Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 649
Membres
1 013 251

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

La prairie avait changé d'aspect. Elle était jaune foncé, presque brune, à présent, et des trainées rouges de sumac la zébraient. Le vent se lamentait dans les hautes herbes ou murmurait tristement dans l'herbe à bison, courte et bouclée. La nuit, le vent prenait les accents d'un homme en pleurs.

Afficher en entier

"C'est ainsi qu'ils abandonnèrent la petite maison de rondins. Les volets, posés sur les fenêtres, empêchèrent la petite maison de les regarder partir."

Afficher en entier

Ils firent un merveilleux dîner.

Ils prirent place près du feu de camp et se régalèrent de la viande tendre, savoureuse, parfumée, jusqu’à ce qu’ils ne puissent plus rien avaler. Quand enfin Laura reposa son assiette, elle poussa un soupir de contentement. Il n’y avait plus rien au monde qu’elle désirât.

Les dernières couleurs s’évanouissaient dans le ciel immense et toute la plaine se couvrait d’ombres.

La chaleur du feu paraissait agréable, car le vent de la nuit était frais. Les phébés s’appelaient d’une voix triste, dans le bois, au bord de la rivière. On entendit quelque temps un oiseau moqueur chanter, puis les étoiles parurent une

à une et les oiseaux se turent

Afficher en entier

- Des Indiens! souffla Marie.

Laura était toute tremblante. Elle éprouvait une bizarre sensation au niveau de l'estomac, en même temps qu'une faiblesse dans les jambes. Elle avait envie de s'asseoir. Elle tenait pourtant à rester debout pour voir ces Indiens réapparaître. Les Indiens ne réapparurent pas.

Afficher en entier

Durant les longues soirées d'hiver, il évoquait, pour Maman, les régions de l'Ouest. Là-bas se déroulaient d'immenses plaines et il n'y avait pas d'arbres. L'herbe y poussait haute et drue. Les animaux sauvages les parcouraient en tous sens et s'y nourrissaient comme s'ils se trouvaient dans un pâturage dont l'oeil de l'homme ne pouvait pas distinguer les limites ; et il n'y avait pas de fermiers.

Afficher en entier

C'est ici même que nous construirons notre maison.

Laura et Marie jouèrent des pieds et des mains pour enjamber la mangeoire et elles se laissèrent glisser jusqu'à terre. Tout autour d'elles, il n'y avait plus que la prairie d'herbes hautes, qui s'allongeait à l'infini.

Afficher en entier

Durant les longues soirées d'hiver, il évoquait, pour Maman, les régions de l'Ouest. Là-bas se déroulaient d'immenses plaines et il n'y avait pas d'arbres. L'herbe y poussait haute et drue. Les animaux sauvages les parcouraient en tous sens et s'y nourrissaient comme s'ils se trouvaient dans un pâturage dont l'oeil de l'homme ne pouvait pas distinguer les limites ; et il n'y avait pas de fermiers. Seuls, les Indiens y vivaient.

Afficher en entier

Il y a très longtemps, quand tous les grands-pères et toutes les grands-mères n'étaient que des petits garçons ou des petites filles, ou même de très petits bébés, s'ils étaient déjà nés, Papa, Maman, Marie, Laura et bébé Carrie quittèrent la petite maison où ils vivaient, dans les grands bois du Wisconsin.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode