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Alex est une jeune femme plutôt solitaire qui étudie à Yale, franche, elle n’hésite pas à dire ce qu’elle pense. Personnage très mystérieux et intriguant avec une forte personnalité, tout ce que j’aime. Elle semble capable de voir les fantômes appelés habituellement les Gris, sans assistance, ce qui semble rare au sein de la société. Il est conseillé de ne pas les regarder ou leur parler, encore moins prononcer leurs noms, qui sait quelles en seraient les conséquences. Suite à un incident dans sa vie passée, elle a changé considérablement de vie. On a accès à des bribes de souvenirs concernant son passé.

Son rôle, travaillant pour le Léthé : vérifier le respect des procédures par les Bonesmen, qui n’est autre qu’organisation ressemblant à une secte comptant parmi elle des Présidents, des personnalités publiques, beaucoup de gens bien placés dans le monde. Elle assiste à un rituel appelé pronostication, mais des choses qu’elle seule semble voir vont se dérouler.

Suite à un meurtre perpétré, elle va devoir enquêter afin d’en connaître les raisons ainsi que le coupable, ses dons vont s’avérer très utiles. Elle se rend compte que le comportement des Gris a changé. Pour quelles raisons ? Qu’est-ce qui pourrait les effrayer à ce point ?

Elle me touche beaucoup, on sent qu’elle a énormément de tristesse et de rage qui la ronge. Son adolescence a été chaotique non pas à cause de sa mère ou de son foyer en général, mais parce qu’elle a vécu, vu des choses, que peu supporteraient. Elle lie une amitié puissance avec ses deux colocataires Mercy et Lauren, qu’elle tente de protéger de son mieux.

Darlington, mentor d’Alex, il lui apprend énormément de choses par rapport à la vie à Yale, notamment sur les us et coutumes des Bonesmen. Il ne portait pas forcément Alex dans son cœur lors de leur rencontre, ils estiment alors n’avoir rien en commun. Il doit cependant composer avec puisqu’ils vont se côtoyer régulièrement.

Il est drôle malgré lui avec ses répliques, très charismatique aussi. Darlington se montre parfois sympathique et prévenant, même si cela reste rare. Il envie le « don » d’Alex, souhaitant depuis longtemps être doté de la même capacité. Alex va également enquêter en parallèle sur sa disparition soudaine. Il a entretenu une relation assez tendue avec ses géniteurs, car pour moi on ne peut pas réellement les qualifier de parents, mais était très proche de son grand-père. Il reste l’un des personnages les plus mystérieux pour moi, j’ai encore beaucoup trop de questionnements le concernant.

L’inspecteur Turner ne fait aucunement confiance à Alex, encore moins en ce qui concerne l’affaire de meurtres. Il se méfie d’elle et ne s’en cache pas. Toutefois, son avis va radicalement changer lorsqu’il sera témoin de certains phénomènes étranges.

Quant à Pamela, au départ j’avais du mal à me faire un avis sur elle, car elle était en retrait, parlait peu. Au fil des pages, on découvre sa personnalité, sa façon d’être et de gérer les situations plus ou moins problématiques. J’adore cette femme, elle est gentille puis défends bec et ongle Alex.

Le prologue m’a poussé à me poser pas mal de questions, mais surtout à en savoir plus sur Alex. J’ai adoré les joutes verbales entre elle et Darlington ainsi que leur relation étrange. Tout ce mystère autour des Gris m’a beaucoup intrigué je vous l’avoue, c’est ce côté-là qui m’a vraiment embarqué au départ.

J’ai apprécié le fait que l’on ait accès à des passages de La Vie de Léthé et des journaux de quelques membres. En revanche, j’ai eu du mal à entrer dans l’histoire, j’ai trouvé le début assez (trop ?) long, la longueur des chapitres m’a clairement freiné.

On aborde d’une certaine façon la manière dont les personnes riches, « les privilégiés », s’en tirent à bon escient. Quand on a l’argent de même que les bonnes relations, tout paraît toujours beaucoup plus simple et accessible. Que dire des derniers chapitres, ils ont été intenses en termes d’action, de révélations et cette fin… Autant j’ai eu du mal à le démarrer autant j’ai peiné à le lâcher une fois les huit premiers chapitres lus.

Si tu aimes : les spéculations, la quête de vérité, les mensonges, les fantômes, les disparitions, les morts et les choses inexpliquées, alors fonce lire La neuvième maison. Si c’est déjà le cas, qu’en as-tu pensé ? Toi aussi es-tu sous le charme de Darlington ?

Serait-ce un miracle ? C’est fort probable. Parce que oui, j’ai enfin lu *La Neuvième Maison* de Leigh Bardugo, le livre que je traîne de PAL en PAL depuis… je ne sais même plus quand 😅. J’ai tenu à commencer l’année par cette lecture, histoire de combattre la malédiction : “Non, tu ne passeras pas une année de plus à végéter sur mes étagères”. Et… disons que j’en suis ressortie assez mitigée.

—Attachez vos ceintures !—

Je vais tout de suite mettre les pieds dans le plat en parlant du plus gros problème de *La Neuvième Maison* : son rythme. J’ai malheureusement retrouvé ce qui m’avait tant gênée dans *Six of Crows* (et qui a fait que je n’ai jamais fini le T2), c’est-à-dire une intrigue en montagnes russes. Si l’histoire peut très vite prendre un tournant haletant qui nous fait tourner les pages de plus en plus vite, celui-ci a souvent tendance à vite retomber pour nous laisser dans un creux de vague où il ne se passe pas grand-chose (voire rien du tout) et où l’on a tendance à s’ennuyer. Le souci étant que ces “creux” sont bien plus nombreux et plus étendus que les “montées” - en particulier dans la première moitié du roman (et encore, je suis gentille, j’aurais plutôt dû dire les deux tiers) où c’est franchement le calme plat, où l’action est peu présente et où les révélations se font désirer.

—Tic-Tac & Suspicions—

L’autre particularité de *La Neuvième Maison* se trouve dans l’alternance des temporalités entre les chapitres au passé et ceux au présent - ceux-ci étant privés d’un personnage principal qui a subitement disparu - le but étant de découvrir l’évènement qui a fait basculer les choses. Et, de façon très étrange, j’ai préféré les chapitres qui se déroulaient dans le passé (aux “origines” de l’histoire). On ne va pas se mentir, cette préférence est causée par la présence de Darlington, mon personnage préféré de l’histoire. C’est mon chouchou à moi, pince-sans-rire et paradoxalement très drôle, ultra-plaisant à suivre.

Mais quid d’Alex, notre héroïne ? Eh bien… Je ne sais pas vraiment. Elle m’a beaucoup déstabilisée, dans le sens où j’ai souvent douté de sa fiabilité. Je ne savais pas si moi, lectrice, je pouvais lui faire confiance et croire sur paroles tout ce qu’elle disait. Si bien que je me suis souvent demandé dans quel camp elle se trouvait réellement. C’est le genre de personnage qui lâche des informations au compte-goutte, comme ça, mine de rien, au détour d’une pensée. Si bien que nous devons rester très attentifs pour capter ces indices et essayer de reconstituer le puzzle. Ce qui n’est pas forcément une mauvaise chose puisque ça nous tient en haleine.

—Booo !—

En revanche, l’ambiance du roman a été une bonne surprise avec ses vibes très dark academia dans cette vieille université pleine de secrets et de non-dits, de passages secrets et de coins sombres dans lesquels rôdent des créatures plus très humaines… C’est poisseux. Pas au point de faire peur, mais assez pour nous avoir un rendu brumeux et inquiétant. Surtout avec tous ces fantômes qui rôdent ! C’est un point que j’ai d’ailleurs grandement apprécié, parce que j’ai une appétence générale pour les fantômes, mais aussi parce que j’aime beaucoup la façon dont Leigh Bardugo a traité le sujet. (Spoiler Alert : On est loin -TRÈS loin- de Casper le gentil fantôme.)

D’ailleurs, il faut que je te prévienne que Leigh Bardugo n’y va pas de main morte. *La Neuvième Maison* a son lot de scènes trash, de descriptions gores et de passages difficiles à lire. Pour te donner une idée, le roman s’ouvre sur une scène où une société lit l’avenir dans les entrailles d’un homme vivant (oui, ça marque) et où l’autrice ne se gêne pas pour nous fournir des détails dont on se serait bien passé. Un passage en particulier m’a vraiment marqué (dans le mauvais sens) parce que je l’ai trouvé extrêmement violent et inattendu… et peut-être même un peu gratuit. J’aurai donc tendance à recommander aux âmes sensibles de s’abstenir.

Si ça peut t’aider à y voir plus clair, la maison d’édition a inséré plusieurs Triggers Warnings en amont de l’histoire. Je te les retranscris ici : Violence, sexe, drogue, violence sexuelle, langage grossier, descriptions explicites de blessures.

—Supplément—

Autre information qui me semble importante et qui n’est peut-être pas assez visible dans le résumé : L’intrigue de *La Neuvième Maison* tourne essentiellement autour d’une enquête à résoudre, ce dont je n’avais moi-même pas vraiment conscience avant de me lancer dans la lecture. Et je ne sais pas si c’est le fait que je ne sois naturellement pas friande de ce genre romanesque, mais je dois avouer qu’il y avait des moments où la résolution de ce meurtre me passait complètement au-dessus. Bon, c’est vrai qu’à d’autres moments j’étais plutôt enthousiaste, mais ceux-là étaient plus rares. Je dois même avouer qu’il y a une ou deux fois où je me suis retrouvée un peu perdue dans les explications. Mais au final j’ai compris l’essentiel, je te rassure !

—En bref—

En bref, *La Neuvième Maison* de Leigh Bardugo fut une lecture en demi-teinte dont j’ai apprécié l’ambiance dark academia avec ses secrets, le développement de la partie surnaturelle et le personnage de Darlington - mais qui souffre d’un véritable problème de rythme, d’un personnage principal très déstabilisant et de scènes qui ont tendance à tomber un peu trop facilement dans le trash. Peut-être que tout cela aurait été mieux équilibré si le roman avait été un peu raccourci, mais ce n’est que mon humble avis !

La question qui reste en suspens est de savoir si je vais lire la suite que De Saxus a annoncée pour 2023. Et je pense que s’il y a de grandes chances pour que je ne me jette pas dessus, je finirai tout de même par m’y pencher - parce qu’il y a toujours un certain nombre de réponses que j’attends. Alors on en reparle dans quelques mois !

https://desrevesdanslamarge.com/leigh-bardugo-la-neuvieme-maison/

Une histoire plutôt intéressante bien que complexe à suivre à mes yeux. Patience et persévérance ont été demandé au cours de cette lecture. Il m'a fallu environ trois cent pages pour commencer à accrocher au récit. Malgré tout , j'ai hâte de me plonger dans le deuxième tome

je n'ai pas aimé ce livre. j'ai trouvé le début très brouillon,. il m'a fallu un certain nombre de pages pour que cette sensation s’atténue. il y a trop de personnages à suivre, trop de "maisons". les fantômes sont loin d'être gentils et par moment j'ai lu en diagonale tellement j'étais mal à l'aise avec leurs descriptions physiques et comportementales

5/5

Je dois avouer que le début a été très compliquer.

Je ne comprenais pas grand-chose et j’avais peur d’aller à la déception.

Mais c’est par ce que l’univers est très dense et très complexe mais au fur et à mesure des pages, ont comprends mieux, on intègre les personnages, leurs magie.

J’ai adorée l’intrigue malgré la difficulté à la cerner au départ avec tous ces retours dans le temps.

Des sujets très dur son abordés donc faites très attention aux TW ! cependant ces sujets sont très bien amenés et très bien traiter. Certaine scène sont explicite mais d’autre sous-entendu.

L’intrigue est très dark, et je trouve un mélange de dark Academia, thriller.

C’est vraiment une histoire très addictive et dérangeante en même temps mais je ne pensais pas autant m’investir et accrocher !

Le système de magie est très différent des autres. Elle est beaucoup plus sombre et presque mal vue par le monde qui la connaisse.

L’univers, l’histoire est tellement bien construite, pleine de mystère, d’action mais en même temps très dark avec une touche de violence. Parfois à faire tourner les yeux (je suis très sensible) mais en même temps, c’était écrit d’une manière claire avec détails mais sans être tout much.

Le personnage d’Alex était juste incroyable. Une femme à la fois sarcastique, très sombre et très profonde. Elle cache tellement de chose, de violence, un passer traumatique qui peu énormément trigger.

Elle a un charisme impressionnant et grande une gentillesse envers ses amies. Prête à tout pour les aider, les défendre. Elle a une force d’esprit, une volonté…

Les autres personnages sont tout aussi sombre et avec des caractères très fort. Je n’ai pas vraiment trouvée de personnages « Sunshine » à proprement parler.

Le garçons de l’école sont de vrai Co*****.

Ils sont décrits comme les gars un peu typique des université à se drogués et je dois avouer que cela m’a un peu gêné, pas dans le sens ou c’était faux, ou caricaturale mais dans le sens ou se montre que certain gars peuvent vraiment être comme ça exister.

Ce fut une histoire donc très sombre, magique sombre, dark Academia qui va vous retourner le cerveau.

Ce fut un coup de cœur inattendu.

J’ai vraiment adoré ce livre, on y retrouve la plume merveilleuse de Leigh Bardugo dans un univers contemporain: la prestigieuse université de Yale, et plus particulièrement dans l’univers mystérieux de ses sociétés secrètes. Cette touche sombre de magie et de mystère me touche toujours autant, et j’avoue tomber chaque fois un peu plus amoureuse de cette écriture. Les personnages sont attachants et bien différents de ceux que l’on peut trouver dans le Grishaverse, l’intrigue est passionnante, le mystère et les ténèbres planent au dessus du texte, prêts à s’abattre. Chaque détail a un sens, chaque personnage a son rôle, et chacun a un esprit, une répartie et des réactions qui lui sont propres et sortent de ces personnages de base et lassants que l’on peut trouver. Je recommande de toute mon âme (s’il m’en reste une après cette rencontre avec Alex)!

J'ai eu un mal fou à rentrer dans l'histoire mais j'ai trouvé le cadre intéressant, un meurtre sur un fond de magie 🧐

Plusieurs personnages m'ont surprises, Alex Stern la première, au fur et à mesure on découvre de plus en plus de chose sur sa vie passée. Les personnages sont bien construits dans l'ensemble, ce qui m'a encourage à continuer ma lecture d'ailleurs sinon j'aurais peut être abandonnée en chemin mais je ne regrette pas d'être aller jusqu'au bout et les relations de fins m'ont mis sur le cul.

Je viens de refermer la meilleure fantasy que j'ai pu lire cette année !

J'ai tout aimé dans cette histoire mêlant fantômes, magie et sociétés secrètes, que ce soit les personnages, le décor, les rebondissements, les révélations ou l'écriture !

Dès les premières lignes, j'ai tout de suite accroché avec Alex, l’héroïne principale. C'est une jeune femme à la fois forte et réaliste grâce à ses faiblesses et son passé, ainsi que son caractère.

Les descriptions architecturales de Yale sont sublimes. La première moitié sert à mettre en place l'univers, et même si j'étais un peu perdue au début, tout devient plus évident au fil des pages. Puis, dans la seconde moitié, les rebondissements s'enchaînent jusqu'à nous conduire à une révélation finale que je n'avais pas vue venir !

Si vous êtes mordu de Dark Academia, et vous n'avez pas encore mis la main sur ce livre, je ne peux que vous conseillez de foncer !

J’ai trouvé qu’il n’y avait aucune fluidité dans l’écriture, un rythme vraiment pas facile à suivre c’était limite désagréable de lire.

Et pourquoi nous faire une visite guidée de Harvard pendant plus de 100pages ???? J’ai fini par abandonner sinon l’histoire avait l’air bien…

[Lecture commune - octobre 2022 - avec Amy]

Alors là... Mais quelle lecture !! C'était absolument incroyable !

Alors oui, il faut s'accrocher sur les 150 premières pages environ. C'est dense, on a pleins d'infos en même temps, on nous montre les personnages comme si on les connaissait déjà. Je sais que ça a rebuté des lecteurs et que certains ont laissé tomber. Mais franchement, ça vaut le coup de persister !

On suit ici Galaxy (Alexandra (Alex)) Stern, seule survivante d'un massacre inexpliqué. C'est une jeune femme qui vient d'intégrer l'université de Yale et d'être recrutée par le Léthé, l'une des sociétés secrètes qui oeuvrent dans l'ombre de l'université. Alex a une particularité : elle voit constamment, depuis son enfance, les Gris, c'est-à-dire les fantômes. C'est d'ailleurs pour ça que le doyen Sandow lui a demandé de rejoindre le Léthé. Oui mais voilà, lors d'un rituel que doit surveiller Alex, une jeune femme est assassinée non loin de là. Et si les sociétés secrètes n'y étaient pas étrangères ?

Alex, aka Dante, est incroyable comme personnage. Ultra bien construite, humaine, avec ses failles, des faiblesses, un tempérament bien trempé, mais avec aussi des qualités, une envie de justice et d'aider ses amis. Elle est vive, a une repartie que j'adore ("Je ne suis peut-être qu'une merde, mais je suis du genre collant") et sort un peu des sentiers battus.

Darlington, aka Virgile, qui a brillé par son absence sur la ligne temporelle du présent, est génial lui aussi. Le type n'est absolument pas là et on l'adore quand même, c'est génial.

J'ai aussi adoré North pour qui j'ai eu tant de peine à la fin. J'ai beaucoup aimé l'importance qui lui a été donnée !

Autre personnage que j'ai adoré (j'arrête après, promis), c'est Turner (aka Centurion). Au début je le prenais vraiment pour un petit con imbu de lui-même. Mais je trouve qu'il a une certaine évolution au fil de ce qu'il apprend et qu'il en devient plus attachant. J'étais triste de le quitter à la fin. J'ai même commencé à le shipper avec Alex haha :')

J'ai trouvé la plume de l'auteure à la fois fluide et incisive. Peut-être un peu lourde parfois, mais cela ne m'a pas du tout dérangée.

Comme je l'ai dit un peu plus haut, les 150 premières pages sont un peu ardues mais après ça va mieux. Les choses sont mises en place, les liens se créés.

L'enquête est prenante et on va de révélations en rebondissements. Je n'ai rien vu venir pour quoi que ce soit. L'auteure balade le lecteur, on est sûr de rien, et j'ai adoré ça.

La fin. Mais parlons-en ! C'est quoi ces révélations sorties des abysses ?! Punaise mais je n'avais vraiment RIEN vu venir. Je me suis pris quelques claques. C'était incroyablement bien mené.

En terminant cette lecture commune, avec Amy on est tombé d'accord sur une chose. C'est vachement loin 2023, quand même...