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Extrait ajouté par anonyme 2014-05-09T17:33:48+02:00

« Cela fait plusieurs siècles déjà que nous avons admis que les femmes ont une âme. N'est-il pas grand temps d'admettre qu'elles ont également un cerveau ? »

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Extrait ajouté par MintThea 2012-10-09T11:16:35+02:00

"Note de l'auteur :

J'adresse toutes mes excuses à l'ombre de Jane Austen pour avoir imposé à sa chère Elizabeth l'épreuve d'une enquête pour meurtre, d'autant plus que Miss Austen a clairement exprimé son point de vue dans le dernier chapitre de Mansfield Park : "Laissons à d'autres plumes que la mienne le soin de s'attarder sur la culpabilité et le malheur. J'abandonne promptement des sujets aussi détestables, car je suis impatiente de faire retrouver à ceux qui n'ont pas grand chose à se reprocher une certaine tranquillité, et d'en avoir terminé avec les autres." Je ne doute pas qu'elle aurait répondu à mes excuses en me faisant remarquer que, si elle avait souhaité s'attarder sur des sujets aussi détestables, elle aurait écrit cette histoire elle-même, et en bien mieux.

P.D. James, 2011"

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Extrait ajouté par Audrey81 2015-02-10T09:32:32+01:00

"Charlotte n'avait pas été l'aînée d'une famille nombreuse sans acquérir un certain savoir-faire en matière de travers masculins et la méthode dont elle usait avec son mari était ingénieuse. Elle le félicitait constamment pour des qualités qu'il ne possédait pas dans l'espoir que, flatté par ses éloges et son approbation, il finirait par les acquérir."

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Extrait ajouté par Audrey81 2015-02-10T09:31:06+01:00

"Les gens devraient prendre la décision de vivre ou de mourir et faire l'un ou l'autre avec le moins de désagrément possible pour autrui."

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Extrait ajouté par Liloulitdeslivres 2024-04-13T21:02:35+02:00

Le grand vestibule de Pemberley, avec son élégant mobilier, sa remarquable cage d'escalier incurvée en direction de la galerie et ses portraits de famille, parut soudain à Darcy aussi étranger que s'il le découvrait pour la première fois. L'ordre naturel qui le soutenait depuis l'enfance avait été bouleversé et un instant, il se sentit aussi impuissant que s'il n'était plus le maître de sa demeure, une réaction absurde qui trouva son exutoire dans l'agacement que lui inspirèrent des détails insignifiants.

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Extrait ajouté par Liloulitdeslivres 2024-04-07T09:49:51+02:00

Le vent s'était encore renforcé, et les deux voix qui s'élevaient étaient soutenues par les gémissements et les hurlements du conduit de cheminée et par le crépitement du feu, le tumulte extérieur semblant accompagner en déchant la beauté des deux timbres qui se fondaient l'un dans l'autre et offrant un contrepoint approprié au tumulte de son propre esprit. Jamais encore les bourrasques ne l'avaient inquiétée, et elle savourait au contraire la quiétude et le confort du château quand elles se déchaînaient vainement dans le bois de Pemberley. Mais ce soir-là, le vent lui faisait l'effet d'une force maléfique, à la recherche de la moindre cheminée, du moindre instertice pour s'insinuer à l'intérieur. Elle n'avait pas l'habitude de se laisser emporter par son imagination et chercha à repousser ces idées morbides, sans parvenir pourtant à se défaire d'un sentiment qu'elle n'avait encore jamais éprouvé.

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Extrait ajouté par Liloulitdeslivres 2024-04-05T12:54:11+02:00

S'attardant à la fenêtre et chassant de son esprit les soucis du jour, Elizabeth savoura la beauté de ce paysage familier, apaisant, mais constamment changeant. Le soleil brillait dans un ciel d'un bleu translucide où quelques rares nuages délicats se dissolvaient ainsi que des volutes de fumée. La petite promenade qu'elle faisait quotidiennement avec son mari avait appris à Elizabeth que ce soleil d'arrière-saison était trompeur. Ce matin-là, une brise glaciale les avait promptement reconduits à l'intérieur du château. Elle constata que le vent s'était renforcé. La surface de la rivière se ridait de vaguelettes qui venaient se perdre parmi les herbes et les arbrisseaux bordant le cours d'eau, et leurs ombres brisées tremblotaient sur les flots agités.

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Extrait ajouté par Liloulitdeslivres 2024-04-04T12:06:25+02:00

La fortune de Mr Bingley trouvait son origine dans le commerce. Il n'avait hérité d'aucune bibliothèque familiale et n'avait songé à en constituer une qu'après avoir acheté Highmarten House. Mr Darcy et Mr Bennet s'étaient montrés tout disposés à l'aider dans cette entreprise, car il n'est guère d'activité plus plaisante que de dépenser l'argent d'un ami pour votre propre satisfaction et pour son profit, et si les acheteurs étaient parfois tentés de se laisser aller à quelque extravagance, ils se réconfortaient en songeant que Bingley en avait les moyens. Bien que les rayonnages de la bibliothèque, conçue selon les indications de Darcy et dûment approuvée par Mr Bennet, fussent loin d'être remplis, Bingley pouvait comtempler avec orgueil l'élégante disposition des volumes et des reliures en cuir luisant. Il lui arrivait même à l'occasion d'ouvrir un livre et on pouvait le voir plongé dans la lecture, quand la saison ou le temps ne se prêtaient pas à la chasse, à la pêche ou au tir.

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Extrait ajouté par Liloulitdeslivres 2024-04-02T20:53:27+02:00

Les habitantes de Meryton s'accordaient à penser que Mr et Mrs Bennet avaient eu bien de la chance de trouver des maris à quatre de leurs filles. Meryton, un petit bourg du Hertfordshire, ne figure sur l'itinéraire d'aucun voyage d'agrément, n'ayant à offrir ni cadre pittoresque ni épisode historique notable. Quant à Netherfield Park, son unique grande demeure, aussi imposante soit-elle, elle n'est pas mentionnée dans les ouvrages consacrés aux architectures remarquables du comté. La ville possède une salle des fêtes où se tiennent régulièrement des bals, mais elle n'a pas de théâtre, et la plupart des divertissements restent dans les maisons particulières, où les ragots viennent adoucir l'ennui des dîners et des tables de whist qui rassemblent invariablement la même société.

Une famille de cinq filles à marier peut être assurée de susciter l'intérêt et la compassion de tous ses voisins, surtout lorsque les distractions sont rares.

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Extrait ajouté par lelette1610 2023-01-21T09:04:13+01:00

Nous sommes au dix-neuvième siècle, que diable ! et point n’est besoin d’être un disciple de Mrs Wollstonecraft pour juger qu’il ne convient pas de refuser aux femmes d’avoir voix au chapitre sur les sujets qui les concernent. Cela fait plusieurs siècles déjà que nous avons admis que les femmes ont une âme. N’est-il pas grand temps d’admettre qu’elles ont également un cerveau ?

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