La peau du mal

[SERVICE PRESSE].

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Dans la peau du mal de Corrine De Vailly, publié chez Les éditions du 38.

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Je remercie mon partenaire pour ce service presse incroyable.

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Mon résumé :.

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Douglas Rothstone collectionne les peaux de criminels dans un carnet de sa confection. Pour échapper à un esprit malveillant, il le confie à un ami, propriétaire d’un magasin, afin que celui-ci le dissimule. Niamh et Fingal Angus ont repris le magasin de curiosités de leur père décédé. Dans une Ecosse précaire et sombre, ils s’en sortent plutôt bien. Mais bientôt, les ruelles deviennent de vraies coupe-gorges et les voici devenus la cible de personnes prêtes à tout pour entrer en possession dudit carnet. Maël, le fiancé de Niamh, se charge de l’enquête. Une enquête périlleuse, dont l’issue pourrait s’avérer fatale.

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Douglas Rothstone, collectionneur de reliques de meurtriers, relate tous ses trésors dans un carnets faits de peaux prélevés sur des cadavres. Adepte de spiritisme, il panique lors d’une séance qui tourne mal et qui mutile gravement sa nièce de treize ans. Cherchant à cacher ce carnet, il le confie à son ami, propriétaire d’une magasin de curiosités. Des années plus tard, Rothstone revient récupérer le carnet. Mais le propriétaire est décédé et les enfants, qui ont reprit le magasin de leur père, n’ont aucune connaissance du fameux carnet.

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Niamh et Fingal sont frère et sœur. Très proches, Niamh est très protectrice avec son frère, qui se déplace en chaise roulante. Fiancée à Maël, détective, elle jalouse la relation de son frère avec Hella, qui tient la parfumerie et à qui elle ne fait pas confiance. Lorsque le magasin est vandalisé puis lorsque son frère disparaît, Niamh mettra tout en œuvre pour le retrouver, quitte à se mettre en danger. Ce que tout le monde ignore, c’est que Fingal a une capacité médiumnique insoupçonnée.

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Mon ressenti final :.

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Quel roman ! Je l’ai dévoré, complètement immergée dans cette Ecosse de 1800, sombre et mystérieuse.

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Le récit se déroule sur plusieurs années, à des instants différents, faits de moments immédiats et de retours en arrière. Le mélange des époques oblige le lecteur à être attentif pour ne pas perdre le fil des événements et franchement, j’ai jonglé avec les personnages sans en perdre une miette !.

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Les personnages sont tous incroyablement vivants. Douglas m’ait apparu d’abord intéressant puis intriguant pour ensuite me dégoûter par son attitude.

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Maël est tellement courageux et amoureux de Niamh, il est très touchant.

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Niamh, elle, est attendrissante quant à ses attitudes très maternelles avec son frère. Elle apparaît ensuite frondeuse et courageuse, lorsqu’il faut parcourir les bas-fonds à la recherche de son frère.

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Fingal est un personnage extrêmement abouti. Son handicap est présent mais semble être accessoire tant il fait parti intégrante du jeune homme. C’est difficile à expliquer mais ce fauteuil est comme le prolongement des caractéristiques de l’homme. Sans, il n’aurait probablement pas eu la même intensité.

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Que dire de l’ambiance pesante et sombre d’une Ecosse ravagée par la misère et le mysticisme permanent qui transpire de chaque paragraphe ? L’auteure a cette plume précise et inquiétante, graduée dans l’angoisse ou les descriptions destinées à nous embarquer dans cette aventure incroyable. Les séances de spiritisme sont explicites et vivantes, c’était très agréable et intéressant d’y assister, en tant que spectatrice-lectrice.

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A aucun moment, je n’ai ressenti longueur, ennui ou je n’ai perdu le fil de cette histoire qui m’a tenue en haleine.

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Ne laissez pas passer ce récit époustouflant.

Décevant.

Je suis une véritable adepte du style Steampunk et c'est donc avec un grand enthousiasme que j'ai commencé ce roman.

Si le prologue m'a plu, le reste lui, m'a vite fait déchanter. Plus j'avançais dans ma lecture et plus j'avais envie de refermer ce livre une bonne fois pour toutes.

C'est sombre, lugubre, malsain. Ce roman a une ambiance lourde et pesante. Et c'est dur de voir où l'auteure veut en venir avec tous ces chapitres qui n'ont aucuns liens entre eux.

Au final si la couverture est jolie, le livre, lui, ne présente pas grand intérêt.

Un roman qui se veut steampunk, mais mis à part quelques engins à classer dans cette catégorie, rien d'autre n'y fait allusion. Si l'histoire au final est plutôt intéressante, la narration fouillis et le style font que j'ai du me forcer à finir ce livre.