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La petite-fille



Description ajoutée par e_lecture 2023-01-18T09:16:34+01:00

Résumé

À la mort de son épouse Birgit, Kaspar découvre un pan de sa vie qu’il avait toujours ignoré : avant de quitter la RDA pour passer à l’Ouest en 1965, Birgit avait abandonné un bébé à la naissance.

Intrigué, Kaspar ferme sa librairie à Berlin et part à la recherche de cette belle-fille inconnue. Son enquête le conduit jusqu’à Svenja, qui mène une tout autre vie que lui : restée en Allemagne de l’Est, elle a épousé un néo-nazi et élevé dans cette doctrine une fille nommée Sigrun.

Kaspar serait prêt à voir en elles les membres d’une nouvelle famille. Mais leurs différences idéologiques font obstacle : comment comprendre qu’une adolescente, par ailleurs intelligente, puisse soutenir des théories complotistes et racistes ? Comment l’amour peut-il naître dans ce climat de méfiance et de haine ?

Cette rencontre contrariée entre un grand-père et sa petite-fille nous entraîne dans un passionnant voyage politique à travers l’histoire et les territoires allemands. Plus de vingt-cinq ans après Le liseur, Bernhard Schlink offre de nouveau un grand roman sur l’Allemagne qui sonde puissamment la place du passé dans le présent, et nous interroge sur ce qui peut unir ou séparer les êtres.

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Classement en biblio - 43 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Kura-kura 2023-03-22T11:15:21+01:00

C’est la grande consolation de ma vie : si nombreuses que soient les choses que je ne suis pas, dans ma vie, et les choses que je ne suis pas pour toi, je suis suffisamment pour être jusqu’à ce jour aimé par toi

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Sombre_grimoire 2025-02-28T09:07:38+01:00
Bronze

Une lecture fluide et plaisante.

Nous sommes dans un contexte historique encore compliqué après la seconde guerre mondiale. C'est un roman qui retrace un parcours familial à travers Kaspar qui découvre tout un pan de l'histoire de sa défunte femme au sein de la RDA et veut accomplir ce qu'elle souhaitait faire, mais avait trop peur pour.

C'est une belle histoire, touchante et prenante. Le style de l'auteur rend le tout agréable et fluide.

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Commentaire ajouté par Boxine 2024-07-27T12:03:11+02:00
Or

Bonjour,

L'Allemagne : la RDA, RFA et de la réunification, mais aussi celui du régime nazi. Des blessures pas encore totalement refermées, comme en témoigne ce roman mêlant un passé qui continue de diviser et un présent où l'idéologie nazie semble encore bien vivante…

Il a retenu tout mon intérêt.

Une belle relation touchante entre deux générations.

A vous...

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Commentaire ajouté par Eclairdelune 2024-07-11T17:43:13+02:00
Argent

Bernhard Schlink réveille les vieux fantômes de l'Allemagne.

Celui de la RDA et de la réunification, mais également celui du régime nazi.

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Commentaire ajouté par HundredDreams 2024-01-27T21:19:11+01:00
Argent

J'avais envie de lire depuis un moment « La petite-fille » de Bernhard Schlink, pour découvrir la plume de cet auteur mais, avant tout, pour son contenu historique. En effet, le lecteur voyage dans l'histoire allemande : j'ai été transportée des décennies en arrière, au temps de la guerre froide et de la division de l'Allemagne, puis de la chute du mur et de sa réunification.

*

Le narrateur de ce récit est Kaspar, un septuagénaire berlinois cultivé et sensible, qui tient une petite librairie. Après le décès tragique de sa femme Birgit, l'homme fait du tri dans ses affaires personnelles et ses cahiers remplis de poèmes. Il trouve aussi une ébauche de récit autobiographique commencé plusieurs années auparavant. Sa lecture est un choc car en entrant dans l'intimité de sa femme, il apprend qu'en fuyant la RDA en 1964 pour le rejoindre en Allemagne de l'Ouest, Birgit lui a caché l'existence de sa fille, abandonnée quelques semaines avant leur rencontre.

Ce secret bien caché lui révèle une facette de la personnalité de Birgit. Sous ses airs rêveurs et peu loquaces, sous son attitude distante et son besoin de liberté, se dissimulait une femme meurtrie qui souhaitait au fond de son coeur retrouver son enfant, mais qui avait aussi affreusement peur d'être rejetée.

Sa femme rêvant de renouer avec sa fille sans jamais oser franchir le pas, il décide de répondre à son souhait et de partir à sa recherche. Dans cette quête, il finit par retrouver à la fois Svenja, désormais adulte, mais aussi sa petite-fille, Sigrun.

Il s'attache très vite à cette enfant de 14 ans élevée dans les idéaux völkisch.

*

Dans la première partie du livre, nous lisons avec Kaspar le manuscrit de Birgit : nous apprenons qui était réellement cette femme discrète, partagée entre son envie de vivre libre, sa douleur d'avoir abandonné son enfant et la nostalgie de son pays. Cette lecture est difficile pour le vieil homme qui était heureux auprès de Birgit et qui se rend compte que ce bonheur n'était peut-être pas réciproque.

Sa vie avec Birgit avait-elle été réelle ou un mensonge ?

La seconde partie est très différente : se dessine une nouvelle partition du temps, où les visites de Birgit chez le vieil homme brisent sa solitude et mettent à distance son chagrin.

C'est la rencontre entre un grand-père et sa petite-fille, mais également la rencontre entre deux univers contraires. Avec sagesse et patience, tact et tolérance, Kaspar essaie de nouer une relation étroite avec Sigrun, de la faire entrer dans son monde, de lui ouvrir l'esprit, de développer son esprit critique sans jamais lui imposer sa façon de penser.

*

L'écriture de Bernhard Schlink est à la fois tendre et profonde, prenante et délicate, sobre et lyrique. L'auteur a su développer des portraits authentiques et réalistes tout en les replaçant dans leur époque. Il a fait de Kaspar un personnage sympathique, attachant et généreux, réfléchi et sensible ; et de Sigrun, une jeune adolescente intelligente et réfléchie, mais pétrie de préjugés, de clichés et de méfiance.

En entremêlant étroitement destins individuels et histoire allemande, Bernhard Schlink a bien retranscris les liens précieux et fragiles entre les grands-parents et les petits-enfants.

Mais de manière plus pénétrante et subtile, il a également mis l'accent sur deux visions du monde en opposition : entre Kaspar et la famille de Sigrun se dessine une Allemagne fracturée dans laquelle les relations sociales et les modes de vie sont si différents qu'ils laissent la place à l'amertume, au ressentiment.

On sent alors combien les différences et les blessures sont profondément ancrées, le temps sera nécessaire pour construire une identité historique, culturelle, sociale et nationale communes.

« Qu'est-ce que je ferais si du jour au lendemain je devais renoncer à ma vie passée et en commencer une nouvelle ? »

*

Vous avez bien compris que cette rencontre est aussi un voyage dans le passé. Il est question de politique, d'idéologie nationaliste et de la perception des étrangers ; de passé nazi, de mémoire historique, de responsabilité morale et de négationnisme ; d'empreintes laissées par la RDA et de nostalgie d'une époque révolue, de besoin de reconnaissance et de résilience.

« Quand j'écoute Bach, j'ai le sentiment que la musique contient tout, le léger et le lourd, le beau et le triste, et qu'il les réconcilie. »

En initiant sa petite-fille à l'art, en lui ouvrant le monde des livres et de la musique, en l'accompagnant dans sa visite du camp de Ravensbrück, Kaspar lui ouvre les yeux face à la réalité des camps de concentration, la responsabilité des allemands face à l'Holocauste ou encore la diabolisation et la haine des étrangers et en particulier des juifs.

« Il n'y a qu'une vérité. Elle n'appartient ni à moi ni à toi. Elle est simplement là. Comme le soleil et la lune. Et comme la lune elle n'est parfois visible qu'à moitié et elle est pourtant ronde et belle. »

Si j'ai trouvé parfois une simplification un peu trop manichéiste des personnages, petit bémol qui n'engage que moi, l'arrière-plan politique et historique est particulièrement marquant, tout en retenue et en sobriété. Et les dernières lignes sont magnifiques de pudeur.

Un beau roman de transmission baigné de musique et de littérature, doux et respectueux, émouvant et très bien écrit.

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Commentaire ajouté par MrsNorthLit 2023-10-09T14:47:15+02:00

J’ai lu le dernier roman de Bernhard Schlink aux éditions Gallimard. Vous savez l’auteur de ce roman à succès dont il a d’ailleurs été tiré un film, “Le liseur” ?

Bonjour, bonjour,

Autant j’avais aimé “Le liseur” qui était pourtant un sujet fort et sensible, autant cette fois, je n’ai pas su apprécier La petite fille. Le style de Bernhard Schlink, assez particulier au demeurant parce qu’assez lent notamment, m’a cette fois dérangée au point de ne pouvoir apprécier l’intrigue de ce dernier roman.

Kaspar, sexagénaire berlinois, est un tranquille libraire. Lorsque Birgit son épouse décède, le passé ressurgit. Kaspar découvre qu’en 1965 au moment de s’enfuir de la RDA, Birgit a laissé une enfant dont elle n’a jamais parlé. Le vieil homme décide de retrouver cette enfant maintenant femme et elle-même mère d’une adolescente, Sigrun.

Il ne sait pas alors qu’il va être confronté au néo-nazisme et devoir déjouer tous les préjugés et le fanatisme pour découvrir la vraie Sigrun.

Là où il y aurait dû y avoir une belle rencontre entre un homme et celles auraient pu être sa fille et sa petite-fille, je n’ai trouvé qu’un compte-rendu froid et détaché. Le développement de l’intrigue est plat, sans relief alors que les situations décrites qui sont de l’ordre de la relation humaine, de l’amour d’un homme pour des êtres qui auraient pu être les siens.

Si le roman a pour intérêt de décrire les années noires de l’Allemagne divisée, les années du mur de Berlin, les impacts sur la politique allemande contemporaine, la montée de l’extrême droite, cette image qui nous est livrée froide et grisâtre. Peut-être parce que l’on est dans un roman et que l’on s’attend à autre chose de plus dynamique. Ici pèse comme une espèce de chape de plomb, comme un documentaire dont la voix off finit par vous perdre en route. Là où le sujet et la période historique choisie sont excellents, le style littéraire de ce roman ne m’a pas convaincu et je n’ai donc pas su apprécier ce roman.

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Commentaire ajouté par LaMirandole 2023-10-03T11:18:45+02:00
Or

Un homme découvre à la mort de sa femme l’existence d'une fille et d'une petite-fille avec qui il va essayer de créer des liens. Elles vivent toutes les deux en ex-RDA et véhiculent des idées d'extrême-droite et lui serait plutôt dans le camp adverse. Encore le souvenir et le traumatisme liés à l'histoire de l'Allemagne chez cet auteur admirable. Un style très introspectif et introverti. Cet homme de 70 ans arrive encore à se poser des questions autour de la transmission des valeurs. Comment sauver sa "petite-fille" ?

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Commentaire ajouté par Anne-Elisabeth 2023-09-28T20:20:49+02:00
Argent

Roman.

L'histoire se passe en Allemagne, surtout à Berlin. Tout d'abord avant la réunification de l'Allemagne.

Kaspar apprend à connaître sa petite-fille alors qu'elle a déjà 14 ans. Très vite, Sigrun se rapproche de son grand-père et apprend à réfléchir différemment.

Je recommande la lecture de ce livre.

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Commentaire ajouté par Kiki1744 2023-09-13T21:11:28+02:00
Or

" La petite fille" c'est Sigrun de Kaspar.

Kaspar est le mari de Birgit, passé clandestinement de Berlin Est à Berlin Ouest en 1965.

Mais Birgit en prise avec l'alcool et dépressive se donne la mort.

Birgit avait le mal du pays,la RDA et même dans une Allemagne unifiée,elle ne se sentait pas bien dans sa nouvelle vie. Animée de projets d'écriture,elle n'arrivera jamais à ses fins tellement elle est tourmentée.

En lisant des écrits laissés par Birgit, Kaspar découvre des pans entiers de la vie de sa femme en RDA et notamment qu'elle y a abandonné sa fille, bébé.

Commence alors pour Jasper une quête qui le conduit à la fille puis à la petite fille

Le roman commence par ce suicide et l'histoire de Kasper et Birgit,pour découvrir dans une deuxième partie l'histoire de Birgit que Kaspar lit et terminer par les relations compliquées mais tendres entre Sigrun et lui car elle est animée de l'idéologie d'extrême droite qui a succédé au socialisme en RDA. Comment peut-il contribuer à la faire changer de trajectoire ? En l'ouvrant sur le monde même si , politiquement,Sigrun se le refuse en répétant encore et toujours les discours entendus.Une troisième partie rend la relation entre Sigrun et son grand-père encore plus proches et fusionnelles au point que les convictions de Sigrun sont ébranlées.La fin est optimiste et pleine d'espoir pour Sigrun,devenue jeune adulte

Comment Kaspar peut-il entretenir des relations saines et durables avec Sigrun et ses parents ?Il choisit d'aimer envers et contre tout et tous,sa petite fille aussi en mémoire de Birgit et les livres et la musique font le reste.

Encore un beau roman de Bernhard Schlink,sur la difficile existence des allemands de l'est dans une Allemagne unifiée, annexée par l'Allemagne de l'Ouest, complètement perdus dans cette société qui les broie. Les relations de Kaspar avec sa nouvelle famille les éloigne autant qu'elles les rapprochent et Sigrun en est le centre de gravité.

C'est bien écrit et le livre soulève davantage de questions qu'il n'apporte de réponses.

C'est en cela sa force.

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Commentaire ajouté par Kura-kura 2023-03-28T02:51:34+02:00
Lu aussi

Je viens d’en terminer avec « La petite fille », et l’ennui qui m’a accompagné au début, ne m’a quitté que quelques pages, arrivée presque à la fin. Et finalement, le dénouement ne me plaît même pas. La politique de l’Allemagne ne m’attire pas et je ne m’attendais pas à trouver ça dans cette lecture. Très déçue.

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Commentaire ajouté par ceaime2B 2023-03-08T18:00:29+01:00
Diamant

Heureux ceux qui n'ont pas encore lu ce livre;

car pour eux, le meilleur est à venir.

Ceci est mon commentaire!

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Date de sortie

Sortie récente

"La petite-fille" est sorti 2024-10-03T06:02:24+02:00 en version poche
background Layer 1 03 Octobre

Dates de sortie

La petite-fille

  • France : 2023-02-09 (Français)
  • France : 2024-10-03 - Poche (Français)

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