fille était dû à une tumeur au cerveau. À chaque fois, Ross Hunter l’avait appelée personnellement pour la rassurer : la biopsie, le scanner, les analyses étaient dans les normes, elle n’avait pas de souci à se faire. Même si sa fille n’allait jamais tout à fait bien.

Elle croisa ses jambes, puis les décroisa. Elle avait mis son plus beau manteau, noir, longueur micuisse, en laine et cachemire, acheté lors des soldes d’hiver, un haut en maille bleu marine, un pantalon noir et des chaussures en daim. Elle ne se l’était jamais avoué, mais elle choisissait soigneusement ses tenues quand elle avait rendez-vous avec lui. Rien d’extravagant – elle ne savait plus séduire depuis bien longtemps –, juste quelque chose de joli. Comme la moitié de ses patientes, elle le trouvait attirant, mais jamais, au grand jamais, elle n’aurait osé le lui faire savoir.

Depuis qu’elle et Mal s’étaient séparés, elle avait une piètre image d’elle-même. À trente-sept ans, elle était pourtant encore attirante, et le serait encore davantage si elle suivait les conseils de ses amis, de son frère et de sa soeur regrettée, et reprenait les nombreux kilos qu’elle avait perdus. Elle était efflanquée, elle s’en rendait compte quand elle se regardait dans un miroir. Elle se faisait du souci pour tout, surtout pour Caitlin, et ces six années d’anxiété l’avaient rongée de l’intérieur.

Caitlin venait d’avoir neuf ans quand les médecins lui avaient diagnostiqué une maladie hépatique. Depuis, leur vie s’était transformée en tunnel sans fin. Les visites chez les spécialistes. Les examens. Les brèves périodes d’hospitalisation à Brighton, les autres – presque un an, pour la plus longue – à l’hôpital Kings College de Londres. Les opérations pour insérer des ressorts dans les voies biliaires. Celles pour les retirer. Les interminables transfusions…

Caitlin était parfois si fatiguée qu’elle s’endormait en classe. Elle avait dû arrêter de jouer de son cher saxophone, car elle avait du mal à respirer. Et, à l’adolescence, elle avait commencé à se rebeller, à exiger une réponse : « Pourquoi moi ? »

Question à laquelle Lynn n’avait pas de réponse. Lynn avait arrêté de compter le nombre d’heures passées aux urgences de l’hôpital royal du Sussex. À treize ans, Caitlin avait dû subir un lavage d’estomac pour avoir descendu une bouteille de vodka, volée dans le bar familial. À quatorze ans, elle était tombée du toit, défoncée au haschich. Et une nuit, elle l’avait réveillée à 2 heures du matin, les yeux vitreux, en sueur – elle claquait des dents –, pour lui dire qu’elle avait gobé une ecstasy et qu’elle avait mal à la tête.

À chaque fois, le Dr Hunter s’était rendu à l’hôpital et avait surveillé Caitlin jusqu’à ce qu’elle soit hors de danger. Il n’était pas obligé, mais c’était dans sa nature.

La porte s’ouvrit et il apparut. Grand, élégant dans un costume à rayures, le dos bien droit, il avait un beau visage, des cheveux poivre et sel et des yeux doux, attentifs, en partie cachés par des lunettes demi-lune.

— Lynn, s’exclama-t-il d’une voix forte, assurée, mais qui manquait d’enthousiasme ce matin. Entrez donc.

Le docteur Ross Hunter avait deux façons d’accueillir ses patients. Un sourire accueillant, sincère, chaleureux, « content de vous voir » – son expression habituelle, la seule que Lynn lui connaissait. Et un pincement mélancolique de la lèvre inférieure. Grimace qu’il détestait, mais qui lui dévorait le visage aujourd’hui.

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Commentaires récents

Or

J'ai beaucoup apprécié ce tome et j'ai directement accroché. Cette histoire de Trafic d'organes c'est vraiment monstrueux et pourtant certainement réel.

Le rythme est très rapide, il se passe beaucoup de choses, on suit plein de personnages, beaucoup sont attachants...

Et cette fin... Terrifiante, triste, joyeuse pourtant d'un autre côté, mais on le savait de toute manière, c'était l'une ou l'autre...

J'ai écouté ce livre en audio, et waw j'adore vraiment le lecteur, c'est incroyable encore une fois sa capacité à faire autant de personnages avec sa voix, on comprend vraiment qui parle ! il fait même vraiment bien l'accès Allemand, qu'il soit masculin ou féminin, vraiment bravo :)

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Diamant

La mort n'attend pas est le cinquième roman mettant en scène le commissaire Roy Grace et les sympathiques et attachants personnages qui l'entourent.

Cette fois, les pas de Roy vont le diriger vers un trafic d'organes. Un corps est découvert sur une côte du Sussex, et il apparaît vite qu'il manque certains organes vitaux à l'homme assassiné.

L'équipe est perplexe, d'autant que lesdits organes ont manifestement été retirés avec une méticulosité chirurgicale. Ce n'est pas un meurtre banal.

Ils en ont confirmation quand d'autres corps sont retrouvés dans le même état. Le prélèvement pour trafic ne fait alors plus aucun doute pour nos enquêteurs.

Parallèmement à l'enquête, nous suivons des familles désespérées parce que leur enfant ou conjoint attend désespérément une greffe Bien entendu, on éprouve une très forte empathie pour ces personnes qui souffrent et sont prêtes à tout pour sauver l'être aimé. De là à relier les points et y voir un rapport de cause à effet, il n'y a qu'un pas. Ne reste plus qu'à découvrir qui se cache derrière cet odieux trafic.

Grâce découvre qu'une Allemande, une bienfaitrice, fait des allers-retours en Roumanie, où elle promet une vie aisée à des jeunes volontaires s'ils acceptent de s'expatrier en Angleterre. Il y a plus de volontaires que d'élus, et pour cause. Certains critères s'avèrent indispensables pour "bénéficier" de la manne offerte.

Côté vie privée, Roy, toujours amoureux de Cléo, la légiste du département, fait par ailleurs d'autres découvertes concernant son passé. Ce fameux passé sur lequel je ne peux rien révéler sans spoiler sur les précédents romans. Mais le moins qu'on puisse dire, c'est que ce n'est pas encore tout à fait clair et que quelqu'un cherche à le manipuler, à moins que...entre réalité et hallucination, notre commissaire préféré ne sait plus à quel saint se vouer, mais il enquête activement pour découvrir la vérité. Quant à son collègue et ami, il est lui-même toujours plongé dans ses problèmes familiaux...

En résumé, encore un très bon roman de Peter James qui jongle avec aisance entre enquête policière et vie privée des protagonistes, sans trop en faire dans un sens ou dans l'autre. Le livre ne souffre d'aucune longueur et les deux aspects du récit sont passionnants et assez savamment imbriqués dans l'histoire pour qu'on ne ressente aucune longueur

L'auteur nous plonge tout droit dans l'intrigue et pour ceux qui ont lu les opus précédents, on a l'impression de retrouver des amis. Un grand bravo, monsieur James.

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Argent

Cela faisait au moins 6 ans que ce livre traînait dans ma pal. Il était temps de l'en sortir surtout que j'ai beaucoup aimé les premières enquêtes du commissaire Roy Grace avec un énorme coup,de cœur pour " comme une tombe".

Les chapitres sont toujours aussi courts . L'intrigue est efficace. L'action et les rebondissements sont présents. Le thème du trafic d'organes est très bien traité.

Je ne peux pas dire que je n'ai pas passé un bon moment mais je pense que je me suis un peu lassée de ce genre de lecture.

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Lu aussi

Ce cinquième épisode de la série se lit agréablement, mais ne fait pas réellement preuve d'originalité, le sujet ayant déjà été traité par ailleurs .

Comme à son habitude Peter James propose de nombreux chapitres courts et nerveux, invitant sans cesse à tourner les pages.

Quant au personnage central qu'est le commissaire Roy Grace, il se révèle profondément humain et de plus en plus attachant.

Pas évident de maintenir le niveau quant il s'agit d'une série aussi importante que celle-ci, il est donc logique parfois de présenter un tome légèrement en deçà des autres. Mais que l'on se rassure, parmi les suivants il y en a d'excellents.

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Argent

Un bon petit thriller qui se lit facilement. Mon premier de Péter James mais je me laisserai bien tenter par une autre histoire de l'inspecteur Roy Grâce.

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Lu aussi

J'ai bien apprécié cette enquête policière.

L'histoire suit plusieurs personnages qui finissent tous par avoir un lien. Les chapitres sont courts.

Le mise en place est un peu longue, mais une fois que c'est parti...

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Bronze

J'ai trouvé ce tome moyen : peu de suspense, beaucoup de personnages délaissant l'histoire personnelle des enquêteurs qui piétine.

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Diamant

Encore une aventure de l'équipe de Roy Grace qui donne le frisson. C'est tellement bien écrit, bien pensé, juste, que l'on se demande si ce n'est pas une histoire vraie. Bravo Mr James !!

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Lu aussi

J'ai bien aimé ce livre, sans plus on va dire.

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Argent

Un début long à se mettre en place et beaucoup de personnages rendent le début un peu difficile et peu accrocheur. Mais il vaut la peine qu'on s'accroche, ne serait-ce que pour le sujet du livre: le trafic d'êtres humains. Sujet que j'ai trouvé personnellement très intéressant.

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Dates de sortie

Roy Grace, Tome 5 : La Mort n'attend pas

  • France : 2011-03-10 (Français)
  • Canada : 2011-04-18 (Français)
  • Canada : 2012-04-23 - Poche (Français)

Activité récente

elbaloo l'ajoute dans sa biblio or
2024-03-03T18:42:18+01:00

Titres alternatifs

  • La Mort n'Attend Pas, Tome 5 - Français

Distinctions de ce livre

Évaluations

Les chiffres

lecteurs 131
Commentaires 14
extraits 2
Evaluations 28
Note globale 7.82 / 10

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