Ajouter un extrait
Liste des extraits
Osar Wilde: "Si une personne ne prend pas plaisir à lire et relire un livre, autant qu'elle ne le lise pas du tout".
Afficher en entier"Spoiler(cliquez pour révéler)Oh,tu vas finir par la fermer, Tignasse! S'écria-t-il soudain, changeant de ton. Je suis en train de te séduire pour de vrai, alors laisse toi charmer, bon sang!
Afficher en entier- Arrête de faire l'idiote, Tignasse ! intervint-il. (Et il la bouscula pour passer.) Ils vont descendre ton vieux canapé et tes fauteuils, et les porter dans le salon de thé, puis monter ceux de Lavinia à l'étage. Ils sont bien plus confortable que les tiens. La dernière fois que je me suis assis dans ton salon, j'ai failli me faire sodomiser par un ressort distendu.
Il y avait bel et bien un ressort casse, et Sam et elle savaient pertinemment où il se trouvait et comment l'éviter.
Afficher en entierChaque roman promettait à son lecteur, quels que soient les épreuves et les tourments que la vie lui avait infligés, qu’il pourrait encore trouver un être à qui s’unir.
Afficher en entierPeut-être que les mots imprimés sur le papier correspondraient à ceux que le lecteur avait entendu résonner dans son âme, mais n’avait jamais eu le courage de proférer à haute voix.
Afficher en entierParce que toi, tu sais mieux que personne qu'une librairie est un endroit magique et que tout le monde a besoin d'un peu de magie dans sa vie.
Afficher en entierSi je sais une chose, c'est que l'on ne peut pas miser sur le succès d'une entreprise si l'on n'y met pas de la passion.
Afficher en entierElle n'est pas encore prête Sébastian. Elle hiberne toujours. Elle est comme égarée, mais je connais une façon de la faire revenir à elle , et une fois qu'elle se sera trouvée, alors elle te trouvera.
Afficher en entierDans la lettre que Lavinia écrit à sa très chère Posy, elle cite :
" Parce que toi, tu sais mieux que personne qu'une librairie est un endroit magique et que tout le monde a besoin d'un peu de magie dans sa vie ".
Afficher en entierIl était inutile d'expliquer à Sebastien le plaisir que l'on pouvait éprouver à ouvrir un livre tout neuf et à en humer l'odeur. Ou à s'épancher sur le parfum poudreux et terreux qui émanait des vieux ouvrages. Ou d'évoquer le réconfort qu'apportait le poids d'un roman sur vos genoux, ou encore combien il était agréable de voir les pages s'humidifier légèrement et se gondoler quand vous lisiez dans votre bain. Cela dépassait son entendement.
Afficher en entier