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« Brillant et hypnotique, un roman dans lequel le lecteur plonge en se laissant habiter par les sons et les rythmes. Paul Lynch fait chanter chacune de ses pages comme le faisaient les grands maîtres. »
Philipp Meyer
« Un roman sur une Irlande que je reconnais, et que devraient envier tous les écrivains. »
Robert McLiam Wilson
Après des années passées à New York, Barnabas Kane retrouve le Donegal en 1945 et s’installe sur une ferme avec sa femme et son fils. Mais l’incendie, accidentel ou criminel, qui ravage son étable, tuant un ouvrier et décimant son bétail, met un frein à ce nouveau départ. Confronté à l’hostilité et à la rancœur d’une communauté qui l’accuse d’avoir tué l’un des leurs, confiné sur cette terre ingrate où l’inflexibilité des hommes le dispute à celle de la nature, Barnabas Kane va devoir choisir à quel monde il appartient.
L’âpreté lyrique du premier roman de Paul Lynch, Un ciel rouge, le matin, qui métamorphosait le paysage irlandais en un vaste territoire à l’horizon sans limites, se retrouve dans La neige noire, roman pastoral, minéral et tellurique qui confirme le talent de ce jeune auteur révélé en France en 2014, et salué comme le digne héritier de Cormac McCarthy.
« Le problème avec vous tous, c’est que vous accordez trop de place aux souvenirs. Vous vivez uniquement dans le passé. C’est la règle, par ici. Vous vivez en compagnie de fantômes, en vous apitoyant sur votre sort. Le regard constamment tourné en arrière. Incapables d’envisager l’avenir, de faire progresser ce pays. »
Un superbe livre, même si l'histoire n'est pas drôle. Mais quel beau texte, qu'elle pénéttration psychologique. Cela ne pouvait être écrit que par un irlandais. De retour au pays, après avoir tenté fortune en amérique, L'intéressé s'en tire pas mal, mais en fait n'est plus reconnu par ses pairs. Alors, il est possible de tout perdre.
Barnabas est revenu en Irlande en 1945, avec sa femme et son fils. Alors qu’il laboure son champs avec son employé, l’étable prend feu. Les deux hommes se jettent à l’intérieur pour sauver le bétail, mais seul Barnabas en ressort, aidé par un voisin.
L’étable est détruite, les vaches brûlées et le village pense qu’il est responsable de la mort de Matthews. Entre les problèmes d’argent et de relationnel, Barnabas a du mal à affronter ce malheur. Mais après plusieurs autres événements lui mettent la puce à l’oreille : et si l’incendie était criminel ?
Qu’en est-il des secrets de son fils ? Et comment Eskra, sa femme, va-t-elle gérer tout cela ?
Le gros problème de ce roman, c’est la forme très libre des dialogues. Personnellement, j’ai du mal lorsque le dialogue s’insère dans les paragraphes, sans saut de ligne, tiret, ou quoique se soit. Parfois même, les deux personnages qui se répondent et les phrases se suivent sans aucune indication de qui parle, ce que je ne trouve pas du tout pratique.
En revanche l’histoire est sympa. L’ombre de la seconde guerre mondiale plane sur le roman sans pourtant l’affecter particulièrement. J’ai beaucoup aimé le personnage d’Eskra, cette mère et cette femme qui s’occupe de ses abeilles. Les phrases sont vraiment très poétiques et retranscrivent totalement l’ambiance et l’atmosphère de l’Irlande, de la campagne et de cette vie de famille.
S’il n’y avait pas eu ces histoires de dialogues qui m’ont parfois coupées dans ma lecture, je crois que j’aurais adoré ce livre.
Là, malheureusement, je ne peux pas en faire un gros coup de cœur, mais l’histoire reste vraiment intéressante et agréable à lire !
Résumé
« Brillant et hypnotique, un roman dans lequel le lecteur plonge en se laissant habiter par les sons et les rythmes. Paul Lynch fait chanter chacune de ses pages comme le faisaient les grands maîtres. »
Philipp Meyer
« Un roman sur une Irlande que je reconnais, et que devraient envier tous les écrivains. »
Robert McLiam Wilson
Après des années passées à New York, Barnabas Kane retrouve le Donegal en 1945 et s’installe sur une ferme avec sa femme et son fils. Mais l’incendie, accidentel ou criminel, qui ravage son étable, tuant un ouvrier et décimant son bétail, met un frein à ce nouveau départ. Confronté à l’hostilité et à la rancœur d’une communauté qui l’accuse d’avoir tué l’un des leurs, confiné sur cette terre ingrate où l’inflexibilité des hommes le dispute à celle de la nature, Barnabas Kane va devoir choisir à quel monde il appartient.
L’âpreté lyrique du premier roman de Paul Lynch, Un ciel rouge, le matin, qui métamorphosait le paysage irlandais en un vaste territoire à l’horizon sans limites, se retrouve dans La neige noire, roman pastoral, minéral et tellurique qui confirme le talent de ce jeune auteur révélé en France en 2014, et salué comme le digne héritier de Cormac McCarthy.
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