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La Philosophie dans le boudoir



Description ajoutée par elisabeth-faubant-lila 2009-09-19T15:34:45+02:00

Résumé

La Philosophie dans le boudoir ou les instituteurs immoraux, portant en sous-titre "Dialogues destinés à l’éducation des jeunes filles", est probablement une des oeuvres majeures de Sade. L’histoire narre l’éducation érotique, sur une journée, d’une jeune fille, Eugénie de Mistival, que Mme de Saint-Ange et le chevalier de Mirval, son frère, vont initier à toutes les facettes de la luxure et de la gymnastique de l’esprit, aidés du sodomite Dolmancé et d’un garçon jardinier, Augustin. Composé sous la forme de sept dialogues entrecoupés de discours sur la liberté, la religion, la politique, la morale, La Philosophie dans le boudoir offre au lecteur, en un volume, la palette des possibles offerts par la lecture de Sade : la luxure outrancière et illimitée (jusqu’au crime), le discours (philosophie et politique) insurrectionnel et illuminé, pour l’avènement d’hommes naturels jouissant sans entraves. oeuvre composite (le cinquième dialogue "Français encore un effort..." dans lequel Sade justifie ses paradoxales opinions révolutionnaires était, sans doute, à l’origine, destiné à une publication indépendante), mais oeuvre complète, La Philosophie dans le boudoir est à l’adresse de ceux que la volupté et le sort de vivre en étant pleinement n’effraient pas car « ce n’est qu’en sacrifiant tout à la volupté, que le malheureux individu connu sous le nom d’homme, et jeté malgré lui sur ce triste univers, peut réussir à semer quelques roses sur les épines de la vie ».

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Classement en biblio - 324 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par x-Key 2011-01-01T16:16:45+01:00

La cruauté, bien loin d'être un vice, est le premier sentiment qu'imprime en nous la nature ; l'enfant brise son hochet, mord le téton de sa nourrice, étrangle son oiseau, bien avant que d'avoir l'âge de raison.

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Commentaires les plus appréciés

Diamant

Un ramassis de dépravations ? C'est ne pas avoir pris le temps de lire réellement l'oeuvre . C'est ne pas avoir lu ces grandes pages philosophiques , cruelles et tellement justes. C'est ne pas s'être intéressé à cette mère qui devient le jouet de la vengeance de la fille , ne pas voir que sade déconstruit les grandes figures sacrées de la mère et de la fille . Et surtout de ne pas avoir réussi à recaser l'oeuvre dans son contexte historique ! Bref... et mettre un livre à la poubelle ...

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Or

Un sublime récit philosophique doublé d'un roman libertin (= au sens qu'il lui était donné du XVIIIème siècle, bien entendu). Je crois qu'il ne faut pas crier trop vite au scandale mais se pencher plus avant sur cette œuvre qui renferme des petits bijoux de réflexion.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par IndusMax 2023-04-27T18:44:21+02:00
Bronze

Ben c'est du Sade.... C'est à vous de voir (mais juste voir...).

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Commentaire ajouté par Alasca 2022-12-18T16:42:08+01:00
Lu aussi

Par curiosité, je souhaitais lire au moins une fois dans ma vie un livre de Sade, dont on entend beaucoup parler, souvent en mal.

Il me semble que celui-ci est l'un des plus soft de son répertoire. Pour la forme, ce livre est écrit en plusieurs dialogues, sous la forme d'une pièce de théâtre, avec des didascalies.

Sans véritable surprise, je n'ai pas aimé. Certes Sade écrit des scènes pornographiques très crues (chose assez fréquente à l'époque) mais il glisse des réflexions philosophiques, questionne la religion et son obscurantisme, la société et la place de l'homme tout au long de son récit. Sade raconte l'éveil à la sexualité d'une jeune femme, la revendication de son plaisir et la connaissance de son corps (si on arrive à mettre de côté qu'elle a 15 ans, Madame de Saint-Ange 26, son frère 20 et Dolmancé 36 !) et apologie de l'homosexualité.

Je ne regrette pas ma lecture mais je ne la conseillerai qu'a un public averti et conscient de ce qu'il s'apprête à lire.

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Commentaire ajouté par RMarMat 2022-09-25T09:49:22+02:00
Bronze

Spoiler(cliquez pour révéler)Le sadisme… terme issu du nom de l’auteur de la philosophie dans le boudoir dont je viens de finir la lecture fait son entrée dans le Dictionnaire Universel de Boiste, en 1834, soit 20 ans à peine après la mort du Marquis. Le dictionnaire de Boiste définit le sadisme par ces mots : « Aberration épouvantable de la débauche, système monstrueux et antisocial qui révolte la nature ». En 1886, le terme est usité pour la première foi en psychologie pour décrire une pathologie désignant une perversion sexuelle (bastonnade, flagellation, humiliation physique et morale), qui fonctionne sur le mode « de satisfaction lié à la souffrance infligée à autrui ».

En toute honnêteté, si tu n’as pas fait quelques recherches et acquis quelques connaissances sur le libertinage tel qu’il était pratiqué et défini à l’époque du Marquis de Sade, tout en remettant ce texte « philosophique de boudoir » (j’écrirai volontiers aujourd’hui, philosophie de comptoir, de bordel) dans le contexte et l’esprit de la révolution française, que ce livre serait, très vite, devenu au bout de quelques pages, abject, horrible et immorale à n’importe qui quelque peu sensé, raisonnable et Humain.

Passons sur les tableaux arrangés par Dolmancé, où Madame de Saint Ange, le chevalier et autres valets, à deux, trois, quatre, cinq, six se flagellent, s’enculent, se pénétrant, déchargent communément dans tous leurs trous avec la fréquence et la rapidité d’un geyser. De la scatologie, du foutre dans l’unique but d’éduquer la jeune Eugénie, gamine de 15 ans, ignorante qui, à peine sortie du couvent mais pleinement révoltée contre l’éducation que lui a donné sa mère - et sans doute, fasciné par le libertinage entretenu de son père - devient en quelques heures la plus exaltée des libertines.

Vierge, la voilà qui ne l’est plus très vite ! Même si par dégoût et refus de la maternité, elle préfère se faire enculer avant finalement de se faire littéralement forcé par le frère de madame de Saint Ange. De tout ça, elle en redemande, de façon aussi soumise que les actrices des plus mauvais pornos des années 1980. Il n’y a rien d’érotique dans ses pages. Le vocabulaire est pauvre, les descriptions lapidaires et les postures répétitives. Bref, il n’y a pas de quoi enflammé l’imagination… la mienne ou celle de plus jeunes étalons !

Mais entre deux scènes de sexe, ne passons pas sur les grands discours « philosophique de ses personnages fallacieux et sulfureux. Puisque chez Sade, la liberté du corps et celle de l’esprit sont étroitement lié, nos philosophes vont déconstruire toutes les certitudes d’Eugénie en matière de politique, morale, pudeur, liberté, religion, mariage, respect dû à la famille et aux géniteurs ; à la manière de la révolution qui a balayé la monarchie et tous les despotismes qui y étaient liés. C’est encore à travers l’essai lu par Dolmancé "Français, encore un effort si vous voulez être républicains" que Sade justifie les actes et les dogmes de la révolution et de ses héros libertins. C’est aussi pour légitimer leurs comportements - mais après tout à chacun ses goûts, ses choix et ses préférences sexuelles si elles ne sont pas imposés mais partagés et consentis – que nos libertins invoquent à tout bout de champs le fait de copier la nature, notamment la faune et ses instincts animales qui seraient ainsi la seule voie à suivre et à imiter pour vivre dans une société libérée de toutes contraintes morales, physiques et communautaires. Ou pour faire plus court, point de vie possible hors du crime et du péché . C’est à peine si le chevalier contredit sans réel conviction certaines excès et outrances de Dolmancé ! Ils en oublient presque que l’Homme est doué de réflexion de conscience ce qui lui permet de faire la part des choses entre le bien et le mal, de vivre ensemble. Sans compter que cette nature dont ils se sentent si proche dans leur débauche, propose de nombreux autres choix. Copier la nature pour justifier le meurtre, l’inceste, le viol… Le fait que tout serait permis puisque la nature le permet m’a vraiment dérangé à la longue et à force de répétition.

Je me suis contraint à finir cette lecture… jusqu’à l’apothéose de cette permissivité… Le fait le plus abject du libertinage prôné pas Dolmancé et ses disciples ; et du sadisme pur puisque Eugénie en conclusion de son « éducation » devient le bourreau de sa mère au prétexte de se venger de l’éducation reçue de celle-ci dans une scène autant invraisemblable qu’insupportable de cruauté à imaginer !

Au final, faire souffrir, forcer l’autre gratuitement à la seule fin de se donner du plaisir, jouir égoïstement voilà une bien triste philosophie, très primaire. Enfin... je ne suis pas convaincue qu’au siècle des lumières celles de SADE ait "positivement" éclairé l'Humanité. Alors me diriez-vous, quel intérêt de lire ce livre. Sans doute pour comprendre, pénétrer – si je peux me permettre – la pensée de Sade… qui tout en prônant la tolérance et la liberté et une certaine idée de l’émancipation de la femme et des entraves que la société lui imposait depuis des siècles prêche la recherche égoïste du plaisir au détriment de l’autre pour à mon sens imposer une nouvelle forme d’oppression et de soumission notamment de la femme… Bref, une autre époque !! qui définie mes limites de "l'acceptable".

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Lu aussi

Bien que l'auteur possède une vision des choses... vraiment particulière, il n'en reste pas moins que certains points qu'il soulève sont tout à fait intéressant. Sa façon d'amener les choses peut être déconcertante, mais il possédait malgré tout des opinions bien tranchées et son implication lui aura par ailleurs couté aussi cher que ses déviances. Je le recommanderais juste parce que ce n'est pas toujours ce à quoi on peut s'attendre.

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Pas apprécié

Je n’ai pas aimé du tout, trop vulgaire, trop sale trop tout en fait. Il réduit l’amour à de la « baise » salace et des choses comme le viol, l’adultère, la tromperie ou même l’abus des autres deviennent insignifiants et pas grave. Le marquis de Sade a passé une grande partie de sa vie en prison mais on comprend pourquoi. Ses pratiques et ses idées ne correspondaient pas du tout à son époque. Même ses enfants l’ont renié.

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Pas apprécié

Alors que la tendance Mommy Porn explosait il y a quelques années avec 50 Nuances de Grey, donnant un coup de fouet à la littérature érotique, d'autres romans de ce type eux avaient déjà leur place dans la postérité. Il en va ainsi des écrits du Marquis de Sade, auteur ô combien polémique en son temps et qui aura passé une bonne partie de sa vie en prison.

Provocateurs et vulgaires, les romans du Marquis ne sont pas pour autant dénués de fond. Hum, sans jeu de mots (ou presque). La Philosophie dans le Boudoir est l'un de ses plus connus. Sous forme de dialogues nous assistons-là à ni plus ni moins que l'éducation (libération ?) libertine d'Eugénie, jeune ingénue pas si ingénue, par une équipe de libertins. Ils prennent la chose très au sérieux et vont tous s'y mettre gaiement.

Sous couvert d'un texte érotique outrageant, le Marquis de Sade se livre à travers les dialogues de ses personnages à une violente critique d'une société où la plupart des droits qui nous paraissent acquis aujourd'hui ne l'étaient absolument pas.

Alors oui, des textes des Lumières sur la liberté, les droits de l'Homme ou encore les privilèges, il y en a toute une flopée. Voltaire, Diderot, Laclos, Montesquieu, Rousseau... pour ne citer qu'eux, tous se sont livrés à leur manière à une sévère critique de la société et de son organisation. Pour autant, le Marquis de Sade se démarque considérablement de ses confrères par ses textes beaucoup plus crus. Et tout y passe. Si Eugénie est retournée dans tous les sens "dans son intérêt" et pour parfaire son éducation, la société l'est aussi (pas de la même manière certes).

Pour autant, j'ai trouvé ce texte dérangeant, sûrement la volonté de l'auteur, et pas forcément utile dans la démarche. Pour le coup, je trouve que la dimension provocatrice a pris bien trop le dessus sur le fond. J'ai déjà lu Justine ou les malheurs de la vertu et je n'ai pas souvenir d'avoir été aussi mal à l'aise ou choquée. Au contraire, je trouvais qu'il permettait de comprendre ce qu'était son auteur et son regard sur la société en nous confrontant aux pires facettes de l'Homme. Derrière toute une série d'actes plus immondes les uns que les autres se cachait une réelle réflexion sur son époque et sa société.

Avec La Philosophie dans le Boudoir, on comprend que l'intention est la même, c'est même en quelque sorte un résumé de sa pensée. Mais... Pas un bon résumé. Je l'ai trouvé ennuyeux et c'est à peine si j'ai réussi à le terminer. Certes, ce roman nous pousse à nous interroger mais, à mon sens, il y a en d'autres qui le font avec autant de pertinence et bien mieux.

Conclusion

Adepte des classiques et n'ayant pas peur des lectures plus crues, La Philosophie dans le Boudoir ne m'a pas convaincue. S'il est important de resituer le roman dans son époque pour comprendre l'intention de l'auteur, il n'en reste pas moins que je ne l'ai pas apprécié et bien entendu, il ne s'agit pas d'un roman à mettre entre toutes les mains, en particulier les plus jeunes !

https://flowerpanda04.wixsite.com/pandaflower/single-post/la-philosophie-dans-le-boudoir-du-marquis-de-sade

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Commentaire ajouté par Polyn 2020-08-08T12:59:23+02:00
Lu aussi

Lecture assez dérangeante.

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Commentaire ajouté par Belami77 2020-07-06T22:37:10+02:00
Pas apprécié

Une lecture décevante et insipide !

La pornographie qui occupe une large partie du livre est consternante de pauvreté et de bassesse. Quel déficit d’imagination et de poésie !!

Le discours philosophique insurrectionnel qualifié d’athéisme anticlérical venant en pointillé et qui tombe, à chaque fois, comme un cheveu sur la soupe n’a d’intérêt que de mieux connaître la pensée du marquis de Sade.

Ses propos amoraux, anormaux, licencieux trouvant justification à tout même le pire ne pouvaient que lui valoir d’être mis hors jeu de la vie en société, de passer 27 années de sa vie en prison et de la finir dans un asile. On se demande d’ailleurs comment il réchappa, pendant La Révolution, à la guillotine : probablement parce que bien qu’inquiétant, son discours n’était pris au sérieux par personne.

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Or

J'ai été surprise d'apprécier cette lecture loin de celles que je pratique habituellement!!! Il est toujours jouissif de temps à autre de lire un classique car le style est bien différent des livres actuels et le maniement du français bien meilleur ( même si cela demande un gros efforts) Pour ce récit, j'ai apprécié que Sade dénote l'aspect psychologique de la situation sur la violence physique. Le thème principal est celui de l'inceste. C’est du Sade, le côté sombre des lumières : un personnage qui ne laisse personne indifférent.

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Commentaire ajouté par Ange999 2019-10-17T17:30:37+02:00
Diamant

Je ne suis repenchée sur le plus sulfureux des écrivains. Sade est un vrai écrivain, avec un style, un univers, une vision du monde et une philosophie. Son immense talent est incontestable.

Se contenter d'un jugement moral ne présente pas le moindre intérêt. Certes, Sade était un dégueulasse, et sa dégueulasserie transpire de toutes les lignes de sa vie et de son oeuvre, cela ne veut pas dire qu'il faille le bâillonner, le refuser, et faire comme s'il n'avait jamais existé. Son existence, son oeuvre, sa philosophie, son amoralité érigée en véritable projet politique et même métaphysique, doivent être comprises, analysées, décortiquées. Il ne faut pas se polariser sur la partie "sexuelle" de l'ouvrage, fort développée et fort instructive, en dépit de son extravagance et (parfois) de son manque de réalisme ( nos ancêtres avaient déjà tout inventé dans ce domaine !!! ) l'essentiel est ailleurs, et ce qu'il y a d'extraordinaire avec le " Divin Marquis", c'est qu'il est aujourd'hui aussi inacceptable pour les bien-pensants (apologie de l'inceste, de la pédophilie, de la cruauté...) qu'il l'était il y a deux cents ans, mais pour d'autres raisons (athéisme enragé et revendiqué, remise en question de tous les pouvoirs, apologie de l'homosexualité à une époque ou cela pouvait vous conduire en prison, proclamation du droit des femmes à disposer librement de leur corps, et de ce fait conduire à l'avortement, voire à l'infanticide...) autrement dit ce que nos bien-pensants trouveraient exemplaire et visionnaire dans son oeuvre (athéisme, liberté sexuelle, condamnation de la peine de mort) voisine à chaque page avec des idées qu'aucun écrivain d'aujourd'hui n'oserait exprimer, et aucun éditeur publier. Il est donc aussi subversif qu'en son temps, ...à lire et à relire, car cet ouvrage est écrit dans un français admirable de clarté et d'élégance. Le "Divin Marquis" n'a, en définitive, pas laissé grand-chose de vraiment nouveau à dire pour ses successeurs !!!

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Date de sortie

La Philosophie dans le boudoir

  • France : 1999-11-17 - Poche (Français)

Activité récente

Titres alternatifs

  • La Philosophie dans le boudoir ou les Instituteurs immoraux - Français

Évaluations

Les chiffres

lecteurs 324
Commentaires 37
extraits 15
Evaluations 70
Note globale 6.96 / 10

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