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La plus douce des attentes / Une indomptable passion



Description ajoutée par Gkone 2012-09-04T18:45:03+02:00

Résumé

La plus douce des attentes, Helen R. Meyers

Lorsque Lyon Teague la demande en mariage, Hope sait très bien que celui-ci n’agit que pour lui éviter la terrible situation de mère célibataire. Une proposition qui n’a donc rien de romantique, mais qu’elle s’empresse néanmoins d’accepter pour le bien de son futur bébé. Pourtant, alors que les jours passent, elle prend conscience que les sentiments qu’elle éprouve à l’égard de son tout nouveau mari vont bien au-delà de la simple amitié. Une découverte qui la bouleverse, car si Lyon ne semble pas insensible à ses charmes, il lui a aussi fait clairement comprendre qu’entre eux, il ne sera jamais question d’amour…

Une indomptable passion, Brenda Jackson

Je n’ai rien à t’offrir qu’une histoire sans lendemain… En dépit de l’avertissement que lui a lancé Duan Jeffries lors de leur première rencontre, Kimani est incapable de résister à l’incroyable désir qu’elle éprouve pour cet homme terriblement sexy. Un désir qui débouche bien vite sur une liaison aussi intense que passionnée. N’est-ce pas ce qu’elle cherche elle aussi, une simple aventure qui la laisse libre de toute attache et de tout engagement ? C’est du moins ce qu’elle croyait, car très vite elle s’aperçoit qu’elle veut plus, bien plus que quelques moments de plaisir entre les bras de Duan…

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Classement en biblio - 17 lecteurs

extrait

Prologue

– Peux-tu me donner les clés du pick-up, s’il te plaît ?

Comme Hope Alessandro Harrell s’y attendait, son fiancé, Wills Nichols, écarquilla de grands yeux injectés de sang et rejeta la tête en arrière.

– Tu ne vas pas me faire une scène, hein, chérie ? dit-il, un sourire sardonique au coin des lèvres.

Hope refoula avec peine les larmes d’humiliation qui lui brouillaient la vue.

– Tu t’es assez donné en spectacle pour ce soir, répliqua-t–elle en baissant la voix afin de ne pas être entendue des tables voisines. En outre, il n’est pas question que je reste une seconde de plus ici. Alors, soit tu me passes les clés, soit je demande à Lyon de me ramener.

Par Lyon, elle entendait Lyon Teague, le chef de la police de la ville qui, accoudé au bar, feignait de s’intéresser de près à sa tasse de café. Vieil ami de Will, il avait sans doute, comme la plupart des gens présents dans la salle, fait une halte au Cedar pour échapper au déluge qui venait de s’abattre sur la ville et rendait toute circulation difficile. Visiblement, aucun détail de leur petite scène ne lui avait échappé.

– Et moi, je suis censé rentrer comment ? demanda Will. Je te rappelle que j’ai deux cents têtes de bétail à transférer demain, à la première heure.

– Demande à Rochelle Sims. Compte tenu de la façon dont elle se frottait contre toi, je ne doute pas qu’elle se fera un plaisir de te servir de chauffeur.

Une expression d’ennui profond passa sur le visage de Will.

– Rochelle, c’est juste… Rochelle, ânonna-t–il d’une voix que l’alcool rendait pâteuse.

– Bien sûr. Promener ses mains partout sur toi, en se fichant bien d’être vue de tous, tu trouves cela normal ?

– Tu exagères.

– Je ne crois pas, non. Et je pense même que ce n’est pas la première fois qu’elle se montre aussi familière avec toi.

Consciente du fait qu’une bonne douzaine de personnes attendaient impatiemment la suite des événements, Hope se glissa sur la banquette où se trouvait Will et tendit la main vers lui.

– Je ne plaisante pas, Will. Donne-moi les clés, ou je trouve un autre moyen de rentrer.

Will lui tendit le trousseau à contrecœur mais alors qu’elle se levait, elle eut la surprise de le voir se lever à son tour pour lui emboîter le pas. Elle aurait préféré qu’il aille au diable, mais elle n’eut pas la force d’entamer une nouvelle dispute. Arrivée à la hauteur de Lyon elle se crut obligée de se justifier :

– Je voulais juste te dire que nous partons. C’est moi qui vais conduire.

Lyon adressa à Will un regard désapprobateur avant d’opiner d’un hochement de tête.

– Je vais vous suivre.

Au ton de sa voix, elle comprit qu’il aurait préféré la raccompagner lui-même. Mais elle avait des choses à régler avec Will et elle préférait en finir tout de suite. Soulagée tout de même de savoir qu’il ne serait pas loin, elle posa une main reconnaissante sur la manche de son ciré jaune.

– Merci. J’apprécie beaucoup.

Dehors, l’orage grondait toujours, zébrant l’obscurité d’éclairs éblouissants, roulant ses grondements sourds à intervalles réguliers. Elle se mit à courir en direction du pick-up. Entravée dans sa course par ses talons hauts et sa jupe trop étroite, elle fut rattrapée par Will. D’un geste brusque, il lui arracha les clés des mains. Furieuse, elle hurla son nom, mais elle savait qu’il ne servirait à rien de le raisonner.

– Dépêche-toi de monter avant que nous ne nous fassions électrocuter ! lui cria-t–il en retour.

Elle claqua violemment sa portière, ivre de colère.

– Je te jure, Will, cette fois, j’en ai assez !

En vérité, elle s’en voulait surtout terriblement. Comment avait-elle pu être assez folle pour croire que l’amour qu’elle lui portait allait aider Will à mûrir et à restreindre ses pulsions ? Connaissait-il même le sens du mot « aimer » car, tandis qu’il manœuvrait pour sortir son véhicule de sa place de parking, aucune émotion particulière ne semblait le bouleverser. Mais sans doute était-ce une façon comme une autre de fuir ses responsabilités et l’attitude inqualifiable qu’il avait eue au Cedar.

– Il n’est plus question de mariage, lança-t–elle d’un ton qu’elle s’appliqua à garder calme.

Le dépit et la colère défigurèrent alors le beau visage de Will et il laissa échapper une bordée d’injures en martelant le volant de son poing fermé.

– Tu es injuste !

– Ah, parce que se laisser tripoter par une femme prête à coucher avec le premier venu, c’est juste, peut-être ? Combien de fois m’as-tu trompée après m’avoir déposée gentiment à la maison, ou alors que j’étais en déplacement pour mon travail ? Combien de fois, depuis un an que nous sommes fiancés ?

– Ne compte pas sur moi pour répondre à une question pareille ! Allez, mon chou, tu sais bien que tout ça n’a pas d’importance.

– Et si cela en a pour moi ? Me crois-tu désespérée au point de vouloir me marier à un homme aussi volage que toi ? C’est bien la preuve que tu ne me connais vraiment pas !

– Vas-y, déballe tout ce que tu as sur le cœur, l’encouragea-t–il d’un ton faussement résigné, et dis-moi ce que je dois faire pour te rendre heureuse parce que tu sais comme moi que ton père ne te laissera jamais annuler ce mariage. Il ne veut rien tant que voir nos terres respectives n’en former qu’une. Et d’ailleurs, je ne suis pas en mesure de lui rembourser ce que je lui dois déjà.

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un premier roman agréable, tranquille, reposant qui se lit vite.

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Bronze

Si vous désirez passer un bon moment avec une belle histoire, n'hésitez pas...

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PAL

Lu 1ere histoire : Mignonne et sympathique petite romance (7/10) Petit moment de détente entre 2 grosses lectures ;)

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