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-Tenez, le voilà l'idiot : Jean-Jacques Ardillon, premier partout depuis la sixième, grosse tête ! Il croit qu'il sait quelque chose, il croit qu'il est intelligent. Vous êtes intelligent, monsieur Ardillon ?
-Heu... Je…
-Oui, vous le pensez, vous pensez que je plaisante et qu'ne réalité je crois et je sais que vous êtes intelligent. Non, monsieur Ardillon, je crois et je sais que vous êtes idiot.
Afficher en entierJe t'ai fait mal.
Mais toi, la première, en prononçant son nom, tu m'avais broyé le cœur.
Afficher en entierMoi, je n'ai rien dit. Rien...
Et tout s'est accompli... [...]
Pendant ces quelques secondes, il n'y aurait pas eu assez d'horreur dans le monde pour emplir ton cœur.
Afficher en entierMais ces soucis étaient pour demain, pour tout à l’heure.
Vivre les malheurs d’ avance, c’ est les subir deux fois.
Le moment présent était un moment de joie, il ne fallait pas l’empoisonner.
Afficher en entieril serait peut-être temps de se demander si la perfection n'est pas dans l'enfance, si l'adulte n'est pas qu'un enfant qui a déjà commencé à pourrir...
Afficher en entier- Ne croyez-vous pas que j'aime Doa au moins autant que vous aimer Païkan ? Ne croyez-vous pas que si j'obéissais à des motifs égoïstes, c'est elle que j'enfermerais avec moi dans l'Abri ? Ou que je resterais près d'elle, en abandonnant avec joie ma place au n°2 ? mais je connais le n°2, je sais ce que valent ses connaissances et ce que valent les miennes. L'ordinateur a eu raison de me désigner. Il ne s'agit plus d'amour, plus de sentiments, plus de nous-mêmes. Nous sommes en face d'un devoir qui nous dépasse. Nous avons, vous et moi, à préserver la vie universelle et à refaire le monde.
Afficher en entierIls ne pensaient plus à leurs épreuves, aux menaces, à la guerre. Ils volaient vers un havre de paix. Peut-être momentané, précaire, illusoire, et où de multiples problèmes se poseraient en tout cas pour eux. Mais ces soucis étaient pour demain, pour tout à l'heure. Vivre les malheurs d'avance, c'est les subir deux fois. Le moment présent était un moment de joie, il ne fallait pas l'empoisonner.
Afficher en entier- Moi, je suis idiot, mais je ne suis pas un con !
Afficher en entierLe moment présent était un moment de joie, il ne fallait pas l'empoisonner.
Afficher en entierl'«irréversibilité du temps est sans équivoque;on ne peut descendre deux fois sur un même fleuve»Marcel proust
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