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Il l'écarta, mais avant de les quitter tous les deux, il tendit les bras à son fils. Le petit garçon se rejeta en arrière, effrayé par le casque de son cimier empanaché. Hector rit et retira le casque scintillant. Alors, prenant l'enfant dans ses bras, il l'embrassa et pria : << O Zeus, dans les années à venir, puissent les hommes dire de celui-ci, mon fils, quand il reviendra de la bataille : il est plus valeureux encore que ne l'était son père. >>

Il remit l'enfant à sa mère et elle le reprit, souriante malgré ses larmes. Et Hector eut pitié d'elle ; il la toucha tendrement de sa main et lui dit : << Très chère, ne sois pas si affligée. Le destin doit s'accomplir, mais aucun homme ne peut me tuer si mon destin s'y oppose. >> Reprenant alors son casque, il la quitta et elle regagna sa demeure, non sans se retourner souvent pour le voir et pleurant amèrement.

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Nous sommes apparentés à ces Nordiques par la race ; notre culture nous vient des Grecs. Ensemble, la mythologie nordique et la mythologie grecque nous donnent une claire image de ce qu’étaient ces peuples auxquels nous devons la plus grande part de notre héritage spirituel et intellectuel.

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Ces poètes de la mythologie nordique qui affirmaient que la victoire est possible dans la mort et que le courage n’est jamais vaincu, sont les seuls interprètes de la croyance de toute la grande race germanique dont l’Angleterre fait partie, et les Etats-Unis, par les premiers immigrants venus en Amérique. Partout ailleurs en Europe septentrionale, […] les légendes furent détruites par les prêtres d’un Christianisme ennemi du paganisme qu’ils étaient chargés de faire disparaître. Et ils firent table rase, avec une efficacité vraiment extraordinaire. Quelques fragments survivent : Beowulf en Angleterre, les Niebelungenlied en Allemagne, et ça et là, des bribes disparates ; n’étaient les deux Eddas islandaises, nous ne saurions pratiquement rien de la religion qui modela la race germanique.

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"L'esprit ne connaît

Que ce qui repose près du cœur. "

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Daphné

Daphné était une autre de ces jeunes chasseresses indépendantes et réfractères au mariage et à l'amour que nous rencontrons si souvent dans les récits mythologiques. Elle fut, dit-on, le premier amour d'Appolon, et qu'elle l'ait fui n'a rien de surprenant. l'une après l'autre, ces infortunées jeunes filles se voyaient forcées soit de tuer secrètement leur enfant, soit de mourir elles-mêmes. au mieux, elles pouvaient s'attendre à l'exil et bien des femmes estimaient ce sort pire encore que la mort. Les Néréides qui rendaient visite à Prométhée sur son pic rocheux du Caucase, témoignaient d'un élémentaire bon sens quand elles lui disaient :

Puissiez-vous ne jamais oh, jamais me voir

Partageant la couche d'un dieu.

Que jamais ne m'appartienne

L'amour que connaissent les dieux.

La lutte contre un amant divin n'est pas une lutte,

C'est le désespoir.

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